, eau douce entraîne l'augmentation des coûts de matières premières, ce qui perturberait l'activité de l'entreprise

, Des risques en matière de responsabilité : les entreprises risquent de faire face à des poursuites juridiques croissantes

, Des risques réglementaires : les pouvoirs publics peuvent être amenés à restreindre l'accès aux ressources et aux terres en jouant sur les procédures de délivrance de permis ou de moratoires

, Des risques de réputation : les différentes parties prenantes exercent une pression sur les entreprises pour qu'elles signalent et gèrent leurs risques environnementaux et pour la société. Les attentes en matière de biodiversité sont hautes pour les consommateurs pouvant mener à des boycotts

, Des risques de marché : les préférences et exigences des consommateurs peuvent créer un risque de marché

, Des risques financiers : le secteur financier est aussi menacé par la perte de biodiversité qui pourrait entraîner l'augmentation du montant des primes, un problème d'accès aux capitaux et une réduction des opportunités d'investissement. Au fur et à mesure de l'augmentation des risques écologiques

. C'est, ce qui conduit à questionner la place de la biodiversité dans le reporting extrafinancier, qualifiée de « grande oubliée des politiques de RSE » au regard des obligations réglementaires avec : -L'obligation de réaliser une Déclaration de Performance Extra Financière (DPEF) depuis 2018 -terminologie de dénomination du rapport extra-financier (avec une « approche risque » pour la société et l'entreprise) où l'identification de l'enjeu « biodiversité » est relativement absent des matrices de matérialité

. -l', obligation de publier un Bilan Carbone pour les entreprises françaises (réalisé par entité juridique française, en complément du reporting consolidé généralement publié dans le reporting extra-financier selon des méthodes différentes)

. -l', obligation de publier un plan de vigilance (approche risque focalisée sur les atteintes graves aux droits de l'homme, à la santé et sécurité des personnes et à l'environnement)

, Une question majeure est donc celle des métrologies et de leur traduction sous forme d'indicateur. Le rapport cite : -L'Indicateur de Qualité Ecologique (IQE) et l'Indicateur de Potentialité Ecologique (IPE) du Muséum National d, Histoire Naturelle

, Le modèle Pression-eEtat-Réponse (PER) de l'OCDE fondé sur la notion de causalité entre les pressions P pesant sur la biodiversité (pollutions, artificialisations), l'état E de la biodiversité et les réponses R apportées par les sociétés humaines, -Les indicateurs d'impacts et indicateurs de pressions tels que, 2006.

, en 5 catégories -les critères en lien direct avec le monde vivant (matières premières, etc.), les critères liés aux marchés actuels (dépendance du chiffre d'affaires à la biodiversité etc.), des critères liés aux Ainsi qu'un besoin de compétences globales et transversales dans de nombreux métiers existants en matière de sensibilisation d'éco-design et d'écoconception