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J. Pour-sa-part, Claude 110 propose les procédures suivantes

. L'étude-d'opportunité,

, L'évaluation du bien-fondé des valeurs

, L'évaluation continue d'un dispositif en place

, La mesure d'impact

, A ce titre, le management par les valeurs se rapproche, à certains égards, d'un projet de conduite de changement

L. S. Paine, pour sa part, a identifié deux grandes stratégies en matière de comportement éthique et de management par les valeurs : -La stratégie de conformité, vol.111

, -La stratégie de l'intégrité (qui relèverait, dans une perspective plus large) du management par les valeurs

H. Steinmann and &. Olbricht, , vol.112

J. Claude, Le management par les valeurs, Editions liaisons, p.184, 2001.

L. S. Paine, « Managing for Organizational Integrity, Harvard Business Review, vol.72, pp.106-117, 1994.

H. Steinmann and &. Olbricht, Business Ethics in US-Corporations -Some Preliminary Results from an Interview Series », Ethique des Affaires, p.1996

, Comme dans tous les cas de ce type, on se réfère aux catégories du Total Quality Management (audit, auto-évaluation, reporting) comme pouvant constituer une référence managériale

, et ceci n'est en rien une critique mais une constatation, au-delà des différences dans les définitions et les approches, il y a un fil rouge qui mène à la protection de l'entreprise avant toute chose. Assurer sa rentabilité étant pour elle une mission vitale, elle doit éviter les sanctions financières coûteuses, et tenter de les minimiser lorsqu'elles sont inévitables et protéger sa réputation, car toute atteinte à celle-ci possède des répercussions sur sa performance sous diverses formes, Quels enseignements peut-on tirer de la présentation de ces éléments ? 1-Tout d'abord

, Dans la même perspective, les programmes d'éthique ont aussi pour but de motiver le personnel, d'assurer sa loyauté et de maintenir sa productivité ; en effet, les organisations qui sont à l'écoute du marché au sens large ont constaté un mouvement de critique chez les citoyens et les consommateurs face aux trop nombreux scandales qui agitent le monde des affaires. Ces mêmes citoyens sont aussi les employés et

, Il existe des programmes qui ont pour objectif de créer une situation « gagnantgagnant », c'est-à-dire bénéfique également pour les employés, notamment en garantissant des conditions de travail plus rassurantes (harcèlement, transparence, discrimination, etc.) mais il doit être clair que la fonction d'Ethics Officer est avant tout une fonction créée par l'entreprise pour l'entreprise. D'ailleurs, aux Etats-Unis, l'ensemble « E.O. + programme éthique

, Ethics Officer s'est développée. Le « marché » est porteur, les organisations se sont engouffrées dans le « Socialement Responsable » et, de ce fait

L. Etats-unis-n'ont-le-monopole-ni-du-vice-ni-de and L. Vertu, Si la fonction s'y est développée en peu de temps, c'est parce que les Ethics Officers sont, pour la plupart, des « enfants » des Guidelines. Dans les autres pays, Canada, Europe, il y a certes une influence américaine directe très forte (via les filiales) et aussi une influence indirecte non négligeable, celle du modèle américain de la réussite dans les affaires. Aux Etats-Unis, la fonction d'Ethics Officer a évolué vers celle de CSR Officer

. -officier-ou-gentleman, éthique amène-t-elle l'organisation à avoir un comportement plus éthique ? Tout dépend de ce que la DG en attend et de la personnalité du titulaire. Aux Etats-Unis, où les organisations sont très « compliance minded », il est clair que l'Ethics Officer, comme son titre l'indique, est chargé d'une mission bien précise : mettre son organisation à l'abri des ennuis ! Au Canada, en Europe et ailleurs, on trouve également cette fonction d'Officer avec des ordres de mission très précis, la fonction crée-t-elle l'organe ? La désignation d'un responsable d