A. Harasko, Die Vertreibung der Sudetendeutschen. Sechs Erlebnisberichte, Die Vertreibung der Deutschen aus dem Osten, op. cit, pp.132-147

. Ibid, 119 : « Hanna rougit de honte, touchée au plus profond d'elle-même par cette accusation qu'elle trouvait non seulement injustifiée mais de surcroît lancée en présence d'un étranger

. Ibid, une conversation entre les deux jeunes gens qu'Anna est enceinte de trois mois : « ? Il [Erich] s'arrêta devant la porte. ? ?C'est pour quand. ? Je croyais que tu n'allais même pas me le demander. ? Anna replia la toile cirée que sa logeuse avait étendue avec démonstration sur le sofa peluché après la dernière visite d'Erich. ? Dans six mois, pp.153-154

. Ibid, Une si !belle carrée, rien que parce que c'est !toi Si le chef du bureau des personnes déplacées=à la mairie !l'apprend : que je loue 1 logement prévu pour 3 rien qu'à 1 seule ? :&mima la conspiration, &tendit ses pattes de navet, encaissa à l'avance le loyer pour 3 qu'Anna lui versa. » 1262 Ibid. pp. 68-69 : l'hôtelier descend les escaliers, « (rejet[ant] dans la pièce étroite des nuées de transpiration à travers les déchirures de sa veste & par sa braguette ouverte?..) », plus loin, une autre scène décrit l'attitude étrange de l'hôtelier : « Parfois, les marches qui menaient à la chambre d'Anna craquaient, le plancher, puis des pas lourds & solides de golem s'attardaient devant la porte en fines planches ; et : des couinements, comme si des rats geignaient là=dehors ; l'ombre des crampons d'épais souliers écrasait le rai de lumière clair sous la porte [?] Puis les pas s'éloignèrent en faisant craquer les marches en descendant. » 1263 Ibid. p. 72 : « ? Ils avaient fini par s'associer depuis-le-temps qu'ils se rencontraient régulièrement & ils échangeaient, ou volaient parfois en un tour de main

. Ibid, Erich lui demande : « ?Tu as déjà de l'expérience ? », elle pense, mais ne répond pas : « mon expérience s'appelle nuits dans le camp de travail. », puis « Mm?oui, ah oui, pp.70-71

. Ibid, Il se trouvèrent et leurs bras&doigts coururent frénétiquement sur leur peau ? 2 bouches murmuraient et mordaient des paires=de lèvres tendues dans un baiser ? , Pauvre malheureux songèrent les doigts d'Anna quand ses phalanges s'égarèrent sur les épaules étroites ? le long des côtes ? de la colonne vertébrale en dents de scie ? é comprirent qu'ils étaient semblables, elle et lui, aussi dans !cette faim-là. » « (Répondit Anna en direction de la pénombre, vers l'endroit où elle croyait trouver le visage du gamin.)

. Ibid, 129 : « (Demanda-t-il en ricanant sournoisement, mais personne ne pouvait le voir dans le noir

. Ibid, Dans sa voix une lueur d'ironie désobligeante. Anna ne répondit pas. [?] ? Et :?qu'est-ce que tu fabriques. (Demanda-t-il en ricanant sournoisement [?] Anna ne répondit à sa question

. Ibid, Maman me l'a cousue pour la fête du bal. (Annonça Anna avec fierté et passa la main sur le tissu lisse.) ? Mais je l'ai déjà portée plusieurs fois en cachette, parce que le samedi=avec mon fianc » L'absence de point indique au lecteur que cette conversation n'est pas terminée. La narration s'arrête ici brutalement pour revenir au personnage d'Hanna, qui découvre en même temps qu

. Anna-s-'était-fiancée-en-catimini, 104 : lors de la conversation entre le chef de service et Hanna, celui-ci explique : « [?] et tenais à vous dire que malgré la guerre et les expul -: École Heinrich Heine - Je voulais vous dire que : malgré le !transfert de Silésie [?] » Le mot est même coupé par une indication de lieu, qui nous laisse penser que c'est un mot que nous laissons en arrière. Puis, lors de l'entrevue avec la directrice du lycée de Birkheim, cette dernière déclare : « -Personne ne doit me reprocher de ne pas avoir donné une chance à une réfu ? une chance à une être jeune. » 1327 Ibid, pp.96-134, 1326.

. Ibid, Anna arrêta sa jacasserie=légère, tâtonna à la recherche de bougies et d'allumettes ? la flamme jaillit du bois en sifflant et une lumière jaune qui sentait la cire s'éleva de la mèche. Anna leva des yeux interrogateurs vers le gamin. » Les processus narratifs dans ce roman, tout comme chez Reinhard Jirgl en général

. Ibid, puis : « suis venu spécialement de Munich ? pas vraiment la porte d'à côté, pour rappliquer dans ce patelindezonepaumé=dansleculdumonde ? Tout=ça, c'est rien qu'à cause !de toi ? c'est rien que pour !toi que je l'ai f, pp.137-138

. Ibid, 139 : « -Approche. ?Dit-elle. Elle tendait les deux bras vers le gamin hors de la pénombre jaune et noire

. Lui-toujours-estomaqué, effrayé, une question l'empêchait encore ?Mais tu asdonc un fi ?!an -: -Allez

. Amèntoi, Le pantalon glissa le long des jambes dans un froissement d'étoffe lascif. ? Voilà. Et amènetoi. » 1353 Ibid. p. 139 : « Ses bourrades comme des coups de poings dans son sexe, elle avait mal, elle pressa 1 avantbras sur sa bouche, le mordit ? , une plainte douloureuse et broyée échappée par lambeau de sa bouche ? le lit grinçait terriblement ? (Anna ne savait pas é voulait ignorer en vérité que les coups é la haine ne s'adressaient pas à elle, pas à elle toute seule ; en ces instants elle n'existait même pas pour le gamin qui sentait la sueur aigre de cabot ? : il ne la baisait pas vraiment : il ne baisait pas vraiment une femme, pas un corps, pas son sexe, il baisait ici&maintenant contre cet inconnu, p.1354

. Ibid, 71 : « Anna, nue, gratta l'émail du petit lavabo, l'eau froide de la cuvette éclaboussa de partout et retomba en clapotis, ventre & cuisses arquées elle lava le feu des hiéroglyphes pâles, pp.145-146

. Ibid, Reiner précise : « Presque toutes les économies des deux femmes Y furent englouties

. Ibid, « (Le chef d'équipe agita sa main dans un geste de dénégation quand Maria se renseigna pour trouver un transporteur adapté

. Ibidàsteurci and . Impossible, Suidésolé Mam'sellerosenbach. (L'homme se comportait comme si l'oubli était de la faute de Maria.) ? Vouzauriez dû le dire plutôt. !C'est qu'on va avoir un transport de machandises d'un-momentàl'autre, j'ai b'soin de tousmesgars=ici. (Maria, en pleurs ? ) ? Allon !allon Mam'sellrosenbach. Voyondoncvoir ? (l'homme feuilleta gravement un registre) ? Ch

. Bonhommes-jeudi-matin, Alorpadpanikpavrai Chèrema'me. Padzouci, tout ira comme !surdéroulettes ?, 1441.

. Ibid, Le ciel enflait depuis-des-jours et des vents violents s'abattaient sur la contrée ? déracinant des arbres, arrachant des toitures. Hanna & Maria attrapèrent dans la cave la vieille charrette à bras qui avait servi en son temps au déménagement de Schieben vers Birkheim, elle la chargèrent comme-alors de caisses, paniers, sacs et trimballèrent ainsi vaisselle, vêtements, quelques ustensiles de cuisine vers le nouvelappartement, pp.54-55

. Ibid, Pardonnez-moi? ? il dut se racler la gorge pour pouvoir continuer à parler ? ? pardonnezmoi la manière avec laquelle je vous pose cette question, mais je manque d'expérience? pensez-vous? croyezvous que je vous? que vous me? que nous nous? que nous pourrions peut-être mieux faire connaissance, p.98, 1581.

. Ibid, En allemand, tout cela semblait parfaitement incolore 60 : « Bude to fus?ka ! dirait-il s'il était tchèque ? « ce sera un sacré travail ! » 1584 Ibid. p. 138 : « Bien après minuit, il entendit le chauffeur annoncer qu'ils étaient à Prague et demander où il devait les déposer. Il s'en fallut de peu que Buback réponde en tchèque. » 1661 HM, op.cit., pp. 496-497 : « Mais la haine à l'était brut s'était déjà déchaînée tout autour Une forêt de poings menaçants, d'injures et de menaces surgit. Les Allemands reçurent des jets de salive par-dessus la tête de l'escorte. Morava vit de l'irresponsabilité dans de nombreux regards. » 1662 Les Inachevés, op.cit., p. 221 par exemple, lorsque ce « On » évoque les collègues qui profitent d'Hanna alors que celle-ci est la retraite : « On craignit des embêtements lorsqu'elle perdit une fois connaissance derrière le guichet, à la fin d'une journée de paie, après le départ du chef de caisse ; On s'abstint désormais de lui demander de l'aide?.. ». Ce « On » ponctue le récit et cet exemple illustre à la fois le manque d'égard dont souffrent Hanna et Maria et l'opposition entre les Rosenbach et une société anonyme, ou plutôt une société qui leur reste anonyme puisqu'elles ne sont finalement pas intégrées dans l'Allemagne de l'après-guerre. 1663 Grass : « Depuis l'époque où j'habitais, au début des années soixante, une petite chambre dans l'appartement mansardé de Schmargendorf, pas un meuble n'avait bougé. Tout ce qui traîne là de bibelots, sans pour autant avoir pris la poussière, a l'air comme d'avant-hier, Certes, Morava continuait à réfléchir à ses questions les plus innocentes avant d'y répondre. » 1583 Ibid. p. 33 : « Il regretta de ne pouvoir l'engueuler dans son ancienne langue maternelle dans le Lac des cygnes et Coppélia, en solo, toute menue, ou à côté de son maître de ballet tout aussi fin?, de même, Mère est tapissée de souvenirs

. Ibid, « Ma famille célébrait toujours les plus beaux enterrements. [?] Lorsque ma grand-mère disparut, ce fut encore une fois comme dans mon enfance. Une dernière fois. Tous étaient réunis et lui rendirent un dernier hommage, à elle, la matriarche, qui avait régi avec coeur à l'intérieur, pp.9-10

. Ibid, 149: «Elle eut pour effet de me faire considérer " le Russe " comme l'incanation du mal par excellence. Lorsque j'avais six ans, ma mère m'acheta une veste coupée comme un tablier cosaque

. Ibid, Petra pense que les réfugiés sont des êtres à part, tels que « les roux, les gauchers, les Westphalien », mais aussi que l'on naît réfugié : « Lorsque je n'étais encore qu'une toute petite fille, j'étais convaincue que l'on venait au monde en étant déjà réfugié. On grandit, et au bout d'un moment ça y est : on doit fuir

. Ibid, 21 : « La Pologne était pour moi à l'époque un pays encore plus éloigné que la lune. » 1690 Ibid. p. 26 : Petra raconte comment elle résume ses origines à Hanna, sa traductrice

. Allenstein, » 1691 Ibid. p. 44 : il s'agit d'une auberge

. Ibid, Petra avait toujours cru que sa grand-mère se faisait appeler Ania et non Anna uniquement pour être à la mode. Lorsqu'elle rencontre Frau Piateck pour la première fois, elle lui demande si elle se souvient de son grand-mère Aloysius Cette dernière lui demande en retour des nouvelles de sa grandmère : « "Et sa femme alors, Ania ? Comment va-t-elle ? Elle prononce les prénoms de mes grands-parents comme s'ils avaient quitté Reu?en hier. Ania ? dit-elle avec douceur, et non pas Anna. Et nous qui nous étions toujours moqué de ma grand-mère, Nous pensions qu'elle se faisait appeler Ania pour être à la mode. » Frau Piateck parle le même dialecte que les grands-parents Reski : « Nu aber sejine Frau, die Ania ? Was macht sie ? » ou plus loin : « Nu wejinense, pp.44-1697

. Ibid, Il y avait eu une époque où l'infamie subie par sa nation le faisait tant souffrir qu'il aurait été capable d'aller jusqu'à mourir pour sa liberté. » 1698 Ibid. p. 122 : « Il aurait aimé savoir à quoi ressemblerait cette région après la guerre. S'ils n'étaient pas tous morts, reverrait-il ici ses camarades d'école, qui criaient « Heil ! » autrefois en classe et hurlaient « Retournons au Reich ! » dans le gymnase ? Serait-il encore possible de vivre ici les uns à côté des autres ? » 1699 Ibid. p. 360 : « À la surprise de Morava, ils n'étaient pas retournés à la direction de la police. [?] Morava était de plus en plus étonné. Y avait-il une seconde Prague, une seconde police et un second Beran dont il ne savait rien ? » 1700 Ibid. p. 77 : « Mon amour, lui chuchota-t-il en pensée, que ferais-je si je te perdais ? Il sentit les larmes lui monter aux yeux, ce qui ne lui était plus arrivé depuis la mort de son père. » 1701 Ibid. p. 121 : « La conversation avec sa mère tranquillisa Morava. Pendant des années, il s'en était voulu d'avoir détruit son rêve en ne reprenant pas le métier familial. [?] Pressé par le temps, il lui raconta à toute vitesse tout ce qu'il savait de Jitka. Il fut d'abord effrayé de la voir pleurer. Serait-elle en plus jalouse ? Mais elle l'enlaça aussitôt et dit qu'il l'avait rendue heureuse au-delà de toute expression. » 1702 Ibid. p. 319 : « Ses autres collègues de la police criminelle virent un homme qui semblait le même que celui qu'il avait toujours été et qui se comportait comme s'il ne s'était rien passé, Morava ne reconnaissait plus Prague. Il lui semblait que la ville se réveillait six ans après le traumatisme de la capitulation de Munich. se montrèrent consternées. Ce jeune homme était-il à ce point insensible ? » 1703 Ibid, p.354

. Ibid, le désir profond de sa mère : retourner au-Pays. Car tout ce qu'Anna avait entrepris depuis qu'elle avait quitté Birkheim pour Leipzig, [?], tout cela, elle l'avait fait en sachant que chaque jour gagné était un jour=de-plusqui-l'éloignait de ce-Pays?.. Pour cela, Anna avait pris son parti de bien des choses. » 1726 Ibid. p. 81 : c'est en effet Erich qui fera naître chez elle la sensation de manque : « Pour la première fois, Anna comprit que quelqu'un pouvait lui manquer. » 1727 Ibid. p. 240 : « Par ailleurs, elle réussissait à maintenir le niveau de concentration à une surface équipotentielle=constante, si bien que des réminiscences soudaines ayant trait à sa vie privée n'arrivaient pas à rompre l'équilibre dans ces temps vides de concentration & d'occupation qu'on pouvait redouter. » 1728 Ibid. p. 108-109 : « C'est ce qu'on verra. Cette petite phrase était sans doute la 1 ère que mère et fille prononçaient simultanément en pensées depuis longtemps, Anna avait essentiellement mené sa vie contre son plus grand ennemi, 2007.

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