, tirée des noires côtes que porte au-dessous de l'antre de sa gueule, la baleine habitante de la mer de Bretagne ; en sorte que le chevalier, déjà grand de sa personne, ajoutant ainsi à sa taille ce bizarre ornement, semblait encore plus grand .» 42. Voir les travaux de J. Morsel, La noblesse dans la mort, Autour des morts. Mémoire et Identité. Actes du v e colloque international sur la sociabilité, pp.387-408, 1998.

M. Pastoureau and D. Totem, Le cimier héraldique et la mythologie de la parenté, Razo. Cahier du Centre d'Études médiévales de Nice, pp.39-63, 1986.

, Voir aussi mon article à paraître Masque de guerre et don des armes. Les échanges de cimiers, une pratique chevaleresque à la fin du Moyen Âge, Armes et jeux militaires dans l'imaginaire médiéval (xi-xv e siècles), éd. C. Girbea. 46. C'est par, Voir les exemples cités par Fraenkel, La Signature, pp.51-64, 2001.

É. A. Allirot, M. Gaude-ferragu, G. Lecuppre, É. Lequain, L. Scordia et al., Cette dimension est particulièrement mise en oeuvre dans le tableau de Van Eyck, Tymotheos (Londres, National Gallery, Inv. NG290), Voir mon article Caput regis, corpus regni: le heaume de parement royal à la fin du Moyen Âge, Une histoire pour un royaume (xii e -xv e siècle), vol.52, pp.27-29, 2010.

N. Schneider, Voir n. 50. Sur sa réalisation, voir É. Taburet-Delahaye, L'orfèvre Jean Nicolas et deux clients princiers, Contribution à l'art du portrait chez Jan van Eyck, Le Portrait individuel, vol.53, pp.29-34, 2001.

É. Gondret-lebailly, L. D. Louis, and . Duc-de-guyenne, , pp.357-374, 2005.

J. Nicolas, une esmeraude a la semblance de mons. de Bourgogne, donné a mons. de Bourgogne le jour des estrennes 1411 (Extraits des comptes de l'hôtel du dauphin Louis, duc de Guyenne, Paris, BnF, ms. fr. 32511, fol. 7v, art. 21, cité par Gondret-Lebailly, Le Dauphin Louis, duc de Guyenne, et les arts précieux. 55. Notons toutefois que nous en connaissons d'autres exemples, un réalisé pour ce même duc, d'autres pour son oncle, vol.55, p.134, 2004.