, Pour la biographie du baron, voir Pierre Naville, D'Holbach et la philosophie scientifique au XVIII e siècle, op.cit. Pour une analyse de sa pensée politique et épistémologique voir Corpus n° 22/23, 1993, sous la direction de Josiane Boulad-Ayoub. Voir aussi Frank A. Kafker, « L'Encyclopédie et le cercle du baron d'Holbach, Histoire naturelle de la superstition (1768), 1987.

, Les principales ouvrages traduits par le baron sont : Art de la verrerie (1752, un énorme volume de 630 pages écrit en italien et latin par Antonio Neri, Christopher Merret et traduit en allemand et commenté par Johann Kunckel

. Minéralogie, Johan Gottschalk Wallerius, 1753.

, Chimie métallurgique (1758, écrite par le suédois, Christlieb Ehregott Gellert

, Traités de physique, d'histoire naturelle, de minéralogie et de métallurgie (1759, écrite par l'allemand, Johann Gottlob Lehmann

, Pyritologie (1760, écrite par l'allemand Johann Friedrich Henckel. Le second volume contient son Flora saturnisans, traduite par l'apothicaire Charas et révisé par Augustin Roux)

, Oeuvres métallurgiques (1760, écrite par l'allemand, Johann Christian Orschall

, Recueil des mémoires ( ?) dans les Actes de l'Académie d'Upsal et dans les Mémoires de l'Académie royale des sciences de, 1764.

, Traité du soufre (1766, écrite par l'allemand Geog-Ernst Stahl

, Voir Rhoda Rappaport, « Baron d'Holbach's campaign for German (and Swedish) science ». Studies on Voltaire Foundation, vol.323, pp.191-200, 1994.

, Autres traductions : De la fonte des mines (1750, écrit par l'allemand Christoph Andreas Schlüter, traduit par Koenig et révisé par Jean Hellot)

, Histoire des anciennes révolutions du globe terrestre (1752, écrite par l'allemand Johann Gottlob Krüger et traduite par André-François Boureau-Deslandes)

, Lithogéognosie (1753, écrite par l'allemand Johann Heinrich Pott et traduite par Didier-François d, Arclais e Montamy

, Elémens de docimastique (1755, écrite par l'allemand Johann Andreas Cramer et traduite du latin par J-F de Villiers)

, Élémens de chymie (1757, écrite par l'allemand Johann Juncker et traduite du latin par, J-F. Demachy)

, Dissertations chymiques (1759, écrite par l'allemand Johann Heinrich

, Opuscules chymiques (1762, écrite par l'allemand Andreas Sigismund Marggraf et traduite par Demachy)

. Essais-de-chymie, , 1766.

. Essai-d'une-nouvelle-minéralogie, écrite par le suédois Axel Frédéric Cronstedt et traduite à partir du suédois et de la traduction allemand de Wiedman par Dreux fils), 1771.

B. Bensaude-vincent, I. Stengers, and H. De-la-chimie, , p.80

V. Gabriel-françois, . Venel, ». Chymie, and E. , Nouvelle impression en facsimilé de la première édition, Stuttgart-Bad Cannstatt, vol.3, pp.797-798, 1753.

. Bensaude-vincent-«-l'énigme-du-mixte, Matière à penser -Essais d'histoire et de philosophie de la chimie, pp.51-64, 2008.

, Les « menstrues » sont en général définis comme des dissolvants et son étude fait partie de la dissolution

. Le-«-menstrue, agit chimiquement et la dissolution est une véritable opération chimique. Voir Christine Lehman, Gabriel-François Venel?, p.436

. Venel and . Chymie, newtonianisme supposé de Venel et de Rouelle, Gabriel-François Venel?, vol.3, p.290

. Voir-milton-kerker and . Herman, Boerhaave and the Development of Pneumatic Chemistry, Isis, vol.46, pp.36-49, 1955.

H. Boerhaave, . Elémens-de-chymie, J. N. Traduit-du-latin-par, . Allamand, C. Leide et al., , vol.1752, pp.435-436

. Ibid, Dans une note à la traduction des Opuscules chymiques et physiques de Bergman, Guyton affirme que « Depuis que l'on a reconnu que l'air existoit dans l'acide vitriolique, on est porté à penser qu'il est en effet l'élément acide universel?, p.299

. Guyton-de-morveau, ». Acide, E. Méthodique, and C. , , pp.129-138

, Lavoisier affirme que «? j'ai démontré, dans de précédents mémoires, autant toutefois qu'il est possible de démontrer en physique et en chimie, que l'air le plus pur, celui auquel M. Priestley a donné le nom d'air déphlogistiqué, entait, comme partie constituant, dans la composition de plusieurs acides, et notamment de l'acide phosphorique, de l'acide vitriolique et de l'acide nitreux. Des expériences plus multipliées me mettent aujourd'hui dans le cas de généraliser ces conséquences, et d'avancer que l'air le plus pur, l'air éminemment respirable, est a principe constitutif de l'acide que ce principe est commun à tos les acides, Considérations Générales sur la nature des Acides et sur les principes dont ils sont composés, vol.29, pp.1-18, 1972.

, ce mémoire a été lu à la rentre de la Saint-Martin 1783, p.334

S. Lavoisier, « ? l'air inflammable dont j'entends parler dans ce mémoire est celui qu'on obtient, soit dans la décomposition de l'eau par le fer seul, soit de la dissolution du fer et du zinc dans les acides vitrioliques et marin ; que, comme il paraît prouvé que, dans tous les cas, p.334

. Voir-seymour-mauskopf and . Richard, Kirwan's Phlogiston Theory: Its Succes and Fate, Ambix, vol.49, pp.185-205, 2002.

D. Mauskopf,

. Priestley, . Bewly, . Bergman, . Morveau, L. De et al., , p.195

B. Voir and . Bensaude-vincent, Pour une explication didactique de l'expérience de décomposition de l'eau voir Bensaude-Vincent, « Rien ne se perd, rien ne se crée : tout se pèse, Lavoisier : Mémoires d'une révolution, vol.14, pp.42-61, 1993.

, Georg Brandt (1694-1768) seront les responsables pour l'établissement d'un réseau professionnel et pédagogique très solide, dont Axel Fredrik Cronstedt (1722-1765) et Henrik Teophil Scheffer(1710-1759) font partie. Néanmoins, l'enseignement universitaire commencera seulement en 1750, avec la création de la première chaire chimie dans l, qui sera remplacé dès 1767 par son élève Torbern Olof Bergman, pp.1735-1784

, Mutual Favours : The Social and Scientific Practice of Eighteeth-Century Swedish Chemistry, thèse de doctorat de l'Université d'Uppsala, Pour une analyse très fine des chimistes suédois au XVIII e siècle voir Hjalmar Fors, pp.37-67, 1988.

M. Guyton-de, Elémens de chymie, op.cit., tome 1, p.98

M. Guyton-de, Il cite le « De Solido intra Solidum Naturaliter Contento Dissertationis Prodromus, pp.662-663

G. Gohau, Cependant quelques Auteurs semblent prendre plaisir à confondre à ce sujet toutes les idées par des nomenclatures souvent fausses & toujours équivoques, par de prétendues analogies qu'ils exigent en principes, peut-être par le desir d'avoir un systême à eux ; ils admettent, sans preuve, une terre élémentaire : ils supposent arbitrairement que les autres en sont formées, qu'elles sont simplement modifiées pour être ce qu'elles sont [?] » 667 des années 1780 la pense minéralogique de Guyton est profondément influencée par Bergman, Les Sciences de la Terre aux XVII e et XVIII e siècles. Naissance de la géologie, pp.1733-1812, 1743.

M. Guyton-de, Académie de Dijon le 21 Décembre 1780, Observations sur la physique, tome XVII, mars 1781, Sur les Terres simples, & principalement sur celles qu'on nomme absorbantes, p.216

, Cronstedt ou Bergman ne sont pas d'accord avec le système minéralogique proposé par son compatriote Linné, ils utiliseront son modèle des classes, genre, espèce ? pour classer les minéraux à partir de leur composition interne, et Bergman essaie alors d'appliquer la nomenclature binomial à la chimie. Voir Marco Beretta, The Enlightenment of Matter: The Definition of Chemistry from Agricola to Lavoisier, Même que les chimistes suédois, tel que Wallerius, pp.134-149, 1993.

S. Correspondance, G. Carlid, J. Nordström-Éditeurs, and A. Wiksell, En 1784, Richard Kirwan publie ses Elémens de Minéralogie, traduit en français par M. Gibelin, Cuchet, 1785. Dans une lettre du 13 mai 1784 à Guyton, Kirwan annonce l'envoie d'un exemplaire en souhaitant « ? que ce livre vous plaira. Vous y trouverez la réfutation des radotages de Romé de Lisle, qui servira du moins à montrer ce qu'on pense de lui hors de la France », A Scientific Correspondence During the Chemical Revolution, le rapporteur du Les Nouvelles de la République des Lettres?, communique que « M. de Morveau a enrichit cette année les démonstrations d'Histoire Naturelle de plusieurs morceau qui avoit demandés à M, vol.1782, pp.81-84, 1965.

, Dix-huit lettres nous sont parvenues de Macquer à Bergman, la première du 22 février 1768 et la dernière du 7 mars 1782, voir Torbern Bergman's Foreign Correspondence, pp.229-255

, Linné publie en 1737 son Critica Botanica, où il annonce les premières tentatives de réforme du langage botanique. Néanmoins, il emploie d'une manière plus intensive sa nomenclature binomiale dans son Species Plantarum (1753) et surtout dans son Systema Naturae (1758), voir Crosland, Historical Studies in the Language of Chemistry, pp.140-143

«. Bergman and . Commentatio, Ce mémoire est traduit en français et publié dans Observations sur la physique, Nova acta Regiae Societatis scientiarum Upsaliensis, vol.2, pp.476-486, 1775.

. Ainsi, nommer un sel neutre 684 , ou double, c'est-à-dire le produit de la combinaison d'un acide avec un alkali, avec une terre simple, ou avec un métal, il suffit de nommer la terre, l'alkali

C. Cité-par, Historical Studies in the Language of Chemistry, op.cit, p.145

H. T. Scheefer, Chemical Lectures of H.T. Scheffer, Torbern Bergman (éd.) (1775), traduction anglaise de, 1992.

. Beretta, The Enlightenment of Matter?, p.141

. Bergman, Après le résumé de cet ouvrage dans un supplément des Observations sur la Physique pour l'année 1778, la traduction intégrale sera faite par François-Joseph. Bonjour (1754-1811), avec une actualisation de la nomenclature, Traité des Affinités Chymiques ou Attractions Électives, pp.47-50, 1775.

. Bergman, Pour une correspondance moderne voir annexe 2, Dissertation on Elective Attractions, p.27

, On ne doit pas oublier qu'au XVIII e siècle, le mot « sel » comprend aussi les acides et les alkalis

, Donc, les « sels neutres » sont les produits de la combinaison de d'autres sels, c'est-à-dire d'un sel acide et d'un sel alkali

. Bergman, Dissertation on Elective Attractions, op.cit, pp.84-85, 1745.

, ancien assistant de Bergman à Uppsala de 1760 à 1770, qui obtient le premier le manganèse à l'état métallique en 1774

, Observations sur la physique, Le nom du traducteur n'est pas indiqué, vol.12, p.332, 1778.

M. Guyton-de, « Observation d'une Manganèse étoilée artificielle », Observations sur la physique, vol.13, pp.470-473, 1779.

, Torbern Bergman's Foreign Correspondence, pp.100-101

O. Bergman, . Physica, and . Chemica, Voir Marco Beretta, «T. O. Bergman and the definition of chemistry, vol.6, p.44

L. N. Bergman-;-dijon and . Frantin, Opuscules chymiques et physique, recueillis, revus et augmentés par lui-même. Traduits par M. de Morveau, avec des notes, vol.1780

, De l'acide aérien

, De l'analyse des eaux ; Des eaux d'Upsal

, De la fontaine acidule de la paroisse de Dannemarck ; De l'eau de la mer ; Des eaux médicinales froides, artificielles ; Des eaux médicinales chaudes

E. Puisque, L. Fait, and . Réformes-de-macquer, de Bergman et celle que Guyton lui-même substances et essaier les jugements avant mon encyclopedie? », Torbern Bergman's Foreign Correspondence, pp.121-124

M. Guyton-de, Observations sur la physique, vol.17, p.217

. Romé-d'isle, M. Lette, and . De-morveau, Romé, qui n'apprécie guère Guyton, critique aussi l'usage du terme « tungstène » (du suédois tung sten) pour indiquer un terre plus pesante que la barote, dit-il « Il est, sans doute, permis à MM. les chimistes de Dijon d'enrichir la Chimie d'une multitude de mots de leur invention?, sur les Terres simples, & principalement sur celle que M, vol.3, p.559

. Par, « fer sucré, p.288

M. «-réponse-de and . De-morveau, Romé de L'Isle ? », Observations sur la physique, tome XVIII, 1781, p.71

, « que les noms d'inventeurs, qui ne peuvent avoir avec les choses aucune conformité, ni individuelle, ni générique

J. Ne-suis-nullement-Étonné and D. Guyton, même après plusieurs années d'étude et d'application, demander encore, qu'est-ce que le sel de Glauber ? Et ils n'ont jamais appris qu'qui sont les terres, les alkalis, les acides et les métaux. Ainsi, au lieu de des quatre terres identifiées comme simples dans ses Elémens de chymie, maintenant, en accord avec Bergman, Guyton reconnaît cinq : quartz (quarteux), alumine (alumineux), calce (calcaire), magnésie (magnésien), barote (barotique). Par rapport aux alkalis, il substitue les termes alkali fixe végétal, alkali fixe minéral, alkali ammoniacal, pour potasse, soude et ammoniac, respectivement 708, Les noms de métaux restent les mêmes

D. Guyton, le mot potasse vient de l'allemand pott-asche (pot-cendres), le mot soude était déjà employé par le commerçants pour identifier l'alkali fixe minéral impur

, Guyton n'inclut pas la terre quartzeuse

, Bergman révise les noms de plusieurs substances. Néanmoins, c'est dans son Meditationes de systemate fossilium naturali, de 1784, qu'il offre des règles précises pour dénommer des terres, les sels, les métaux et les substances phlogistiquées, En 1782, dans son Sciagraphia regni mineralis

«. Cité-par-smeaton, P. The-contributions-of, T. Macquer, and L. B. Bergman, Guyton de Morveau to the reform of chemical nomenclature, p.101

G. Édon and D. Français-latin, , p.1513, 1973.

B. Cependant and . Guyton, Il suggère qu'on utilise les termes Calx, et Barytes. Kirwan modifie aussi le mot barote pour barytes, Elemens de Minéralogie, p.5

. Crosland, Historical Studies in the Language of Chemistry, pp.148-152

, Bergman considère aussi que le sel dérivés de l'aqua regia (mélange d'acide muriatique et d'acide nitreux) est différent des sels produits par les acides séparément), fluoratum, arsenicale, boracinum, saccharinum, oxalinum, acetum, tartateum, benzoinum, citrinum, succineum, galacticum, formicale, sebaceum, Les acides nommés par Bergman : vitriolicum, nitrosum, muriaticum, regalinum (Ainsi comme Guyton

. Cependant, autres articles publiés par Guyton, il appelle ces acides de vitriolique phlogistiqué et nitreux phlogistiqué, respectivement. C'est le cas, par exemple, de la table des acides donnée dans l'Encyclopédie méthodique, vol.1

M. Guyton-de, Encyclopédie méthodique, Chymie, tome 1, 1786, pp.vi-vii

, Guyton transcrit une lettre que Macquer lui avait envoyée le 24 juillet 1782, où son « maître » affirme : « Votre nouvelle nomenclature chymique est excellente, & en mon particulier je suis tout prêt à l'adopter ; mais je ne puis vous répondre de tout le monde, car vous savez combien les hommes, même éclairés

. Buffon-recommande-le-tableau-de-guyton-dans-le-deuxième-tome-de-son, Histoire des minéraux (dans le chapitre sur les sels) : « Si l'on veut se satisfaire à cet égard, on peut consulter la Table ci jointe, que mon illustre ami, M. de Morveau, vient de publier. Cette nomenclature, quoique trèsabrégée, pp.160-162

«. M. Fourcroy, M. De, and . Macquer-au-jardin-du-roi, m'a annoncé qu'il adoptoit cette nomenclature dans la nouvelle édition qu'il préparoit de ses leçons élémentaires ? pour servir de résumé à ses cours », il s'agit des Elémens d'histoire naturelle et de chimie ; seconde édition des leçons élémentaires sur ces deux sciences, p.1786

F. Fontana, chimiste, physicien et anatomiste toscan, pp.1730-1805

M. Landriani, , pp.1751-1816

F. F. Lorenz, chimiste allemand qu'à partir de 1784 commence à éditer ses Chemische Annalen, qui servira de modèle à la future publication de Lavoisier et son groupe, pp.1744-1816

, Il nous semble que Guyton exagère un peu l'approbation de Bergman, car on a vu plus haut quelques différences entre les deux systèmes. Toutefois, il est sûr que Bergman approuvait le système de Guyton et on peut croire à l'affirmation de celui-ci qu'« il m'a autorisé à introduire cette langue dans la traduction de ses oeuvres?

, tandis que le « Mémoire de chymie » de Scheele a été traduit en 1785 par Claudine Picardet, collaboratrice de Guyton. Madame Picardet a encore traduit plusieurs mémoires des chimistes suédois, italiens, anglais, 729 En 1788, Guyton indique que 70 personnes vinrent à son cours et que 40 environs l'ont suivi avec assiduité. Registre de l'Académie de Dijon, 16, 3 janvier 1788. Cité par Daniel Roche, Le siècle des lumières en province -Académies et académiciens provinciaux, pp.1680-1789, 1784.

. Par and A. Francisco-de, membre de l'académie de Valladolid et futur directeur général des mines d'Espagne, et les frères Fausto et Juan José d'Elhuyar, co-découvreurs du tungstène, voir Analisis Quimica del Volfram y Examen de un nuevo metal que entra en su composition, p.1783, 1785.

P. Voir, J. Bret, and . Champy, successeur de Lavoisier à la régie des poudres et salpêtres ; membre de l'Institut d'Egypte », Scientifiques et sociétés pendant la Révolution et l'Empire, Comité des travaux historiques et scientifiques, pp.177-201, 1990.

, Et en espagnol, Elementos de química teórica y prática, puestos en un nuevo orden despues de los mas modernos descubrimientos, traduit par Don Melchor de Guardia y Ardevol, Anfangsgründe der theoretischen und practischen Chemie, zum der öfffentl. Vorlesungen auf der Acad. zu Dijon?, traduit par Christian Ehrenfried Weigel, 1779.

. C'est, vous Monsieur qui recueillés l'heritage de ces illustres chimistes ; vous succedes à leur reputation et vous aurés l'avantage d'être encore plus utile qu'eux au progres de la science par l'important ouvrage que vous publies et dont je lis et relis les articles avec un grand interest 755

. Ibid, , p.224

. Ibid, , p.227

. Ibid, , pp.231-232

, Quelques grands chimistes ont décédé en peu de temps : P-J. Macquer et T. Bergman en 1784, le grand minéralogiste suédois Johann G. Wallerius en 1785 et C. W. Scheele en 1786

, Il s'agit bien sûr de la première partie du premier volume de la section Chymie, pharmacie et métallurgie de l'Encyclopédie méthodique

. Encyclopédie-méthodique and ». Méphitique, Guyton est d'accord avec Lavoisier que ce gaz acide est formé pendant la combustion (il cite les expériences de Lavoisier et de Laplace), mais il pense qu'il est composé d'air vital et du phlogistique dégagé du charbon, et non avec le charbon lui-même, p.94, 1786.

, OEuvres, Correspondance, vol.IV, p.259

I. Duveen and H. ,

«. Klickstein, A letter from Guyton de Morveau to Macquart relating to Lavoisier's attack against the phlogistion theory (1778)

, La date exacte dans laquelle Guyton est rentré à Dijon n'est pas précisée. L'éditeur de la correspondance entre Guyton de Morveau et R. Kirwan suppose que c'est 'vers le 10 août' (op. cit., p. 173, note 4), mais nous pourrions supposer aussi qu'il y ait resté jusqu'au 28 août, jour où l'éloge de Maret a été lu à Société royale de médecine. De toute façon, il était à Dijon au 1 er septembre d'où il écrivait à Lavoisier (voir plus loin). Pour l'éloge de Maret voir Histoire de la Société royale de médicine -Avec les Mémoires de médicine et de physique médicale [?] tirés des registres de cette société, En fait, le destinataire de cette lettre n'est pas Macquart mais Macquer, voir D. Duveen, « A Case of Mistaken Identity : Macquer and not Macquart, vol.12, pp.131-163, 1956.

. Le-registre-de-laboratoire-de-lavoisier-signale and . Qu, il a fait le 26 mars 1787 la combustion du charbon dans l'air vital, en obtenant le résultat suivant : air vital 71, 837 %, p.61, 1955.

A. Baumé, Jean d'Arcet (1725-1801) et Balthazar Georges Sage, pp.1740-1824

S. Guyton-de-morveau, Berthollet et Fourcroy sont mentionnés comme auteurs de l'ouvrage, les jeunes collaborateurs Hassenfratz et Adet sont éclipsés. En revanche bien qu'il n'ait pas lu un mémoire, pp.1748-1822

, Sur cette chronologie voir Maurice Daumas, Lavoisier -Théoricien et Expérimentateur, op. cit

, Sur le rapport un peu ambiguë de Berthollet avec la théorie de Lavoisier et son refus d'accepter le principe oxygène comme principe générateur d'un acide voir H. E. Le Grand, « The 'conversion' of C.-L. Berthollet to Lavoisiers' chemistry, Ambix, vol.22, pp.58-70, 1975.

F. L. Holmes, Eighteenth-Century Chemistry as an Investigative Entreprise, pp.103-122

M. P. Crosland, Historical Studies in the Language of Chemistry, 1962.

F. L. Holmes, Eighteenth-Century Chemistry as an Investigative Entreprise, op. cit, pp.14-17

M. P. Crosland, Historical Studies in the Language of Chemistry, op. cit.Voir surtout la troisième partie, « The introduction of systematic nomenclature into chemistry and the acceptance of the 1787 reform, pp.133-224

W. A. Smeaton, P. The-contribution-of, T. O. Macquer, and L. Bergman, Annals of Science, vol.10, pp.87-106, 1954.

F. L. Holmes, Lavoisier in European Context -Negotiating a New Language for Chemistry, Bernadette Bensaude-Vincent & Ferdinando Abbri, pp.267-278, 1995.

. Bensaude-vincent and . Lavoisier, Voir aussi l'Introduction à la nouvelle édition de la Méthode de nomenclature chimique, pp.9-60

M. Beretta, The Enlightenment of Matter, op. cit, p.186

H. E. Le-grand, « The 'conversion' of C.-L. Berthollet to Lavoisiers' chemistry, p.69

S. Cuvier, esprit le tableau abrégé des résultats de la science, c'étoit fournir à la mémoire le moyen de rappeler par les noms la nature même des objets. C'est ce que M. Guyton de Morveau proposa le premier dès 1781, et ce qui fut complètement exécuté par lui et par ses collègues en 1787 », Rapports à l'Empereur sur le progrès des sciences, des lettres et des arts depuis 1789, pp.93-94, 1989.

H. Guerlac and . Lavoisier, Dictionary of Scientific Biography, vol.8, pp.66-91

D. Duveen and H. Klickstein, A Bibliography of the Works of Antoine Laurent Lavoisier -1743-1794, p.119, 1954.

C. Bonnot-de, voire le seul, de la métaphysique : « Nos idées sont le principe de nos connoissances, et ces idées ont elles-mêmes leur principe dans nos sensations ; c'est une vérité d'expérience. Mais comment nos sensations produisentelles nos idées ? Premiere question que doit se proposer le Philosophe, et sur laquelle doit porter tout le systême des élémens de Philosophie. La génération de nos idées appartient à la métaphysique; c'est un de ses objets principaux, peut-être devrait-elle s'y borner ; presque toutes les autres questions qu'elle se propose sont insolubles et frivoles ; elles sont l'aliment la chimie, en s'opposant radicalement à la révolution cartésienne produite par Lémery, voir « L'évolution de l'esprit scientifique en chimie de Lemery à Lavoisier », in La méthode philosophique en histoire des sciences, Est plus discrète l'inspiration de Jean Le Rond d'Alembert (1717-1783'objet principal, pp.259-268, 1936.

, William Albury décrit la profonde influence que le sensualisme de Condillac a exercé non seulement sur Lavoisier, mais aussi sur Félix Vicq-d' Azyr, Philippe Pinel et Xavier Bichat, tout comme sur la génération de idéologues des années 1790, The Logic of Condillac and the Structure of French Chemical and Biological Theory (1780-1800), p.128, 1972.

L. Roberts, . De-lavoisier, and . Condillac, John McEvoy démontre que la philosophie de Condillac joue un rôle moteur dans la dynamique de la chimie pneumatique de Lavoisier et que c'est sur ces principes que roule l'opposition de Priestley, voir « Continuity and Discontinuity in the Chemical Revolution, Lavoisier and the instrumentalization of science, vol.33, pp.161-163, 1982.

J. Sur-d'alembert-philosophe-voir-véronique-le-ru and . -l-d'alembert-philosophe, Voir aussi Michel Paty, D'Alembert, 1994.

, Le Traité des systèmes (1749) a été considéré comme un manifeste sensualiste par La Méttrie (Abrégé des systèmes, 1749), Diderot (Lettre sur les aveugles, 1749) et d'Alembert (Discours préliminaire, 1751), Voir Jørn Schøsler, 1997.

L. Systême, de l'Encyclopédie a été écrit par d'Alembert, Nouvelle impression en facsimilé de la première édition, vol.15, pp.777-779, 1765.

. Condillac, Traité des systêmes, 1991.

, Pour une analyse fine de la notion de système chez Condillac voir Ellen Hine, A critical study of Condillac's Traité des Systèmes, 1979.

, Alembert fait mention de cette amitié dans une lettre à Gabriel Cramer (1704-1752) du 6 juillet

L. Cité-par-pierre-speziali and «. , Alembert et les savants de Genève », in Jean d'Alembert savant et philosophe : Portrait à plusieurs voix, Éditions des Archives Contemporaines, p.464, 1989.

. Dans-l'article-«-analyse-»-de-l'encyclopédie, Alembert affirme que : « L'Analyse fournit les exemples les plus parfaits de la maniere dont on doit employer l'art du raisonnement

. Ouvrages-de-d'alembert-dans-la-bibliothèque-de-lavoisier, Recherches sur différens points importants du système du monde (1754-56), Opuscules mathématiquesou Mémoires sur différens sujets de géometrie, de méchanique, Réflexions sur la cause générale des vent (1747), pp.113-296

, La multiplicité des préoccupations et de ses activités professionnelles démontrent l'ampleur et l'application pratique de cet idéal des hommes des Lumières. Pour un exposition des activités de Lavoisier voir « Il y a 200 Lavoisier », Actes du Colloque organisé à l'occasion du bicentenaire de la mort, Académie des Sciences, 1994.

L. Condillac, Logique ou les premiers développements de l'art de penser, Paris, L'Esprit, 1780. Document sur Gallica. Autres ouvrages de Condillac présents dans sa bibliothèque : Le commerce et le gouvernement, considérés relativement l'un à l'autre, ouvrage élémentaire (1776), Cours d'étude pour l, Considérations sur les finances d'Espagne, pp.1753-56

W. Albury, John Dalton (1766-1844), tout comme dans la généralisation de l'usage des initiales latines par Jöns Jacob Berzelius (1779-1848) 855 . Néanmoins, ces caractères ont été largement oubliés et déconsidérés par les réformateurs eux-mêmes, The Logic of Condillac and the Structure of French Chemical and Biological Theory, p.129

. Bensaude-vincent, Méthode de nomenclature chimique, Introduction, p.50

F. Dagognet, , p.38

P. Voir-maurice and . Crosland, Historical Studies in the Language of Chemistry, pp.245-281

, « Rapport sur les nouveaux caractères chimiques, pp.157-172

, Un rapport beaucoup plus sévère sera publié par le directeur des Observations sur la physique, Jean-Claude de La Métherie (1743-1817) 865 La Métherie, seul l'usage peut autoriser les noms : « Peut-on, demande-t-il, changer dans un instant la langue d'une science ? L'expérience prouve que ces changemens ne peuvent se faire

. Doit-on, & substituer aux anciens mots des mots plus analogues ? Je crois qu'ici comme dans toutes les autres parties de la langue, on doit suivre la même méthode, celle qui est autorisée par l'usage [?]. La nomenclature proposée s'éloigne des anciens mots consacrés par l'usage, elle emploie de mot durs, barbares, qui choquent l'oreille & ne sont nullement dans le génie de la langue françoise, vol.866

, La Métherie considère qu'il est absurde de ranger parmi les substances simples

, est plus spécieuse que fondée ; prenons l'air inflammable, on veut l'appeler hydrogène, parce qu'on le regarde comme un des principes de l'eau ; mais l'air pur ne meritet-il plutôt ce nom, puisque dans cette opinion il fait les 0,87 de l'eau, tandis que l'air inflammable n'en est que les 0,13 ? [?] L'air inflammable entre aussi dans l'alkali volatil. On l'appelera donc encore ammoniacogène ? [Prenons] l'oxigène : ce terme signifie principe des acides, tient à un systême, savoir que l'air pur sous forme concrète, est le générateur des acides. Or, les chaux métalliques contiennent cet air, suivant le même systême, & ne sont point acides, p.867

J. Simon, Sur l'imposition autoritaire de la nouvelle théorie voir Maurice Crosland, « Lavoisier, the Two French Revolution and 'The Imperial Despotism of Oxygen', Ambix, vol.49, pp.101-118, 1995.

. La, Le rapport de La Métherie intitulé « Essai sur la nomenclature chimique, vol.31, pp.270-285

L. Métherie, , pp.272-273

L. Métherie, , p.277

, « Mémoires pour servir à l'histoire de la République des Lettres en France depuis I762, jusqu'à nos jours, vol.1777, p.37

. «-lettre-aux, Sur la nouvelle nomenclature chimique », Observations sur la Physique, tome 31, décembre 1787, Auteurs du Journal de Physique, pp.418-424

J. Riskin, . Chimie, and . Révolution, Le Pouvoir des Mots », vol.320, p.75, 1999.

. Voir-aussi, Isis, vol.89, pp.203-232, 1998.

L. Enfin and . Nouvelle, Méthode de nomenclature sera traduite et diffusée

. De-son, V. Le-traducteur-italien, and . Dandolo, , pp.1758-1819

«. Je and . Qu, il n'y a que la convention qui puisse fixer la valeur des termes, & je suis plus éloigné que personne de la prétention de les changer par l'autorité de mon opinion ; mais il est permis à tout le monde de proposer ce qu'il juge plus avantageux à la Science, vol.877

. Toutefois,

, Lavoisier in European Context -Negotiating a New Language for Chemistry, 1995.

A. M. Voir, «. Amorim-da-costa, and . Lavoisier, s Chemical Nomenclature in Portugal, Lavoisier in European Context -Negotiating a New Language for Chemistry, pp.155-171

. Voir-augustí-nieto-galan, « The French Chemical Nomenclature in Spain, Lavoisier in European Context -Negotiating a New Language for Chemistry, pp.173-191

M. Voir and . Beretta, « Italian Translations of the Méthode de Nomenclature Chimique and the Traité Elémentaire de Chimie -the case of Vincenzo Dandolo, Lavoisier in European Context -Negotiating a New Language for Chemistry, pp.225-247

A. Voir-ferdinando, Science and Politics in the Italian Reception of Lavoisier's Nomenclature, pp.249-265

V. Bensaude and -. Vincent, « Introductory Essay -A Geographical History of Eighteenth-Century Chemistry, Lavoisier in European Context -Negotiating a New Language for Chemistry, pp.1-17

M. Guyton-de, Mémoire sur les dénominations chymiques, la nécessité d'en perfectionner le systême, & les règles pour y parvenir », Observations sur la physique, p.370

Y. Sur-cette, . Beauvalot, and . La, Académie en 1786-1787 : Louis-Joseph de Bourbon, protecteur de la Compagnie ou la 'paix du prince' », in Mémoires de l'Académie des sciences, arts et belles-lettres de Dijon, vol.140, pp.131-168, 2003.

G. Bouchard and . Guyton-morveau--chimiste, , p.147, 1938.

D. , Baudot ce « secrétaire pour les sciences » a été Pierre Jacotot (1755-1821), voir Etudes historiques sur la pharmacie en Bourgogne avant 1803, JPM Éditions, p.505, 1905.

. Il-nous-semble-qu'ici-guyton-exagère-un-peu, A la fin de son « Essai sur la Nomenclature », il déclare que « ce Journal étant le dépôt de toutes découvertes & de toutes les idées nouvelles, je continuerai d'y insérer avec la plus grande impartialité les différentes opinions en laissant à chacun son sentiment & sa nomenclature, p.81

. Au-mois-de-juin, En décembre le professeur du Collège Royal, M. Le Févre de Gineau, publie la description des expériences sur la composition & la décomposition de l'eau « faites Cependant, la principale source dont nous disposons pour découvrir mai, Berthollet publie un « Procédé pour rendre la chaux d'argent fulminante, vol.32, pp.457-478

W. A. Lettre-cité-par and . Smeaton, « Guyton de Morveau's Course of Chemistry in the Dijon Academy, Ambix, IX, vol.64, pp.53-69, 1961.

G. Morveau, Nachricht von einigen vorzuglichen Versuchen, welche vom Hrn. De Morveau in den öffentlichen Vorlesungen der Akademie zu Dijon angestelt wurden, vol.2, pp.118-131, 1788.

M. Guyton-de, Encyclopédie méthodique, Second Avertissement, 1789, vol.2, p.631

C. Prieur, En 1780 il se rend à Paris en vue de se préparer pour l'Ecole du génie à Mézières

P. Collège-godran and . Jacotot, , vol.888, pp.1756-1821

, Après la Révolution, Prieur sera élu député pour représenter la Côte-d'Or à l'Assemble législative, puis réélu dans les élections de 1792. Pendant la guerre, il jouera une sorte de rôle de Ministre de l'armement, responsable pour approvisionner l'armée en armes et nourriture. Pendant toute cette période, Prieur et Guyton, lui aussi député à la Convention, iront maintenir un intense rapport épistolaire et joueront ensemble un rôle très important pour la création de l'Ecole polytechnique en 1795. En fait, l'amitié entre Prieur et son « très cher maître » Guyton durera toute leurs vies. Pour une biographie de Prieur voir Georges Bouchard, toutes les mesures d'étendue et de pesanteur », ce qui lui permet de soumettre sa candidature à l'Académie de Dijon, où sera élu membre associe le 5 juillet 1790. Plus tard il publiera aussi quelques articles dans les Annales de chimie (vols. XX, XVIII et XXX), 1946.

C. A. Prieur, Leçons du Cours de Chymie de l'académie de Dijon commencé le 25 fevrier 1789 par M. de Morveau, Chaussier et Jacotot écrites de mémoire et d'après les notes prises à la leçon même. Ce manuscrit a été récemment acheté et mis en ligne par la Bibliothèque Interuniversitaire de Pharmacie, p.193

, Particulièrement intéressé par l'anatomie il publie, en 1781, une « Nomenclature anatomique », où il développe un point de vue original pour l'enseignement et l'apprentissage de la nomenclature anatomique. Après l'élection de Guyton comme député à la Convention nationale (1790), il est nommé responsable du cours de chimie de l'Académie, probablement avec l'aide de Jacotot. Il collabora aussi avec H. Maret dans la rédaction des articles de pharmacie de l'Encyclopédie méthodique. Chaussier est un anatomiste très réputé et, en 1794, il est chargé par le gouvernement de continuer l'oeuvre de Vicq d'Azyr. Après avoir enseigné à l'Ecole de Mars, il participe à l'organisation des Ecoles de santé de Paris. En 1796, il est nommé comme adjoint de Berthollet et enseigne la chimie lorsque celui-ci accompagne Napoléon en Italie. Après la régularisation de l'enseignement de la chimie, Chaussier semble se consacrer entièrement à la médicine, François Chaussier naît à Dijon le 2 juillet 1746. Docteur en médecine de la Faculté de Besançon (1780), il devient membre de l'Académie de Dijon dès 1776, où il collabore avec H. Maret dans le cours de matière médicale et, depuis 1781, p.179, 1936.

C. Benkhadra, &. Salomon, F. Trouilloud, and . Chaussier, Une vision de la nomenclature anatomique fondée sur la pédagogie, Morphologie, vol.92, p.195, 2008.

, Sur son passage à l'Ecole polytechnique voir J?nis Langis, La République avait besoin de savants, p.275, 1987.

, Jacotot 908 BIUP Ms. 193, op.cit., 15 ème leçon, f. 105. P. Jacotot reprend plus tard cette association entre le phlogistique et le calorique : « On dit que le calorique est libre quand il agit sur nos sens, ou sur les instrumens destinés à mesurer la chaleur ; il est combiné lorsqu'il s'unit aux molécules des corps, et qu'il cesse d'exciter la sensation de la chaleur ou de faire monter le thermomètre. C'est le phlogistique auquel Sthaal (sic) et ses disciples ont attribué tant de propriétés imaginaires, en 1778, où il reste deux ans, p.91

. Biup-ms, 15 ème leçon, ff. 106-108. Le pyromètre de Wedgwood utilise le retrait permanent des matières argileuses sous l'influence d'une température élevée. Cette matière se contracte suivant les degrés de chaleur qu, vol.193

, BIUP Ms. 193, op.cit., 15 ème leçon, ff, pp.109-110

, BIUP Ms, vol.193

, BIUP Ms. 193, op.cit, vol.16, pp.111-117

, BIUP Ms, vol.193, pp.117-121

, BIUP Ms, vol.193

, L'étude des combustibles se poursuit dans les deux leçons suivantes

, Prieur commence par décrire l'expérience de décomposition de l'eau: « On a pris un canon de fusil dans lequel on a mis encore un petit paquet de cloux. Ce canon communiquoit par une de ses extremites à un entonnoir par où on versoit de l'eau. La partie moyenne du cannon traversoit un fourneau que l'on echauffoit fortement ; et son autre extremité étoit jointe à un siphon allant sous une cloche remplie d'eau, après avoir passé par un vase intermediaire destiné à recevoir l'eau qui pourroit échapper à la décomposition. On conçoit bien ce qui a dû se passer dans cette expérience qui étoit conduite de maniere à pouvoir doser les produits. Car, connoissant le poids de l'air des vaisseaux

, Une fois démontrée que l'eau n'était pas une substance simple, l'attention se

, BIUP Ms. 193, op.cit, vol.18, pp.126-127

. Biup-ms, 193, op.cit., 19 ème leçon, ff. 127-132 et 20 ème leçon, ff, pp.132-135

, Prieur remarque aussi que la composition de l'eau est bien connue tantôt par analyse que par la synthèse. Néanmoins, le degré de précision des ces expériences n'était pas le même que celui obtenu au laboratoire de l'Arsenal, et Prieur remarque dans une note au début de la leçon la limitation des instruments disponibles : « dans le cours on invertit quelquefois l'ordre qui conviendroit à certaines experiences, mais c'est à raison de ce que faute beaucoup d'instrumens on est obligé de tirer le meilleur parti possible de ceux qu, pp.360-373

, BIUP Ms, vol.193

, Tout en suivant l'ordre de l'article « Acide » de l'Encyclopédie méthodique, ce lui est propre, et de l'air vital. Mais on n'en a aucune preuve » 933 . C'est aussi le cas de l'acide prussique (acide cyanhydrique, HCN) : « M. Berthollet a donné par une analyse, de Prieur décrit les acides du règne minéral

. Biup-ms, Acide minéraux : sulfurique, ff. 150-151 ; nitrique, ff, vol.193, pp.151-157

, 157 ; muriatique, ff. 157-161 ; muriatique oxigène, ff. 161-164 ; nitro-muriatique (eau régale), ff. 164-168 ; boracique, ff. 169-170 ; carbonique, ff. 171-177 ; fluorique, ff, pp.179-181

, 183-186 ; molybdique, ff. 187-188 ; tungstique, ff. 189-193. Acides végétaux : citrique, ff. 196-197, malique, ff. 197-199 ; gallique, ff. 200-201 ; bensoïque, ff. 202-206 ; tartareux et pyro-tartareux, ff. 206-211 ; oxalique, ff. 212-223 ; acéteux et acétique, ff. 224-235 ; camphorique, f. 235 ; pyro-muqueux, ff, pp.236-237

, BIUP Ms, vol.193

, BIUP Ms, vol.193

, BIUP Ms, vol.193

. Vincent, la réforme de la nomenclature installe une dissymétrie entre les deux camps 935 . Guyton dispose d'un puissant instrument de propagande : le Dictionnaire de des gaz oxygène, hydrogène, azote, ammoniaque, etc. En guise d'introduction à cette deuxième partie

, Certes, dans cet avertissement Guyton se montre très flatteur envers Lavoisier

B. Bensaude-vincent, Lavoisier : Mémoires d'une révolution, p.264

. Guyton-de-morveau and . Second-avertissement, , pp.625-634

. Guyton-de-morveau and . Second-avertissement, , p.627

B. Bensaude and -. Vincent, Lavoisier : Mémoires d'une révolution, p.264

, Cependant, pour se passer du phlogistique sans réédifier tout ce que les

. Ensuite, Lavoisier affirme que «au reste, je le répète, en attaquant ici la doctrine de Stahl, je n'ai pas pour objet d'y substituer une théorie rigoureusement démontrée, mais seulement une hypothèse qui me semble plus probable, plus conforme aux lois de la nature, qui me paraît renfermer des explications moins forcées et moins de contradictions, Guyton expose quel était son propre rapport au phlogistique 948, p.233

, Il ajoute que « lors de la rédaction des Elémens de Chymie pour les Cours de l'Académie de Dijon, je regardois déjà comme suffisamment prouvé, que les acides fixoient une certaine quantité d'air qu'ils ne pouvoient perdre sans décomposition ; que l'air étoit véritablement le seul acide universel, l'élément acide, Guyton observe que dans le premier demi-volume il n'avait traité que des acides, p.629

A. «-second, , p.629

, « Les esprits superficiels regardent volontiers toutes les théories comme des systêmes, fruits d'une imagination plus ou moins heureuse, à qui l'enthousiasme de la nouveauté assure quelques momens d'existence, & qui, étant par cela même sujets aux révolutions des modes

, aux inductions de l'analogie, qui n'admet que des vérités de fait, qui n'est que la masse des résultats de l'observation ou du calcul, qui n'emprunte rien de l'opinion, est nécessairement à l'abri des vicissitudes de l'opinion ; qu'une doctrine qui rejette toute hypothèse, ne peut éprouver le sort des hypothèses. Or, telle est la méthode rigoureuse dans laquelle les premiers Chymistes paroissent aujourd'hui se renfermer ; la postérité verra s'élever l'édifice dont ils n'auront pu que poser les fondemens ; mais elle ne pensera à détruire ce qu'ils auront fait, que quand, Ceux qui sont capables d'un examen plus profond, jugeront bientôt qu'une doctrine dans laquelle on s'interdit jusqu, p.951

, Cette méthode rappelons-le n'était pas une invention de Lavoisier

B. Voir and . Bensaude-vincent, Lavoisier : Mémoire d'une révolution, p.264

M. Guyton-de, , pp.634-664

M. Guyton-de, , vol.1789, pp.665-772

, Kirwan écrit à Berthollet : « Enfin je mets bats les armes, et j'abandonne le ph[logis]tique. Une lecture reflechie de votre reponse au D r Priestley, Considérations sur les expériences de M. Priestley, relatives à la composition de l'eau, et sur un article du nouveau dictionnaire de chimie de M, p.63

». and V. Lavoisier, OEuvres, Correspondance, pp.227-228, 1997.

B. Monge, D. Fourcroy, . Le-baron-de-dietrich, &. Hassenfratz, .. ». Adet et al., Chez Fugs Libraire, 1789. Les premiers volumes parurent trimestriellement, mais dès le début de 1791 (vol. VIII), les Annales devaient paraître chaque mois. Elles seront publiées jusqu'au volume XVIII

, Voir aussi Maurice Crosland, « Lavoisier et les Annales de chimie : un moyen de propager la nouvelle chimie au-delà du XVIII e siècle, Pour un exposé plus précis à propos des origines voir Patrice Bret, « Les origines et l'organisation éditoriale des Annales de Chimie (1787-1791) », OEuvres de Lavoisier, Correspondance, vol.19, pp.415-426, 1972.

, Sa collaboration dans la première période de publication des Annales (1789-1793) consiste surtout des extraits de ses mémoires et d'articles publiés dans l'Encyclopédie méthodique : tome 1 -Lettre au président de Virli, Essai sur la dilatabilité de l'air et des gaz par la chaleur, pp.256-299

. Vii--, Hassenfratz donne un extrait des articles du premier demi-volume de l'Encyclopédie méthodique, pp.46-78

M. L. Ix--extrait-d'une-lettre-de, M. L. Guyton, and . Crell,

W. A. Smeaton, «. Monsieur, and M. Lavoisier, 1789: the Chemical Revolution and the French Revolution, Ambix, vol.36, issue.1, pp.1-4, 1989.

C. Voir-susan, , pp.123-124

T. Lavoisier and . Elémentaire-de-chimie, Selon Maurice Daumas, la première édition de l'ouvrage a eu une tirage de 2000 exemplaires et il a eu trois éditions seulement en 1789, voir Lavoisier théoricien et expérimentateur, présenté dans un ordre nouveau et d'après les découvertes modernes, Chez Cuchet -Libraire, vol.41, p.199, 1950.

A. Fourcroy, A partir du deuxième volume de l'Encyclopédie méthodique Fourcroy prend le relais de Guyton. Ce volume et le troisième parurent en 1790, le quatrième et le cinquième en 1792, le sixième en 1793, le septième en 1798 et le huitième en 1808. En 1792 il publie aussi Philosophie chimique, ou vérités fondamentales de la chimie moderne, Elémens d'histoire naturelle et de chimie, troisième édition, 5 vols, 1789.

. Simon, Pour les publications de Fourcroy voir William A. Smeaton, Fourcroy : Chemist and Revolutionary, pp.1755-1809, 1792.

J. Chaptal, E. De-chimie, J. Montpellier, and . Picot, , p.1790

P. Voir, L. Bret, and . 'etat, L'invention de la recherche publique en France (1763-1830), pp.76-82, 2002.

. Selon-l'historien-fabien-rorgue, Malgré une tentative de construction de noblesse, Guyton restait dans ses attitudes profondément bourgeois : symboliquement, le remplacement des heaumes, qui pouvaient faire référence à un monde médiéval et à la noblesse d'épée, par des vases fumigatoires, qui, eux, renvoyaient aux seuls talents de Guyton et à son invention, en était assez révélateur. Les armes furent surmontées de la couronne de baron et du collier de la Légion d'Honneur lorsque Guyton fut fait Baron d'Empire. Voir Fabien Rorgue, p.32

G. Sur-l'activité-parlementaire-de-guyton, . Bouchard, and . Guyton-morveau, , pp.9-39

P. Voir-guyton-de-morveau-;-paris and . Simon, Voir aussi Plaidoyers sur plusieurs questions importantes de droit canonique et civil, avec la Note des Arrêts rendus dans les Procès où elles ont été agitées», Dijon, Mailly, 1785. A partir d'une analyse des cas particuliers pris dans les affaires du Parlement, Guyton a pu faire une étude générale des problèmes de la jurisprudence, et en exposant les contradictions soulevées lors de ces procès, il put critiquer vivement la multiplicité des lois et la nécessité de les simplifier. Georges Bouchard cite une lettre adressée à Guyton par Voltaire, le 29 mai 1775, où celui-ci lui félicité par son Discours sur la Jurisprudence « ? vos idées sont très justes ; elles pourraient servir à rendre le genre humain moins malheureux, Discours Publics et éloges, auxquels on a joint une Lettre où l'Auteur développe le plan annoncé dans un de ses Discours, pour réformer la Jurisprudence, vol.2, pp.33-35

, En avril 1780 Guyton avait reçu l'autorisation de créer deux verreries à Saint-Bérain-sur-Dheune, l'une destinée à la fabrication de bouteilles, l'autre à celle du verre à vitres

, En juillet 1789, Guyton afferme l'entreprise à un certain citoyen Neuvesel. Guyton conserva pourtant une participation dans l'entreprise et dans l'exploitation du charbon pendant toute sa vie. Voir René Pocheron, Les verreries, vol.133, pp.17-25, 2000.

G. Bouchard and . Guyton-morveau, , p.182

F. Rorgue and . Guyton-de-morveau-en-bourgogne, , p.120

, Les Affiches de Dijon du 11 août 1789 publiaient un avis adressé « aux personnes de la ville et de la province » et proposait « l'établissement d'un club où à l'exemple de la capitale, les citoyens pourraient se réunir pour lire les papiers publics, apprendre les nouvelles les plus récentes et jouir de la conversation des personnes instruites, p.186

, Guyton parlait déjà de la notion d'égalité : « Il semble que la société ait consenti de recevoir dans son sein une classe de citoyens inutiles, qui n'y aient d'autre titre que leur opulence, d'autre emploi que de faire nombre, comme dit Horace, & de consommer les fruits de la terre. » et il ajoutait : « le pacte social leur dit qu'un citoyen ne peut demeurer oisif, Dans son Discours sur les moeurs, de 1769, p.128

, Pour nous renseigne sur la Révolution nous avons consulté quelques ouvrages classiques. Par exemple, de Jacques Godechot : Les institutions de la France sous la Révolution et l'Empire, p.1985, 1951.

, De Albert Soboul : Histoire de la Révolution française, Nouvelle édition revue et augmentée du Précis d'Histoire de la Révolution française, pp.1787-1799, 1980.

. Dictionnaire-historique-de-la-révolution-française and P. Paris, De Michel Vovelle La Révolution Française -images et récit, Paris, Livre Club Diderot/Messidor, 5 vols, 1969.

. Tandis-qu'au-début-de-la-législative, Basire 984 et Prieur de la Côte-d'Or votent pour les Jacobins 985 , Guyton, lui, vote toujours avec les modérés

, Voir l'article « Assemblée Législative », Dictionnaire historique de La Révolution Française, pp.45-46

L. Députés-de-la-côte, Or étaient tous membres du Club patriotique de Dijon ou des sociétés populaires du département, en correspondance avec lui, pp.225-228

A. Paris, Basire se rejoint les Jacobins avant de siéger à l'extrême-gauche et aux côtés de François Chabot (1756-1794) et Antoine Merlin (dit de Thionville, 1762-1833) ils forment le « trio cordelier ». Plus tard, il sera jugé et exécuté avec les Dantonistes. Voir Dictionnaire historique de la Révolution française, pp.89-90

, Librairie historique R. Clavreuil, 1946.

, Jean François Duport (1759-1798) et Antoine Barnave (1761-1793), a fondé, le 17 juillet 1791, la « Société des Amis de la Constitution », dite Club des Feuillants. Ce Club défendait une monarchie constitutionnel et existera jusqu'à la révolution du 10 août 1792. Voir l'article « Feuillants », Dictionnaire historique de la Révolution Française, pp.451-452

A. Voir and . Soboul, La Révolution française, p.228

, 1756-1820), républicain convaincu qui votera à la Convention avec les Montagnards 990 . Mais avant de se joindre à Cambon, Guyton s'éloigne des Feuillants et se rapproche des Girondins, du ministre de l'Intérieur, pp.1734-1793

B. Barère,

, Une des préoccupations de Guyton était l'énorme endettement de l'Etat. Dans ce Comité il soutient qui n'était plus question que quelques rentiers ne payent pas d'impôt

B. Guyton, Concernant la retenue des impositions sur les intérêts des capitaux liquidés

, Pendant la Législative Cambon glisse progressivement des positions brissotines -sectateurs de Jean Pierre Brissot (1754-1793) -et vota à la Convention avec les Montagnards. Républicain, il manifeste sa sympathie pour les initiatives des sociétés populaires. Il a fait partie aussi du premier Comité de salut public et sauf cette période il fut membre du Comité des finances du 10 octobre 1792 au 5 avril 1795. En matière d'économie Cambon a agi toujours en Montagnard, c'est-à-dire émission monétaire contrôlée, impôt progressif sur le revenu, enfin une liberté économique mais avec une forte présence de l'Etat. Comme tous les membres du Comité de salut public il vota lui aussi pour la mort du roi et contra le sursis, pp.183-185

G. Bouchard and . Guyton-morveau, , p.270

. La-gironde, Après l'exécution de sa femme, Jeanne Marie Phipon Roland (1754-1793), il se donna la mort le 15 novembre 1793. Voir Dictionnaire historique le La Révolution Française, Roland avait une réputation de républicain austère et intransigeant et était lié à Thomas Paine, pp.925-927

, Un des « géants de la Révolution », l'avocat Bertrand Barère est au débout de la Révolution réticent à la République et fréquent l'ingelligentsia libérale, aristocratique et bourgeoise

C. Lui and X. Louis, Puis il vota pour la mort du roi, contre le sursis et demande même l'expulsion de tous les Bourbons

, Voir Dictionnaire historique de La Révolution Française, pp.74-77

, Après Thermidor il continua à justifier l'arrestation des Girondins et lorsque la réaction s'accentua (1795) il se solidarisa avec ses anciens collègues Montagnards ce qui a lui valu La fuite du roi à Varennes marque une rupture et, Lindet fut un patriote résolu, régicide et membre du premier et du second Comité de salut public et proche des Montagnards

X. Louis and . Guillotiné, Si Guyton se rapproche de la Montagne, il garde néanmoins une certaine distance et forme avec Cambon, Danton et trois autres « Dantonistes, pp.1742-1810

, Voir Dictionnaire historique de La Révolution Française, pp.677-678

, Sur les détailles du procès voir Albert Soboul, Le Procès de Louis XVI, 1966.

G. Bouchard and . Guyton-morveau, , p.281

L. B. Voir-opinion-du-citoyen and . Guyton, Dans la « révolution du 10 août 1792 » le trône est renversé, et marque l'entrée avec éclat dans la scène politique de la Montagne, dernier Roi des Français, Imprimée par ordre de la Convention Nationale

, Cité par Albert Soboul, La Révolution française, op.cit, p.273

J. Delmas, A la Convention il se range parmi le Montagnards et vote la mort du roi. Néanmoins, il tente d'empêcher l'élimination des Girondins fin mai-début juin ce qui lui éloigne de la Montagne devenue Robespierriste. Plus tard, comme Thermidorien il dénonce les derniers Montagnards. En 1798 il devient fou, est interné et mort à la fin de cette année-là, Dictionnaire des membres du comité de Salut Public, pp.109-110, 1990.

B. Gainot, Dictionnaire des membres du comité de Salut Public, p.25

. Comme-barère, Lindent, tout comme ses amis bourguignons, Lazare Carnot, 1753.

P. Jacotot, . Tartelin, . Chaussier, J. Chabeuf, . Jacotot et al., Que suggère ce rapide coup d'oeil sur le périple politique de Guyton? Nous constatons que, si au début de la Législative Guyton est plutôt modéré, il évolue vers les positions plus radicales des Montagnards. S'agit-il d'une adhésion sincère ou d'opportunisme politique ? Difficile d'en juger. Peut-être les deux à la fois. Son vote lors du procès du roi le situe parmi les « radicaux », mais il est bien loin de soutenir une révolution sociale plus radicale, comme plaidaient, par exemple, quelques 1001 Pendant cette période s'établit à Paris un véritable « réseau bourguignon », qui orbitait autour de Guyton, Patrice Bret a retissé ce réseau et à recensé au moins treize personnes

L. Bret and . 'etat, L'invention de la recherche publique en France (1763-1830), pp.91-94, 2002.

, Les Savants en Révolution, p.81, 1989.

. Dans-une-lettre-À-guyton, Prieur écrit : « La République, mon très cher maître, vient encore une fois d'être sauvée [?], Robespierre, aspirant à la tyrannie et ses hypocrites acolytes ont été guillotinés sur la place de la Révolution La journée d'hier a été aussi terrible que mémorable dans les fastes de la Révolution. », cité par Georges Bouchard, qui reste au Nord) du 10 thermidor an II (28 juillet 1794, jour de la mort de Robespierre), p.212

B. Voir and . Gainot, Dictionnaire des membres du comité de Salut Public, p.26

G. Bouchard and . Guyton-morveau, , p.345

. Robespierristes, et il s'éloigne aussi des idées jacobines de ses collègues Fourcroy 1006

, En fait, Guyton fait partie d'une bourgeoise moyenne qui, et Hassenfratz 1007

, Plusieurs historiens ont déjà livré des études très riches sur le sujet. Ainsi, les ouvrages de Charles C. Gillispie 1009 , de Nicole et Jean Dhombres 1010 , de Patrice Bret 1011 , de Ken Alder 1012 et de Liliane Hilaire-Pérez 1013 exposent les raisons et les conséquences de cette alliance entre la science, l'Etat, l'armée

, Sur les positions politiques de Fourcroy voir W. A. Smeaton, Fourcroy Chemist and Revolutionary, pp.38-67, 1962.

, Sur la trajectoire politique de Hassenfratz voir Emmanuel Grison, L'étonnant parcours du, Les Presses de l'Ecole des Mines, 1996.

, lorsque celui-ci était secrétaire adjoint de l'Académie des Sciences de Paris. Par exemple, nous disposons d'un lettre de Guyton à Condorcet du 23 juillet 1774 où Guyton (vice chancelier de l'Académie de Dijon) remercie son confrère parisien pour il avoir permis aux académiciens dijonnais d'assister les séances privée de l'Académie de Paris. Bibliothèque de l'Institut de France, manuscrit 876. Plus tard, à la veille de la déchéance du roi par l'Assemblée législative, un journaliste relate dans la Chronique de Paris du 5 août 1792, que lors d'une fête patriotique dans la municipalité de Passy « on distinguait d'illustres défenseurs du peuple, Il a été surement influencé par les arguments républicains de son collègue Condorcet.Guyton avait des liens avec Condorcet dès les années 1770, p.445, 1988.

C. C. Gillispie, « Science and secret weapons development in Revolutionary France, Science and Polity in France: the Revolutionary and Napoleonic Years, vol.23, pp.35-152, 1980.

N. and J. Dhombres, Naissance d'un nouveau pouvoir : sciences et savants en France, pp.1793-1824, 1989.

P. Bret and . Etat, L'invention de la recherche publique en France, 1763.

K. Alder, Engineering the Revolution: Arms and Enlightenment in France, pp.1763-1815, 1997.

L. Hilaire-pérez, L. Lumières, P. , and A. Michel, et Périer) « instruits en chimie et en mécanique, chargés spécialement de rechercher et d'éprouver les nouveaux moyens de défense, 2000.

, Académie des sciences de son traditionnel rôle d'expertise

. Certes, Fourcroy et Périer) sont académiciens, mais ils furent choisis pour leurs compétences personnelles, leur patriotisme, mais aussi grâce aux relations qu'ils entretenaient avec Guyton. Ainsi, il ne s'agit ni d'une commission académique

, Pour une analyse comparative de ces ouvrages voir Jeff Horn, « Enlightenment Science and State in Revolutionary France : The Legacy os Charles Coulston Gillispie, Perspectives on Sciences, vol.13, pp.112-132

, Une tentative d'exploitation militaire de la recherche en chimie : Berthollet et la poudre de muriate oxygéné de potasse (1787-1794), Lavoisier et la Révolution chimique, pp.195-238, 1992.

P. Voir, J. Bret, and . Champy, successeur de Lavoisier à la Régie des poudres et salpêtres, membre de l'Institut d'Egypte, pp.177-201, 1990.

P. Bret, Etat, l'armée, la science : L'invention de la recherche publique en France (1763-1830), op. cit, pp.76-82

J. Né-À-grenoble, . Carny-;-y-Étudia-la-chimie, and . Paris, Guyton était proche de Carny et avant de la Révolution ils avaient été associés dans un projet de soudière à Croisic en Bretagne. Sur Carny voir René Amiable, Sur la nitrière de Croisic voir Anne-Claire Doré & Jean Dhombres, « Economie portuaire, innovation technique et diffusion restreinte : les fabriques de soude artificielle dans la région nantaise (1777-1815) », Sciences et Techniques en Perspectives, vol.22, pp.1-176, 1992.

, La Révolution Française et la Science, pp.237-239, 1960.

, Or était devenu l'organisateur et le chef de toutes les usines qui travaillent pour la défense nationale. Guyton, Berthollet, Monge, Fourcroy, parmi d'autres scientifiques travaillent autour de lui dans cet effort pour vaincre les ennemis de la République. La manufacture d'armes de Paris fut la plus importante. Elle occupait 5000 ouvriers et devait produire 1000 fusils par jour, p.219

, Rappelons que c'est le 5 juin 1783 que les frères Joseph et Etienne Montgolfier construisent la première machine aéronautique, c'est-à-dire un ballon de toile gonflé à l'air chaud

L. Gillispie, . Frères-montgolfier, A. Pairs, . Sud, M. Traduit-par et al., A Dijon, dès décembre 1783 l'Académie avait chargé Guyton, l'abbé Bertrand et Chaussier de diriger la construction d'un ballon. Après nombreuses expériences sur le matériel employé dans la toile, sur la production du gaz inflammable (hydrogène) en quantité suffisante, et sur les moyens de direction des machines aérostatiques, Guyton et l'abbé Bertrand réalisent le premier, vol.25, 1748.

J. Conté, , pp.1755-1805

, Le 25 octobre 1793, le Comité de salut public prend un arrêté pour « préparer le 'Académie de Dijon,contenant le détail des procédés, la théorie des opérations, les dessins des machines et les procès verbaux d'expériences

J. Fayet, La Révolution Française et la Science, p.233

, Sur l'emploi de cette méthode pour remplir les ballons d'hydrogène voir Janis Langins, « Hydrogen Production for Ballooning during the French Revolution : An Early Example of Chemical Process Development, Annals of Science, vol.40, pp.291-318, 1983.

V. Jean-pierre-legrand, &. Goff, and L. , Activité des Savants pendant la Révolution française, p.65

. Peut-Être-ce-voyage and . Au-lendemain-de-la-mort-de-lavoisier, Après la bataille de Fleurus, Guyton reçoit l'ordre de regagner Paris, il obéit ouverte jusqu'à 1801 1029 . Au bilan, la mobilisation des savants a-t-elle « sauvé la République » ? En 'utilisation des aérostats et du télégraphe, etc. 1030 . Mais les effets de la 'mobilisation des savants, p.1027

, inventé par Claude Chappe (1763-1805), voir Paul Charbon, « Les systèmes de télégraphes aériens pendant la Révolution, 1791.

, Scientifiques et Sociétés pendant la Révolution et l'Empire, op.cit, pp.479-496

J. Goff and L. , Activité des savants pendant la Révolution française (1789-1795), op.cit, pp.70-76

, Sur cette école voir Des ballons pour la République : les recherches aérostatiques militaires à Meudon de la Révolution à la guerre de 1914-1918, colloque organisé par le Musée d'Art et d'Histoire de la Ville de Meudon et Musée de l'Air, 1989.

J. Voir and . Godechot, Regards sur l'époque révolutionnaire, ch. 10, « L'aérostation militaire sous le Directoire, pp.171-182

J. Biot, vue religieux, les maîtres seraient laïcs, enfin l'instruction donné par l'Etat serait gratuite. Condorcet distinguait cinq degrés d'enseignement : des écoles primaires, dans tous les villages, des écoles secondaires ans les chefs-lieux de districts, des « instituts » pour les meilleurs élèves de l'enseignement secondaire, neuf « lycées » pour l'enseignement supérieur et, au sommet, une « Société nationale des sciences » 1035 . Guyton est tout à fait d'accord avec les grandes lignes de ce plan mais, moins libéral que Condorcet, il pense que l'Etat doit avoir le contrôle total sur le système éducatif. D'autres scientifiques, tels que Lavoisier, Essai sur l'histoire des Sciences pendant la Révolution française, Paris, Dupart & Fuchs, an 11 (1803), pp.81-83

G. Bouquier, , pp.1739-1810

J. Lakanal, Sieyès (1748-1836) et Pierre Daunou (1761-1840) et aussi pour Les Réflexions sur l'Instruction publique, présenté à la Convention par Lavoisier le 22 septembre 1792 1036, pp.1762-1845

J. Voir and . Godechot, Voir aussi Charles C. Gillispie, Science and Polity in France: the Revolutionary and Napoleonic Years, op.cit., chap. II, pp.101-164

V. Condorcet, Cinq Mémoires sue l'instruction publique (1791), présentation et notes par Charles Coutel et Catherine Kintzler, Condorcet : L'école de la raison, 1994.

J. Sur-ce-plan-de-lavoisier-voir, . Poirier, and . Lavoisier, , pp.359-370

J. Voir-dominique, Dictionnaire historique de la Révolution Fançaise », op.cit. Voir aussi Françoise Mayeur, Histoire de l'enseignement et de l'éducation, articles « Instruction Publique/Education Nationale » et « Ecoles Centrales », vol.III, pp.1789-1830, 1981.

J. Selon-le-physicien and . Biot, « ? tous les moyens de défense sortirent de l'atelier obscur où le génie des Sciences s'était retiré. La poudre était ce qui pressait le plus. Les arsenaux étaient vides. On assembla la régie pour savoir ce qu'elle pourrait faire. Elle déclara que ses produits annuels s'élevaient à trois millions de livres

, Lorsque les membres du comité de salut public annoncèrent aux administrateurs, qu'il fallait fabriquer dix-sept millions de poudre dans l'espace de quelques mois, ceux-ci restèrent interdits : si vous y parvenez, dirent-ils, vous avez des moyens que nous ignorons

C. , On ne pouvait songer au salpêtre de l'Inde, puisque la mer était fermée. Les savants offrirent d'extraire tout du sol de la république, Toutes les demeures des hommes et des animaux furent fouillés

, Les résultats de ce grand mouvement eussent été inutiles, si les Sciences ne les eussent secondés par de nouveaux efforts. Le salpêtre brut n'est pas propre à faire de la poudre

, Ainsi] des citoyens de tous les départements furent envoyés à Paris, pour s'instruire dans la fabrication des armes et du salpêtre. On fit sur cet objet des cours rapides, que l'on appela révolutionnaires. Voir J-B. Biot, Essai sur l'histoire générale des sciences pendant la Révolution française, La chymie inventa des moyens nouveaux pour rafiner et sécher le salpêtre en quelques jours, pp.52-54

, Ce qualificatif avait un triple sens, « patriotique

«. Mort and . Tyrans, Programmés des Cours Révolutionnaires sur la fabrication des Salpêtres, des Poudres et des Canons. Faits à Paris, pour ordre du Comité de Salut public, dans l'amphithéâtre du Muséum d'histoire naturelle, et dans la salle des Electeurs, maison du ci-devant Evêché ». 1 er ventôse an II

. Fourcroy, . Berthollet, and M. Hassenfratz,

, Ecole de Mars, située dans la plaine des Sablons aux portes de Paris

, Dans son rapport à la Convention

A. Léon, La Révolution française et l'éducation technique, Société des études robespierristes, p.155, 1968.

, Guyton-Morveau : chimiste et conventionnel, op.cit, p.340

, Document sur www.gallica.bnf.fr.Pour une description détaille de cette école voir Arthur Chuquet, L'Ecole de Mars (1794), vol.4, pp.521-530, 1901.

D. Selon-nicole, Ecole normale sont recrutés dans le cadre de la loi que, en février 1795, crée un embryon de système secondaire avec les écoles centrales (une par département), conçues pour remplacer les collèges de l'Ancien Régime 1046 . Bien que ni l'Ecole de Mars ni l'Ecole normale n'aient survécu à leurs quelques mois d'existence, la Convention a créé une institution éducative qui survit jusqu'à nos jours : l'Ecole des travaux publics, devenue Ecole polytechnique. élèves sélectionnés 1048

J. Guillaume, Procès-verbaux du Comité d'Instruction Publique de la Convention Nationale, op. cit., tome IV, p.529

. Par-exemple,-en-mathématiques-lagrange and . Laplace, en géométrie descriptive Monge, en physique Haüy, en histoire naturelle Daubenton, en chimie Berthollet, en histoire Volney, etc. Sur cette école voir l'article de Dominique Julia au Dictionnaire historique de la Révolution Française, pp.387-389

, Pour la chimie Leçons de physique, de chimie, de histoire naturelle : Haüy, Berthollet et Daubenton, sous la direction d'Etienne Guyon, 2006.

D. Voir-nicole, Les Savants en Révolution, p.94, 1989.

G. Fourcroy and C. Et-monge, Cette Commission comprenait neuf membres dont Prieur

, Document sur www.sabix.org/bulletin/b42/gillipsie.html. mathématiques et connaissances physiques, réparties sur trois années d'enseignement 1049 . La première comprend, d'une part, l'analyse mathématique, avec ses applications à la géométrie et à la mécanique. D'autre part, la géométrie descriptive et la mécanique : la stéréotomie, l'architecture, la fortification et le dessin. Les principaux professeurs de cette branche furent Gaspard Monge, Jacques-Élie Lamblardie (1747-1797 -qui fut aussi le premier directeur de l'Ecole, Alexandre Dobenheim (1752-1840), vol.11, pp.1736-1813, 1994.

B. Pelletier, François Chaussier, ancien professeur de l'Académie de Dijon et médecin à l'Ecole, fut nommé adjoint provisoire. À la différence de la physique, la chimie devait être enseignée dans des laboratoires et donc, pour préparer les démonstrations de cours et assister les professeurs dans leurs recherches, furent nommés trois « instructeurschimiques » 1050 . L'histoire de cette école et le rôle de quelques-uns de ses fondateurs tels que, pp.1761-1797

C. Monge, Fourcroy tout comme les enjeux politiques de sa création et de son organisation a été déjà maintes fois racontée 1051 . Comme toujours, le rôle de Guyton, certes reconnu par les historiens, est toujours considéré comme mineur : il lui manquait la grandeur

. Heureusement, Emmanuel Grison a récemment rendu justice à Guyton

L. Attachés-À-fourcroy, , pp.1754-1811

. Pour-l'histoire-générale-de-la-polytechnique-voir-le-livre-classique-d'amboise and . Fourcy, Pour un regard plus spécifique sur l'évolution de l'Ecole voir l'ouvrage collectif La formation polytechnicienne (1794-1994), sous la direction de Bruno Belhoste, p.1987, 1828.

, Sur le plan pédagogique, rappelons simplement que même si l'objectif était bien précis, c'est-à-dire former d'ingénieurs, l'organisation de l'enseignement avait pour

E. Grison, Document sur www.sabix.org/bulletin/b8/prieur.html. Guyton fut effectivement le directeur de l'Ecole de 1798-1804. Car même si d'abord il était désigné directeur par intérim -lorsque Monge partit en Egypte avec Bonaparte en 1798 -et Guyton lui ait rendit sa place au son retour (24 vendémiaire an VIII -16 octobre 1799), il reprend la place de directeur de l'Ecole lorsque Monge dévient sénateur, vol.8, 1991.

, Dans l'année suivante le mot « préparatoire » remplace l'expression « révolutionnaire » lorsque ce mot est devenu suspect par la réaction thermidorienne, La République avait besoin de savants, p.97, 1987.

C. Fourcroy, J. Par, and . Langins, La République avait besoin de savants, op.cit., annexe H, p.212

W. A. Smeaton, The Early History of Laboratory Instruction in Chemistry at the Ecole Polytechnique, Paris, and Elsewhere, vol.10, pp.224-233, 1954.

, Voir « Développemens sur l'enseignement adopté pour l'Ecole Central des Travaux Publics », cité par Langins, La République avait besoin de savants, op.cit., annexe I, p.256

S. Cependant and . Bruno-belhoste, très vite les projets des fondateurs se heurtent

. «-?-d, de les familiariser avec le langue approprié aux observations qui les font retrouver et reconnaître : on a mis pour cela sous leurs yeux un tableau réduit des caractères extérieurs de Werner, qui leur indique l'ordre dans lequel ils doivent interroger leurs sens, et les expressions adoptées pour en consigner les jugemens ; qui rappelle tous les principes de la méthode descriptive, sans les surcharger de ces détail que l'intelligence peut suppléer même avant l'habitude [?] la description d'un minéral n, 'initier les élèves dans la connaissance des substances infiniment variées qui appartiennent au système minéral

B. Belhoste, La Formation d'une Technocratie, pp.293-297

, Sur le déclin de l'enseignement de la chimie voir J?nis Langins, « The Decline of Chemistry at the Ecole Polytechnique (1794-1805), Ambix, vol.28, pp.1-19, 1981.

, Pluviôse an III (janvier 1794). Chimie, troisième partie -Des minéraux. Cité par Langins, La République avait besoin de savants, pp.192-198

J. Langins, La République avait besoin de savants, op.cit., p. 60. convention fixe et rappelle d'une manière commode les remarques essentielles : la présence de l'objet fera le reste, p.1061

, Il insiste en outre sur l'usage de la nouvelle nomenclature adaptée à la

L. Ainsi, cours se poursuit par un exposé sur les terres, les substances inflammables, les substances métalliques, les substances volcaniques et, enfin, les eaux minérales. L'Ecole polytechnique a ainsi permis à Guyton de reprendre son activité de 'ancienne Académie royale : l'Institut

, Imprimerie de la République, Germinal an III (1794), premier cahier, troisième partie, « Substances Minérales, Journal Polytechnique ou Bulletin du Travail fait à l'Ecole Central des Travaux publique, pp.137-143

, Guyton cite l'article de Haüy « Exposition de la théorie sur la structure des cristaux, Annales de Chimie, vol.17, pp.225-332, 1793.

, « Substances Minérales », deuxième cahier, nivôse an IV (décembre/janvier -1794/95), Guyton présente un résumé des formes cristallines utilisées par Haüy, pp.278-288

, Cet immeuble avait été réquisitionné comme bien d'émigré. A cette époque Guyton habitait presque à côté, au 63 rue de Lille, Chimiste et Conventionnel, op.cit., pp. 348 et 364. Et aussi William A. Smeaton, « Early History of Laboratory Instruction in Chemistry, p.228

, Cet Institut recordera toutes les branches de l'instruction » 1065 . L'Institut national des sciences et des arts fut alors crée le 3 brumaire an IV

L. Voir and . France, , p.20, 1998.

J. Voir-dominique, , pp.568-570

, La première classe comprenait les dix sections suivantes : Mathématiques

, Arts mécanique (Monge et Prony)

, Astronomie (Lalande et Méchain

, Chimie (Guyton et Berthollet

, Historie naturelle et Minéralogie (Darcet et Haüy

, Botanique et Physique végétale (Lamarck et Desfontaines

Z. Anatomie, Daubenton et Lacepède

C. Médecine, Des Essartz et Sabatier

S. Tous, . Prony, . Charles, and L. Guyton, Des Essartz et Gilbert étaient d'anciens membres de l'Académie royale des Sciences. Ils se réunirent pour la première fois le 6 nivôse an IV (27 décembre 1795) dans une sale du Louvre qui avait servit de lieu réunion de l'Académie royale. Voir Pierre Gauja, L'Académie des Sciences de l, p.28, 1934.

, Voir Patrice Bret, « Des essais de la Monnaie à la recherche et à la certification des métaux : un laboratoire modèle au service de la guerre et de l'industrie (1775-1830), in Sciences et techniques autour de la Révolution française, Société des études robespierristes, pp.137-148, 2000.

L. B. Guyton-morveau, Chez Beranard, 1801, 429 pages in-8. La troisième édition française (1805) est sur www.gallica.bnf.fr. Pour les traduction voir, Traité sur les moyens de désinfecter, p.34

W. A. Smeaton and ». Guyton-de-morveau, Dictionary of Scientific Biography, vol.5, p.604, 1972.

G. Cité, . Bouchard, and . Guyton-morveau, chimiste et conventionnel, op.cit., p. 362. (1797) du fer et la conversion du fer en acier (avec Darcet), pp.703-718

, Mémoire sur les moyens de juger la qualité du verre, principalement du verre de table, et de distinguer celui qui sera sujet à s'altérer, pp.387-396

, Sur l'appareil fumivore de M. Gengembre (avec Prony), pp.313-397

L. Voir-frederic, Holmes Eighteenth-Century Chemistry as an Investigative Entreprise, pp.5-10, 1989.

R. Siegfried, From Elements to Atoms. A History of Chemical Composition, pp.100-113, 2002.

. Voir-seymour-mauskoph and . Richard, Kirwan's Phlogisticon Theory: Its Success and Fate, Ambix, vol.49, pp.185-205, 2002.

, Cette diversification de la théorie ne serait-elle pas l'évidence d'une crise qui précède à la révolution ? D'après Bernadette Bensaude-Vincent, cette notion de crise outils conceptuels, des instruments de recherche, au même titre que les matériaux du laboratoire, et enfin des outils pédagogiques

B. Voir and . Bensaude-vincent, Lavoisier : Mémoires d'une révolution, p.421, 1993.

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, Annales de Chimie ou Recueil de Mémoires concernant la chimie et les arts qui en dépendent, et spécialement La Pharmacie. Par les citoyens Guyton, pp.1801-1815

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