A. Joana, est en rien disposée à lui faire quelque faveur que ce soit Après un échange fait de références antiques (Circé, Méduse, Narcisse 8 ), la jeune femme entonne le début d'une « Canson rustica

. La-situation-d-'amour-frustré-est,-À-la-première-lecture and . Fort-banale, Mais les noms des personnages peuvent être lus, selon Jean Penent, comme autant de clés : Joana serait Jeanne d'Albret

J. Dès and . Penent, églogue peut être lue comme l'allégorie, sans doute transparente pour le lecteur contemporain, des deux mariages successifs de la reine de Navarre : Jeanne d'Albret (Joana) a d'abord été mariée à Guillaume de La Mark, duc de Clèves (Clabot), puis, après annulation

A. Donc-sera-ton-mignon-en-poésie,-de-la-reine-de-navarre, Garros éd Garròs apareisseriá quasiment coma un predecessor de Fondeville : l'un e l'autre, amb de tòcas diferentas de segur, venent leis " istorians " , en poësia, de la reina de Navarra. [Là-dessus, Garros apparaîtrait presque comme un prédécesseur de Fondeville : l'un et l'autre, avec des buts différents, bien sûr, deviennent les " historiens 109. « Condorine ? Oh : si jamais aucun d'eux, accablé de chaleur, tombait endormi sous mes noyers, oh ! qu'il pourrait, si un tel cas se présentait, maudire avec raison l'ombre des noyers ! Cathon ? Je lui ferais perdre au moins le ronfler. Guiraude ? Mon idée serait de l'assommer comme un porc, Condorine ? Je voudrais, sans lui nuire autrement, le faire dormir seulement un mois. Cathon ? Ils m'ont laissé (si par hasard vous en avez besoin) une hache pour bien faire la besogne. » Garros éd, pp.95-153, 1953.

«. Eichibet and ?. Peut-Être-ont-ils-nettoyé-la-guiraude, Guiraude ? Vous pouvez le dire : ils m'ont réduite à la pouillerie. Ils ne m'ont pas laissé un chiffon pour couvrir la pudeur des enfants, Plus de pitié aurait des charognes un gros mâtin ou un corbeau affamé qu'eux de ma famille dispersée. » Ibid, pp.44-50

«. La-mère-attentive,-démêle-les-cheveux-embrouillés-de-sa-fille and . Le-matin, tout en la rabrouant ; elle la tourne d'un côté, de l'autre, si jamais il y a quelque chose de mal placé, elle la coiffe d'un filet où se prendront les Gentils amoureux qui l'approcheront ; d'ici là

É. Éd and . Gesner, Traduction (Dacier 1827) : « Un jour qu'il tombait beaucoup de neige, le Roi, voyant un Scythe qui restait nu, lui demanda s'il n'avait pas froid. Le Scythe, à son tour, lui demanda s'il avait froid au visage. Le Roi lui ayant dit que non : " Eh bien, reprit le Scythe, ni moi non plus ; car je suis tout visage, pp.440-124, 1556.

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. La-notion-de-marge, appliquée à la littérature occitane (23) est liée à un modèle particulier d'histoire de la langue française

O. Félibrige, une histoire littéraire interventionniste 39 L'histoire littéraire interventionniste défend une langue minoritaire en l'identifiant à sa littérature (39) ce qui permet la création de catégories indigènes neuves (41) dans un récit moins téléologique que synthétique (42)

.. Essais, 1.1 Pasquier et la première réception des, p.71

«. Les and . Entrent-dans-l-'histoire..., 81 L'élément « gascon » peut contribuer à la qualité d'un écrivain comme Monluc (81) en lui assignant un rôle particulier dans l'histoire littéraire française

«. La and . Malherbe, est composée d'un ensemble de lieux communs critiques (87) parmi lesquels l'entreprise de dégasconisation symbolise la force de l'usage (88)

«. Le and . Français-À-la-gasconne, qui prend forme au tournant du xvii e siècle (99) devient un ressort comique courant dans le théâtre des xvii e et xviii e siècles. (101) S'appuyant sur une écoute précise des variétés de français (103)

L. Enjeux-de-l-'emprunt-linguistique-dans-la-littérature-gasconne, 118 2.4.1 Montaigne et l'inventaire lexicographique français, p.118

L. Projet-de-grammaire-historique-et-comparée-tel-qu, il se développe au xix e siècle (118) est appliquée à l'oeuvre de Montaigne (120) et donne lieu à différentes interprétations de sa richesse lexicale et syntaxique (120) qui mettent au jour les difficultés propres à l

. Ce-qui-importe, enfermer dans ses limites naturelles »126 L'usage de la catégorie de gasconisme aboutit à une interprétation comme stylème pittoresque (126) ce qui masque différents

. Une-anthropologie-historique-de-la-littérature-gasconne, 149 L'influence de l'épistémologie historique (149)

. De-l-'«-imaginaire-linguistique, Houdebine) (151) aux « structures de l'imaginaire linguistique du français

. .. Littérature-périphérique-et-imaginaire-des-langues, 153 L'étude des littératures périphériques a montré la légitimité de la question du rôle de la langue en littérature

.. La-langue-et-ses-traces, 165 L'autre langue peut surgir dans le texte littéraire, autrement que par la monstration d'un emprunt (165) et c'est la reconnaissance de ces traces qui constitue l'« ombre de l'occitan

. La-langue-maternelle-est-un-syntagme-métaphorique, émergence est liée à la perception de la diffraction de la Romania (171) et qui est d'abord une marque d'infériorité (172) avant que son caractère naturel ne se transforme peu à peu en argument d'autorité (173) Notre enquête consiste en un repérage des figures qui nomment la langue maternelle et lui

.. Garros-et-la-langue-de-la-reine, 181 4.2.1 « En l'atge bas apreza » : Garros lecteur de Marot, p.181

.. Le-roman-familial-du-latin-dans-les-essais, 225 5.1.1 Le latin n'est-il que d'un seul roc ?, p.227

.. Le-coût-du-latin, 239 L'échec de l'apprentissage du latin comme langue maternelle est dit en termes monétaires (239) et est lié à la figure du père, évoqué avec ironie dans son rapport naïf aux savants et aux langues (240) de sorte que le latin devient une langue paternelle

. Pensée-littéraire-et-pratiques-polyglottes, Laudun fait correspondre la langue poétique à un imaginaire linguistique français (286) tout en ayant une pratique poétique en occitan

«. La-figure-de and . De-gascogne, (297) et celle d'Henri IV ne rendent pas entièrement compte des liens entre l'imaginaire « gascon » et l'imaginaire soldatesque

P. Garros, «. Présenté-comme-un-poète-du, and . Terroir, et adoptant , de fait, une langue locale, (319) n'est pas dans une posture de contemplation du « pays » (322) mais propose une sorte d'« empaysement

. Montaigne, en se désintéressant des « séquelles babéliennes » (400) porte son attention sur la diversité linguistique et interroge le statut de la traduction biblique (401) au travers, notamment

. Montaigne, dans sa réflexion sur la condition humaine, a recours à la figure du régional (406) tout comme la figure du « Basque » réapparaît pour montrer les limites du discours humain (408) tandis que la figure de l'enfant isolé tend à reposer le problème de la connaissance humaine en termes de communication