, Recherches sur les cordonniers parisiens dans la 2 e moitié du XIX e siècle (1850-1900), Paris X, Béatrice Juillard, L'origine des magasins de nouveauté à Paris au milieu du XIX e siècle, 1978.
, Evolution de la géographie industrielle de Paris et de sa proches banlieue au XIXe siècle
, Cette publication s'appuie sur un fichier des établissements parisiens conservé par le CNAM. 202 A la différence de l'anglais qui, 1976.
, 235 p. 203 Cf Jean Bouvier, « Recherches sur l'histoire des mécanismes bancaires en France dans le dernier tiers du XIXe siècle : sources et problèmes », article paru en 1955 repris dans Histoire économique et histoire sociale 204 Le terme d'établissement de crédit est le plus approprié et? le plus élégant. 205 Cf. David S. Landes, « Vieille banque et banque nouvelle : la révolution financière du XIX e siècle », Revue d'histoire moderne et contemporaine, t. III 206 C'est cette dernière option qui a été privilégiée au nom de la distinction entre sociétés de personnes et de capitaux. Cf. dans l'introduction des Banquiers?, op. cit., tableau n°1 : répartition des notices par statuts et types d'activité, La City de Londres 207 Sur la définition de la haute banque, cf. Robert Bigo, Les banques françaises au cours du XIX e siècle Les banques européennes et l'industrialisation internationale dans la première moitié du XIX e siècle et « Le crédit et la monnaie : l'évolution institutionnelle Les Rothschild et les autres... La gloire des banquiers, pp.1870-1914, 1947.
, La banque et les banquiers en France du Moyen Âge à nos jours, p.p, 1992.
, Alain Plessis), cette journée d'études s'est tenu sous la présidence de Maurice Lévy-Leboyer et François Jéquier à la fondation Dosne-Thiers. 262 A noter la mixité confessionnelle, comme d'ailleurs dans les opérations menées par la haute bourgeoisie financière parisienne : Bussierre et Turckheim sont luthériens, Humann et Saglio catholiques, Ratisbonne appartient à une famille juive originaire de Fürth (comme les Koenigswarter) qui se rendra célèbre par la conversion retentissante de Théodore en 1827 Usine de Graffenstaden (1837) Selon Claude Fohlen (« Sociétés anonymes et développement capitaliste sous la Monarchie censitaire, Forges d'Audincourt (1824), Filature et tissage mécanique du Bas-Rhin à Huttenheim (1826), filature de Poutay Sucrerie de la Meinau (1836)), l'industrie ne compte que pour 6,5 % des capitaux investis dans les sociétés anonymes entre 1815 et 1848. 264 Cf. Robert Boigeol, « Une famille protestante dans le textile : les Boigeol, pp.186-73, 1818.
, autres, de voir les choses, car les créations bancaires se poursuivent dans les années soixantedix avec la Banque franco-égyptienne 288 , la Banque de l'Indochine 289 , l'Union générale 290 , etc. ainsi que le groupe d'affaires Soubeyran construit autour de la 282 Pour une vue d'ensemble, voir François Caron, Histoire des chemins de fer en France, I et suiv. ; A.J. Tudesq, « La crise de 1847 vue par les milieux d'affaires parisiens », Aspects de la crise et de la dépression de l'économie, Bibliothèque de la révolution de 1848 Deux crises économiques modernes : 1846 et 1848 ? », 1848, révolution et mutations au XIXe siècle, pp.1740-1883, 1956.
, 454 p. 285 Sur la fondation du CIC, la base reste l'article de Guy Beaujouan et Edmond Lebée, « La fondation du Crédit industriel et commercial? », op. cit. Sur les banques de province affiliées, voir Edmond Lebée, « Le groupe des banques affiliées au Crédit industriel et commercial ; ses origines et son développement Le livre en préparation d'Hubert Bonin sur l'histoire de la Société générale. 287 Cf, Histoire des entreprises et Hubert Bonin, pp.5-39, 1961.
, Banque coloniale ou banque d'affaires. La Banque d'Indochine sous la Troisième République, 1993.