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J. Piaget, Epistémologie des sciences de l'Homme, Gallimard, collection « idées, 1977.

M. Callon-&-p.-lascoumes and &. , Barthe 47 soulignent que les technologies numériques permettent de réinterpréter à la fois l'activité de recherche (qu'elle soit publique ou privée) et l'articulation « chercheurs -citoyens concernés ». La « recherche confinée » vise le développement scientifique et technique confiné en laboratoire, alors que la « recherche en plein air » prend en compte l'intervention dans le processus lui-même des sujets -proches ou plus lointainsde la recherche, les forums hybrides étant le lieu de rencontre des chercheurs et des sujets de la recherche. Les technologies numériques modifient les conditions de possibilité d'une « recherche de plein air ». C'est sur la base de cette dichotomie « « recherche confinéerecherche de plein air, Pour ce qui est de la tension « recherche confinée -recherche de plein air

, Intensité Degré de précocité de l'engagement des profanes

K. Lukka and &. Granlund, The Fragmented Communication Structure within the Accounting Academia : the Case of Activity-based Costing research Genres », Accounting, Organizations and Society, vol.27, pp.165-190, 2002.

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M. Callon-&-p.-lascoumes and &. Barthe, Agir dans un monde incertain -Essai sur la démocratie technique, 2003.

, Ouverture Degré de diversité des groupe consultés et degré de leur indépendance vis-à-vis des groupes d'action constitués Degré de contrôle de la représentativité des porte-paroles des groupes impliqués dans le débat 'ambiguïté, qu'il s'agisse de l

D. De-façon, « Tout artefact est un produit de l'activité d'un être vivant qui exprime l'une des propriétés fondamentales de tous les êtres vivants ; celle d'être des objets doués d'un projet, que nous appellerons la téléonomie (?) tout projet résulte de déterminisme autonome, (?), d'agents extérieurs capables d'entraver ce développement (?) non de lui imposer (?) son organisation » indique J. Monod 48 en reliant « téléonomie » et « projet ». Les sciences de gestion sont alors considérées comme devant se consacrer à une réflexion sur l'efficacité, d'où leur classement possible dans les sciences appliquées. Rappelons, parmi les nombreuses définitions de l'efficacité, celle d'Y. Clot 49 : « On entend donc ici l'efficacité de l'action comme une dynamique d'atteinte et de production de buts dont le moteur se trouve dans les rapports entre efficience et sens. L'efficience concerne l'économie des moyens au regard des buts fixés, et le sens, la recréation des buts. L'efficacité (?) consiste non seulement à atteindre les buts fixés ou qu'on se fixe, mais à contribuer au renouvellement des fins et des moyens. Cette définition est une définition psychologique de l'efficacité. Mais je la crois compatible avec une définition sociale de l'efficacité si on ne réduit pas le social à l'économique ». Ou encore « l'efficacité est attendue du « potentiel de situation » et non d'un plan projeté d'avance » 50 . L'efficacité est donc ce qui relève de l'utile mais compte tenu d'un apport au-delà de cet « utile » ? Un dernier aspect de la dimension gnoséologique est la quête de la « référence ultime » aussi bien d'un point de vue conceptuel (la volonté constitue la référence ultime de la motivation, les sciences de gestion peuvent être considérées comme des « méta-connaissances » servant à articuler des connaissances sur les organisations au regard de la téléologie qui lui est inhérente

J. Monod, Le hasard et la nécessité -Essai sur la philosophie naturelle de la biologie moderne, 1970.

Y. Clot, Interpréter l'agir : un défi théorique, PUF, collection « le travail humain, p.29, 2011.

F. Jullien, Traité de l'efficacité, 2007.