Les immigrés rattrapent-ils les natifs en termes d’accès à la propriété ?
Laurent Gobillon
(1, 2, 3, 4)
,
Matthieu Solignac
(5)
Laurent Gobillon
- Fonction : Auteur
- PersonId : 743074
- IdHAL : laurent-gobillon
- ORCID : 0000-0003-4849-7397
- IdRef : 105651346
Matthieu Solignac
- Fonction : Auteur
- PersonId : 175778
- IdHAL : matthieu-solignac
- ORCID : 0000-0002-8320-4900
Résumé
La composition de la population est influencée par les flux migratoires. Les immigrés se distinguent des natifs par leurs caractéristiques, mais également par l’ampleur et la spécificité de leurs flux d’entrée et de sortie du pays d’accueil. Prendre en compte ce phénomène de renouvellement sélectif, lorsque l’on étudie l’évolution de l’intégration des immigrés en France, est important. Le suivi du taux d’accès à la propriété met en lumière les effets souvent occultés de cette dynamique migratoire, en précisant le rôle des entrants et des sortants du territoire. Pour les résidents permanents, il est possible de préciser le rôle des caractéristiques individuelles et de leurs rendements sur l’accès à la propriété. Une comparaison avec les natifs permet d’étudier les facteurs de convergence du taux de propriétaires entre les deux groupes.
Domaines
Economies et financesFormat du dépôt | Notice |
---|---|
Type de dépôt | Autre publication scientifique |
Titre |
fr
Les immigrés rattrapent-ils les natifs en termes d’accès à la propriété ?
|
Résumé |
fr
La composition de la population est influencée par les flux migratoires. Les immigrés se distinguent des natifs par leurs caractéristiques, mais également par l’ampleur et la spécificité de leurs flux d’entrée et de sortie du pays d’accueil. Prendre en compte ce phénomène de renouvellement sélectif, lorsque l’on étudie l’évolution de l’intégration des immigrés en France, est important. Le suivi du taux d’accès à la propriété met en lumière les effets souvent occultés de cette dynamique migratoire, en précisant le rôle des entrants et des sortants du territoire. Pour les résidents permanents, il est possible de préciser le rôle des caractéristiques individuelles et de leurs rendements sur l’accès à la propriété. Une comparaison avec les natifs permet d’étudier les facteurs de convergence du taux de propriétaires entre les deux groupes.
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Auteur(s) |
Laurent Gobillon
1, 2, 3, 4
, Matthieu Solignac
5
1
CEPR -
Center for Economic Policy Research
( 143559 )
- Royaume-Uni
2
PSE -
Paris-Jourdan Sciences Economiques
( 139754 )
- 48 boulevard Jourdan 75014 Paris
- France
3
PSE -
Paris School of Economics
( 301309 )
- 48 boulevard Jourdan 75014 Paris
- France
4
INED -
Institut national d'études démographiques
( 57627 )
- Campus Condorcet
9, cours des Humanités - CS 50004
93322 Aubervilliers Cedex
- France
5
Sciences Po -
Sciences Po
( 301587 )
- 27, rue Saint-Guillaume - 75337 Paris cedex 07
- France
|
Langue du document |
Français
|
Nom de la revue |
|
Vulgarisation |
Non
|
Comité de lecture |
Oui
|
Audience |
Internationale
|
Date de publication |
2014-03
|
Numéro |
177
|
Page/Identifiant |
80 p.
|
Financement |
|
Référence interne |
|
Domaine(s) |
|
Projet(s) ANR |
|
Mots-clés |
fr
accès à la propriété, Immigrant
|
DOI | 10.3917/idee.177.0016 |
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