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, Lapassade 37 rappelle qu'au regard de la notion lewinienne de dynamique de groupe, on peut définir le groupe comme un système de forces où l'on distingue les forces de progression des forces de cohésion, les premières étant celles qui « tirent » un groupe vers les buts et les secondes celles qui, « naturels » et durables, un engagement de nature morale

S. D. Ainsi, &. Cartwright, and . Zander, On peut aussi rappeler la distinction que F. W. Taylor 39 effectue entre la division du travail et l'harmonie, celle d'H. Fayol 40 entre division du travail et union du personnel, la conception de la cohérence auto-créée chez M. P. Follet 41 , celle de coopération chez C. Barnard 42 , la question du passage des valeurs aux faits chez H. A. Simon 43 , la dualité « contribution -coopération » chez D. Katz & R. Kahn 44 , celle de différenciationintégration chez P, la cohésion est synonyme d'attraction exercée par le groupe sur ses membres, des facteurs constitutifs du groupe (objectifs, taille, structure organisationnelle) et des facteurs de satisfaction (réponse aux logiques de relations interpersonnelles, identification) entrant en combinaison, vol.38

. La-cohésion-signifie-le-fait-de-maintenir-uni, Elle représente la force d'attraction qui existe entre les membres d'un groupe conduisant à une forme de conjonction solidaire et harmonieuse des émotions et des sentiments dans le sens de la construction de compromis entre les agents de ce groupe au nom des perspectives d'une identification commune. La cohésion conduit donc à un partage collectivement accepté de valeurs et conduit à la construction d'une confiance organisationnelle. Il ne faut pourtant pas éviter pour autant de parler des risques d'une perspective trop fusionnelle

, Les parties se retrouvent liées dans une sorte d'harmonie, de logique ou plus simplement d'ordre. Ce terme de cohérence peut être vu aussi comme un synonyme de celui d'organisation : peut-il y avoir organisation sans cohérence entre les buts, les moyens et la volonté ? H. Fayol met bien en évidence l'ordre double constitutif de l'organisation, c'est-à-dire l'ordre matériel et social. La cohérence marque le degré de liaison qui existe entre l'organisation et ses missions, Le concept de cohérence comporte l'idée de relations étroites qui construit des concordances entre des éléments

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, C'est un des traits constitutifs du managérialisme, la collaboration étant considérée comme allant de soi