M. Darw??, D?w?n Ma?m?d Darw??, 1 ère éd, vol.II, pp.495-496, 1994.

, Nous soulignons les NCI dans les tableaux suivants par le caractère gras de la police

A. Di-cristo, D. Hirst, and . «-rythme-syllabique, « Il n'est pas inintéressant de noter à ce propos que cette conception non restrictive du rythme était déjà celle de Bally qui considérait, dès 1926, que les variations des durées syllabiques, les changements d'intensité et les inflexions de la voix constituent la substance du rythme » (cité par G. Caélen-Haumont, Le rythme dans la parole : une revue des études portant sur le français. 4 ème Colloque d'Albi. Le rythme. Toulous, Université de Toulouse-le-Mirail, Rythme Mélodique et représentation hiérarchique de la prosodie du Français, pp.188-200, 1968.

, est-à-dire que le nombre d'occurrences progresse à partir du moment où le poète s'approche de la pause

. Le-npi-existe, En revanche, quand un NPI occupe l'une des premières syllabes de la phrase, cela signifie que la pause réalisée avant de prononcer cette phrase n'était qu'une pause syntaxique et non pas sémantique. Certaines phrases représentent donc une continuation sémantique de la phrase précédente malgré la pause qui les sépare. Ceci veut dire aussi que la pause installée n'est qu'une pause esthétique. Mais une continuation sémantique dans une phrase suivante exige également une continuation prosodique parfois. On peut constater que le niveau syntaxique et le niveau sémantique jouent un rôle important dans la manière d'introduire l'intensité et surtout dans le fait de choisir une syllabe précise, autrement dit, un emplacement. Nous constatons aussi que le parallélisme syntaxique engendre un parallélisme de l'allongement, dans les mêmes emplacements notamment au milieu, mais il doit occuper les dernières syllabes de la phrase si la durée temporelle est longue. La quantité syllabique dans la phrase contribue à une organisation de l'intensité