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, Ces textes sont pratiquement les seuls documents à notre disposition et c'est

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, Les tombeaux des rois Z?gw? Yemre?anna Krestos et L?libal? (XII e -XVI e siècle), et leurs évolutions symboliques » dans ce même numéro, 2011.

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P. Marrassini, , pp.117-135, 2003.

, Au fol. 14v du microfilm EMML 54 se trouve le dialogue suivant entre le Christ et L?libal? : « Puis un jour Notre Seigneur lui rendit visite, alors qu'il régnait pour la septième année sur son royaume, L'homélie en l'honneur de L?libal? figure dans trois manuscrits différents : EMML 54 (fol. 13r-17r)

S. Kur, , p.127, 1984.

W. Leslau, A. DILLMANN (1865, col. 1150), quant à lui, dans son dictionnaire guèzelatin, ne propose que la traduction de « segment, p.194, 1991.

, il note seulement qu'il s'agit d'un recueil de documents et de lettres entré dans la collection d'Abbadie à la BNF après qu'il a eu l'occasion de la consulter et de la décrire pendant l'hiver 1909-1910. Ce « manuscrit » est effectivement un recueil constitué en Europe, Les textes guèzes des XV e et XVIII e siècles que nous citons plus loin à propos des reliques de la croix n'utilisent pas cette expression. Nous pouvons en revanche noter, à titre d'anecdote, qu'elle est utilisée dans le résumé en amharique de l'article d'A. CAQUOT, p.108, 1914.

, Il est écrit au recto d'un morceau de papier de 16,5 cm x 10 cm. Antoine d'Abbadie a ajouté en en-tête les mots suivants : « (Fondation de Dabra Geshen par Dawit) ». Nous n'avons aucune indication de la provenance de cet écrit, le plus vraisemblable est que ce soit un des informateurs d'Antoine qui ait écrit pour lui ces quelques mots, sans que l'on connaisse ses sources. En l'état actuel des choses, nous pouvons seulement considérer ce document comme l, Le petit texte traduit par Conti Rossini se trouve à la fin du volume

, Manuscrit British Library Oriental 481, fol. 208vb-209rb. Pour la présentation de ce document inédit

, Ce texte est, si ce n'est contemporain des faits, Le texte guèze a été publié et partiellement traduit par O. RAINERI, p.37, 1999.

I. Voir and . Guidi, 34 : sans certitude quant à savoir s'il s'agit ou pas de la relique conservée auparavant à Ge??n, mais il n'y aurait rien d'étonnant à ce que les rois basés à Gondar l'aient emportée avec eux. Les textes sont très clairs à l'époque de Iy?su II (1730-1755), moins à l'époque de Iy?su I er (1682-1706) qui inaugure une nouvelle manière de fêter la fête de la Croix, peut-être déjà en présence de la relique ? Voir I. GUIDI, vol.II, p.237, 1903.

P. Brown, , p.105, 1984.

I. Guidi, , pp.39-40, 1903.

G. C'est-l'hypothèse-de and . Fiaccadori, , p.148, 1989.

D. Le-roi, 80-1412) demanda des reliques à la République de Venise, ainsi que s'en fait l'écho l'Histoire des patriarches d'Alexandrie, et sa demande fut exaucée, Les textes ne s'accordent pas sur les autres reliques qui l'accompagnaient. Nous ne revenons pas ici sur la répartition des rôles entre D?wit et Zar'a Y?'eqob, vol.3, pp.249-252, 1379.

, Plusieurs articles ont tenté une histoire de cette relique en Éthiopie, essayant de mettre d'accord les textes entre eux en gardant les points de convergence, mais sans faire au préalable l'indispensable opération d'histoire des textes. Pour un récapitulatif de la littérature à ce sujet, voir l'entrée d, Ewa BALICKA-WITAKOWSKA, 2011.

. Fol, , pp.208-209

A. Caquot, , 1955.

, La version du texte présenté par Caquot finit abruptement

A. Caquot, 95: il mentionne 228 « fiefs » dans le document qu'il a entre les mains, mais il ne publie pas cette partie car il la juge trop incomplète, 1955.

. Afriques, , pp.3-2011

, Ce texte est plus long que les traductions partielles que nous publions ici

Y. Dabd?b?,

M. Comme-l'explique and . Kropp, 103) relative à l'installation des reliques par Zar'a Y?'eqob sur l'amb? Ge??n, la construction de l'église de Dieu-le-Père avec de la terre provenant du Saint-Sépulcre et des lieux saints de Palestine, l'instauration de fêtes spécifiques, etc., en se concluant par la phrase suivante : « Cela se trouve dans le me'ell?d [ici pour ma??afa mil?d, voir à ce propos Caquot, 1955, p. 101, note 3] et dans l'homélie sur le sabbat. » Par ailleurs, d'autres textes conservés dans le ma??afa ?efut sont des copies d'archives d'autres manuscrits, La même indication se trouve dans la partie du texte publié par André Caquot, p.213, 1955.

L. , Oriental 481 mériterait une édition et une traduction complètes. En attendant, nous n'en présentons ici que quelques extraits, Le texte publié par Caquot est beaucoup plus long et a aussi puisé à d'autres sources

?. ?????cp, , pp.104-105, 1955.

C. Comme-l'avait-déjà-remarqué-carlo and . Rossini, , pp.46-47, 1948.

S. Kaplan, , p.5, 1986.

M. Kaplan, , p.25, 1999.

C. Voir-À-ce-propos and . Bosc-tiessé, , pp.218-219, 2010.

E. A. D'après and . Budge, La traduction d'Ernest Budge a ici été revue afin qu'elle soit plus satisfaisante et plus précise du, vol.II, p.260, 1906.

D. Haile, , pp.108-109, 1990.

P. Brown, , p.118, 1984.

M. Van-den and . Oudenrijn, , p.62, 1939.

J. Schmitt, , p.147, 1999.

A. Caquot, , pp.102-104, 1955.

. Ms, British Library Oriental 481, fol. 209ra ; voir aussi A. CAQUOT, 1955, p. 104. La fête du 21 maskaram semble être la fête principale, d'autres sont créées en même temps

, Cette idée de pèlerinage que tout un chacun doit effectuer n'apparaît que dans le texte traduit par A. CAQUOT (1995, p. 102), c'est pourquoi nous pensons qu'elle est créée dans un second temps

A. Caquot, , p.104, 1955.

, Elle est même prise par l'ennemi sur le champ de bataille en 1744 mais est récupérée quelques mois plus tard (I. GUIDI, pp.124-126, 1910.

. Nous and S. De-diana, , pp.77-78, 1972.

J. Schmitt, p. 146) les inclut rapidement dans la catégorie des « images-reliques, 1999.
URL : https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00560559

M. Voir and . Heldman, En revanche, l'histoire des traditions constituant un corpus d'icônes miraculeuses et les attribuant à saint Luc, p.138, 2005.

, Pour un récapitulatif historique des icônes dites peintes par saint Luc et des traditions y afférentes dans le monde chrétien antique et médiéval, voir H. BELTING, pp.71-86, 1988.

A. Caquot, Pour l'inventaire de ces peintures conservées dans les églises éthiopiennes, p.100, 1955.

J. Schmitt, , pp.150-151, 1999.

, Pour rappel : le texte du manuscrit British Library Oriental 481, fol. 208-209, l'Histoire des patriarches d'Alexandrie et les Homélies sur le bois de la croix

C. Marcel and C. , l'explique, il s'agit d'un texte copié sur papier à son intention par l'un des clercs qu'il a pour interlocuteur alors qu'il passe la fête de Pâques 1911 à Dabra Warq. Il ne sait pas si le texte a été copié sur un manuscrit du monastère ou si c'est une tradition orale mise par écrit pour lui, 1923.

M. Cohen, , pp.152-153, 1923.

E. P. Voir-par and . Brown, , 1985.

J. Schmitt, L'auteur ajoute qu'« aucune image insigne n'échappe d'une manière ou d'une autre à cette construction du mythe qui tend à faire d'elle une relique, Nous voyons toutefois ici que les images ne sont pas toutes concernées au même degré, p.154, 1999.

E. D. Voir-par and . Spencer, , p.204, 1972.

S. Kaplan, , p.5, 1996.

, 1716-1721) dans un manuscrit conservé à Qwar???, microfilmé, en noir et blanc, une première fois par E. Hammerschmidt sous la cote mf. ??n?see 179 et une deuxième fois par le projet EMML sous la cote 8438. Nous avons photographié les enluminures en janvier 1998. Pour l'analyse de la création de ce cycle iconographique dans le cadre de l'émergence du centre monastique de Qwar???, La Vie et les miracles de la sainte Walatta P??ros (1593-1643) ont été rédigés en 1672-1673 et mis en images pour la première fois sous le règne de D?wit III, 2006.

L. Ricci, , p.106, 1970.

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T. Dans-les, Église actuellement, le tazk?r d'untel est la commémoration de la mémoire des défunts; le zekr d'untel est la fête de commémoration des saints

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, Église fondée par le roi Iy?su I er en 1694, lui-même très attaché au saint Takla H?ym?not (on le voit par exemple prêter serment sur les Actes du saint, p.91, 1903.

, Cette idée est reprise de façon un peu moins précise dans la version de W?ldebb? (C. CONTI ROSSINI, 1894, vol.II, p.141, 1906.

D. Spencer, Cet aspect de la question mériterait des enquêtes de terrain approfondies, pp.77-78, 1972.

, Il faut noter que l'on trouve dans un grand nombre d'églises des cercueils monoxyles et placés dans le sanctuaire ou d'autres parties de l'église, et dont le cas devrait être étudié. Voir aussi le cas particulier des restes des rois éthiopiens au monastère de D?g? Es?if?nos (C. BOSC-TIESSÉ, « L'invention des reliques royales et d'un fondateur monastique à D?g? Es?if?nos