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. Cette, . Le-roi-l?libal?, and . De-golegot?, où l'un des autels (t?bot) est précisément dédié à Michel. La fête du mois de san? est la deuxième grande fête annuelle en l'honneur de l'archange, la première ayant lieu en ?ed?r. Dans les études sur L?libal?, on trouve parfois l'information selon laquelle c'est dans l'église de Dabra Sin? (accolée à celle de Golegot?) qu'un autel est dédié à l'archange Michel (voir D. PHILLIPSON, À moins que cet autel soit régulièrement déplacé, p.167, 1963.

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C. F. Beckingham and G. W. Huntingford, septembre 1520, et atteint l'Am??r? le 17 septembre 1520. Ce n'est donc pas lors de sa première visite qu'il assista à la commémoration du saint-roi. Mais Álvares précise plus tard qu'il fit une seconde visite à L?libal? et par conséquent peut-être à Yemreh? anna Krestos, lors de son voyage de retour en 1526. Mais la date exacte de ce séjour n'est pas précisée, vol.251, pp.227-228, 1961.

C. F. Beckingham and G. W. Huntingford, , p.205, 1961.

O. Warwar, qui m'a permis d'achever avec joie ce livre de la lutte spirituelle de Yemre?? tandis que je me trouvais dans la cité de Roh?. Ce livre fut écrit dans cette cité du Warwar qui est Dabra Roh?, cité du grand roi Lalibala, autre nom pour Ro?? et L?libal?. Voir notamment le colophon correspondant à la copie -et non à la rédaction -des actes de Yemre?anna Krestos : « Gloire au Seigneur, p.13, 1988.

O. G. Crawford, Alessandro Zorzi, de Venise, recueillit au début du XVI e siècle les témoignages de moines éthiopiens qui se rendaient en pèlerinage à Jérusalem et qui poursuivaient parfois leur route jusqu'à Venise (ibid, pp.24-25, 1958.

F. Álvares, je cite ici la traduction française de Jean BELLÈRE du récit de Francisco Álvares publiée en 1558, dont le style nous permet de mieux appréhender la langue du XVI e siècle et les difficultés rencontrées par le chapelain portugais pour nous livrer une description fidèle des lieux visités, vol.1558, pp.203-204, 1961.

F. Álvares, C. F. Beckingham, and G. W. Huntingford, , pp.203-204, 1961.

F. Álvares, C. F. Beckingham, and G. W. Huntingford, , p.207, 1961.

, Marilyn Heldman a recensé toutes les sources dans lesquelles il est fait allusion au pèlerinage ou au culte en l'honneur de L?libal?, cf. M. HELDMAN, p.35, 1995.

E. Cerulli, , p.154, 1946.

, Enrico Cerulli n'a pas édité le texte ge'ez dans cette publication

E. Cerulli, , pp.15-16, 1956.

E. Cerulli, , p.16, 1956.

P. Marrassini, , p.63, 1995.

M. Derat, , 2010.

, Pour plus de détails sur ce pacte, voir S. KUR, 1984.

P. Marrassini, , pp.83-85, 1995.

, Là aussi, il s'agit d'une église que fit construire le roi et dans laquelle il fut enterré, Wagra Se?in apparaît dans les actes d'un autre saint-roi de la dynastie Z?g w ?, Na'ak w eto La'ab (XIII e siècle, successeur de Yemre?anna Krestos et de L?libal?), p.206, 1943.

P. Marrassini, A?atan M?ry?m qui pourrait être le Wagra Se?in du roi Na'ak w eto La'ab, n'est pas situé à Yemre?anna Krestos. L'église actuelle, toutefois, ne paraît pas être plus ancienne que le XIV e siècle. Mais il faut signaler les piliers de pierre de Waf Argaf, en contrebas de l'église d'A?atan M?ry?m, derniers vestiges d'une église construite, et non pas creusée, qui serait bien plus ancienne (E. FRITSCH, 2010). Bien que les deux sites soient relativement proches, identifié aujourd'hui à A?atan M?ry?m, vol.103, p.85, 1995.

F. Álvares, C. F. Beckingham, and G. W. Huntingford, , p.204, 1961.

P. Marrassini, , p.67, 1995.

. Afriques, , pp.3-2011

. Ibid, , p.87

, En employant ce terme, l'auteur des actes de Yemre?anna Krestos fait implicitement référence au mythe véhiculé par le Kebra Naga?t (la rencontre du roi Salomon et de la reine de Saba, la naissance d'un fils placé à la tête de l'Éthiopie par le roi Salomon et apportant avec lui l'arche d'alliance), qui fait de l'Éthiopie un verus Israel et du souverain issu de la lignée du roi Salomon et de la reine de Saba un membre de la maison d'Israël, Israël incarne ici la dynastie salomonienne qui a succédé aux Z?g w ? à partir de 1270, p.508, 1924.

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P. Marrassini, , pp.90-91, 1995.

E. Balicka-witakowska and M. Gervers, , pp.46-47, 2001.

C. Lepage, Une représentation plus tardive (fin XVII e ou début XVIII e siècle) de Yemreh? anna Krestos en prêtre a été identifiée par C. BOSC-TIES?E, p.93, 2001.

F. Álvares, C. F. Beckingham, and G. W. Huntingford, , p.204, 1961.

M. Derat, , p.163, 2010.

P. Marrassini, , pp.87-88, 1995.

, Informations recueillies en mars 2008 auprès de l'alaqa Hayl? Gabre'?l de Yemre?anna Krestos

. Le-patriarche-qui-rend-visite-À-yemre??-anna-krestos-déclare, Béni soit le pays d'Éthiopie, par la parole de Jésus et par la bouche de Notre Dame Marie, parce que ces confins sont la partie attribuée à Marie. Il ne régnera pas sur eux un juif ou un païen, mais (seulement) un qui a la foi droite, sur un trône orthodoxe. Écoute ce que je te dis, ton pays sera glorifié plus que tous les pays, p.88, 1995.

G. Gerster-;-l, . Bianchi, and . Barriviera, La mission italienne conduite par Augusto Monti della Corte tenta de vérifier cette information, notamment pour déterminer si la tombe de L?libal? est un véritable caveau ou bien une simple fosse. Mais la tombe elle-même est surmontée d'un meuble d'autel qu'aucune personne n'a réussi jusqu'à présent à faire déplacer pour accomplir ces vérifications, p.34, 1963.

G. Gerster, , p.102, 1968.

M. Gervers, , p.78, 2003.

H. Vincent and F. M. Abel, , vol.186, p.278, 1914.

F. Álvares, C. F. Beckingham, and G. W. Huntingford, , p.221, 1961.

C. F. Beckingham and G. W. Huntingford, Álvares a visité deux fois le site, ce qui lui a certainement permis de mieux appréhender la complexité de cet ensemble. Sa langue n'est certes pas toujours précise, mais il faut peut-être aussi considérer autrement son témoignage. Non pas lire Álvares en essayant de retrouver ce que l'on connaît du site de L?libal? aujourd'hui, mais interpréter son récit comme une description du site à un moment donné de son évolution, Jusqu'ici la description du site de L?libal? par Francisco Álvares a été peu employée pour faire l'histoire des églises, p.207, 1961.

F. Álvares, C. F. Beckingham, and G. W. Huntingford, , p.207, 1961.

M. Derat, , 2006.

J. Perruchon, , vol.1892, p.123

?. ??????, Jules Perruchon traduit ce passage assez obscur de la manière suivante : « Il fit surtout des choses merveilleuses dans le sanctuaire de Golegot? ; la représentation du corps glorieux de la brebis qui n'est pas dévoré par les vers (?) et plusieurs autres peintures, auxquelles il pensait nuit et jour. » J'ai revu la traduction de manière à rendre au plus près le sens du texte, Quelques variantes apparaissent dans les autres copies du gadla L?libal?, vol.719, p.128

. Afriques, , pp.3-2011

, Abbadie 139, BNF, fol. 82r ; EMML 2836, fol. 127r ; EMML 6921, fol. 150r-v ; EMML 6931, fol. 98r

, EMML, vol.6964

J. Perruchon, , vol.1892, pp.128-129

, Trois copies de ce texte sont actuellement connues et font toutes partie de la collection des manuscrits microfilmés par le projet EMML (Ethiopian Manuscripts Microfilmed Library). Il s'agit des manuscrits EMML 54, EMML 79 et EMML 327, Pour plus de détails au sujet de cette homélie, 2006.

, EMML, vol.59

, EMML, vol.59

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E. Fritsch, , pp.94-104, 2008.

, Trois équipes de chercheurs ont abouti à la même idée (la nécessité de phaser pour comprendre l'évolution du site) mais pas exactement aux mêmes résultats. Toutefois, concernant le phasage (et non la datation de Golgota), ces résultats se recoupent : M. GERVERS, p.144, 2003.

. Id, et l'équipe supervisée par Claire Bosc-Tiessé et moi-même, dont la méthodologie est présentée dans une autre publication, pp.167-176, 2009.

L. Bianchi and . Barriviera, , 1963.

, Il est aujourd'hui présenté dans le musée des églises de L?libal?

C. Bosc-tiessé, L?lib?l? roi patient, pp.82-85, 2010.

R. Kebr? and . Du-seigneur,

, Pour une étude précise de l'ensemble des autels de L?libal?, voir C. BOSC TIESSÉ, 2010.

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, British Library, fol. 168r, vol.719

F. Álvares, C. F. Beckingham, and G. W. Huntingford, , p.205, 1961.

L. Bianchi and . Barriviera, et 8bis. Il faut signaler ici que cette appellation coïncide avec l'emplacement supposé de la tombe du roi L?libal?, p.28, 1963.

, Cette hypothèse s'accorderait avec l'idée de Claude Lepage selon laquelle le côté est des églises hypogées à vocation funéraire n'est pas dégagé de la roche, alors que les trois autres côtés le sont. Ce qui se vérifie dans l, Peut-être alors est-ce la fonction funéraire de cet espace qui tend à le désigner comme étant L?libal?, pp.50-51, 1973.

M. Gervers, , vol.2, 2003.

E. Cerulli, , p.16, 1956.

, Cet autel n'a pas été vu sur le site de L?libal? mais il faut rappeler que tous les autels n'ont pas pu être étudiés, certains étant encore en fonction dans les églises, placés dans le saint des saints, et consacrés. En tout, ce sont onze autels en plus des vingt-quatre décrits et étudiés par Claire Bosc-Tiessé (C. BOSC-TIESSÉ, pp.57-58, 2010.

M. Voir and . Derat,

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