G. Coedès-signale, 214, l'existence d'une stance dans ce mètre, mais la stance en question est en fait en mètre pu?pit?gr? (ibid. Face B, st. XL, dans « Les inscriptions de Bàt ?u? (Cambodge) », Journal Asiatique 10 e série, t. XII, p.233, 1908.

. Vallabhadeva's-kommentar, ??rad?-Version) zum Kum?rasambhava des K?lid?sa, M. S. Narayana Murti éd, Verzeichnis der orientalischen Handschriften in Deutschland, vol.20, 1980.

. «-À-la-saison and . Où, semble-t-il, les bavardages des oiseaux kokila, qui ont des voix douces et tendres, transpercent comme les flèches de l'Amour les coeurs de ceux qui voyagent

, tout comme il charme (r?mayan) les jeunes pousses à couleurs vives (baddhar?gam) -en ce mois qui est le temps des fleurs, ce [puits] fut construit. » Cette description du printemps sert apparemment seulement à préciser la date de la fondation qu'enregistre l'inscription ! On pourrait citer aussi une autre inscription de l'époque gupta à Da?apura, la « Mandasor Stone Inscription of Kumaragupta and Bandhuvarman », (Corpus Inscriptionum Indicarum, tome III, N°18, p. 79 et sqq.), qui inclut des descriptions semblables de l'hiver et du printemps au moment de donner les dates de construction et de réparation d'un temple du soleil. 21. On trouve pareilles allusions à la composition d'ouvrages en sanskrit dans les stances 21 et 24 de l'inscription K, où le vent se plaît à briser la fierté des femmes boudeuses, fâchées par leurs amants, en séduisant (r?mayan) leur coeur simple et affectionné (baddhar?gam), vol.842, pp.150-231, 1937.

. L'infériorité-de-la-poésie-royale-n'est-pas-admise, dans les épigraphes, mais on y fait allusion ailleurs. Par exemple, un certain Bhoja, poète employé par Bh?ma, roi d'I??durga au Gujarat, apostrophe ainsi la Poésie dans l'introduction de son Govindavil?samah?k?vya, un poème vishnouite inédit du XVI e siècle, pour s'excuser de l'avoir fatiguée en l'obligeant à célébrer des patrons royaux : ayi may? kavite ?ramit?si yad vividhabh?bh?danekagat?gatai? harikath?saras?? gamit?dhun? jahihi

. «-Ô-poésie, Je tiens à remercier Judit Unterdörfler, qui prépare actuellement une édition critique et une traduction du Govindavil?samah?k?vya, dans le cadre de son doctorat « Expressing devotionalism while copying texts -a critical study of selected medieval Sanskrit manuscripts » à l'Université de Hambourg, de m'avoir signalé cette stance. Si l'on cherche un autre exemple, la parodie d'un éloge royal que fait D?modaragupta au VIII e siècle dans son roman Ku??an?mata souligne aussi le caractère insincère des formules de ce genre littéraire. (D?modaraguptaviracita? Ku??an?matam. The Bawd's Counsel, being an eighthcentury verse novel in Sanskrit by D?modaragupta, puisque je t'ai fatiguée avec les allées et venues de divers rois, je t'ai amenée maintenant au lac des histoires de Vi??u : abandonne ta fatigue ! Sois heureuse ! », pp.761-787