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, Sur nos recherches réalisées en, Cette année-là j'ai présenté le temple lors du Colloque international sur les oracles dans l'Antiquité et les cultes d'Apollon en Asie Mineure, organisé à Izmir du 17 au 20 août par N. Sahin. Voir les actes, vol.55, 2006.

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.. De-la-fin-du-ii-e-s.-av, . Ic, . Iii, L. Iv,-n-o-;-voir, A. Costa et al., Compte tenu des moyens humains et financiers disponibles, et en accord avec les autorités grecques, il n'était pas envisageable d'étendre la prospection archéologique à l'ensemble du territoire de la cité d'Itanos. La zone prospectée (fig. 4) correspond à l' « hinterland » immédiat de la ville d'Itanos ; elle s'étend sur près de 20 km 2 et représente quelque 15 % du territoire supposé de la cité hellénistique. Ce choix permet surtout de mieux comprendre comment cette cité avait exploité son territoire. En effet, à l'inverse de la plupart des cités crétoises, Itanos n'est pas implantée dans une région montagneuse mais sur le littoral, et elle était connue dès 118. La réalisation de ce site Web a bénéficié du soutien du ministère des Affaires étrangères, de l'Institute for Aegean Prehistory (INSTAP), ainsi que de l'EFA. Pour une description complète de ce projet, Archeologia e calcolatori, vol.20, issue.9, 2009.

, Seule la typologie des tombes permet parfois de hasarder quelques hypothèses. Les sites les plus anciens (fin du Néolithique -début du Bronze Ancien), assez rares, sont situés en hauteur, dans une position de défense et de contrôle du territoire étendu à leur pied. L'un de ces sites est un éperon barré (Vamiès 17), flanqué de part et d'autre de deux ravins profonds. Les fragments de murs massifs ne permettent pas de reconstituer les formes architecturales de l'habitat. Un autre (Alatopatela 12) montre un regroupement de pièces à flanc de colline, avec le même type de murs à gros appareil, certaines assez soignées -l'une disposant par exemple d'un seuil en calcaire blanc. Le contraste est vif avec les sites d'occupation maximale du territoire, ceux du Minoen Récent I, installés pour l'essentiel dans la dépression centrale de la péninsule, peut-être majoritairement le long d'une route menant de Palaikastro vers le Nord, de grosses bâtisses plus ou moins carrées d'env. 8 à 10 m × 10 m parsèment le paysage à peu de distance les unes des autres (entre 150 et 300 m), souvent sur une petite éminence. Les sites de hauteur sont négligés. Il est malheureusement évident que la destruction de la zone centrale de la plaine d'Itanos par les aménagements agricoles récents a détruit nombre d'entre elles, et certaines autres sont réduites à l'état de quelques restes de murs. Néanmoins la céramique est toujours abondante et comporte parfois de la vaisselle fine (coupes en majorité), Nous tenterons ici de fournir une classification des différents types d'occupation du sol 119 . En premier lieu on trouve les habitats, assez facilement reconnaissables tant au niveau des structures apparentes que du matériel résiduel. Viennent ensuite les sites défensifs ou les édifices d'observation sur les points les plus élevés du territoire, les routes, les carrières, les aménagements agricoles, ainsi que les zones cultuelles et funéraires

, Quelques tessons minoens sont présents sur le site et peuvent indiquer la présence d'un habitat antérieur, mais les structures apparentes appartiennent principalement à la période hellénistique et romaine. D'autres établissements de ce type se rencontrent en différents endroits, y compris sur les hauteurs (Soros 74 ou Vamiès 13). Il faut noter que la plupart des sites minoens antérieurs sont réoccupés et leurs constructions massives réutilisées. Les sites défensifs et d'observation sont représentés surtout par des constructions isolées, de type tour de surveillance, La période grecque est surtout représentée par des habitats d'époque assez tardive, même si la céramique archaïque et classique est présente sous forme dispersée en de nombreux points du territoire

, Sur les premiers contreforts de la colline de Vamiès, un petit sanctuaire a pu être identifié (63) sur le piémont de la colline dominant vers l'Est le secteur urbain d'Itanos. Le nettoyage de surface a révélé les soubassements d'un édifice quadrangulaire (6,50 × 5,23 m), orienté Est-Ouest, constitués de gros blocs. Certains de ces blocs présentent un lit d'attente soigneusement travaillé à la pointe et au ciseau. En contrebas de la terrasse, de petites cavités creusées dans le rocher sont aujourd'hui largement comblées, Divers tronçons de routes, matérialisés par deux rangées de pierres dressées de chant de part et d'autre du tracé, ont été repérés. L'une d'elles (Stéphanès 40) suit une direction Nord-Sud et reliait vraisemblablement la ville minoenne de Palaikastro à la plaine d'Itanos, desservant l'ensemble des bâtiments minoens du vallon de Stéphanès. Plusieurs carrières renfermant des blocs taillés et des colonnes ébauchées sont repérables sur le territoire. Les plus importantes sont celles de Kalamaki (19 et 20) et de Vaï, vol.26, p.27

, On peut néanmoins émettre l'hypothèse que les tombes les plus petites appartiennent au Minoen Ancien (celles de Vamiès 15, en particulier), d'autant que quelques tessons de cette époque sont présents en surface. Les amoncellements pourraient être plus récents. Dans l'ensemble, la péninsule d'Itanos présente des vestiges d'une grande richesse pour comprendre la succession chronologique des diverses phases d'occupation humaine et d'exploitation d'une zone rurale au cours des siècles et des systèmes politiques, À l'exception de la nécropole grecque d'Itanos, située à proximité immédiate de la ville, des zones funéraires vraisemblablement plus anciennes ont été repérées, en majorité sur les hauteurs occidentales de la péninsule