J. R. Meindl-&-s, &. M. Ehrlich, and . Dukerich, The Romance of Leadership, vol.30, pp.78-102, 1985.

B. C. Schyns-&-m and . Bligh, « Introduction to the Special Issue on the Romance of Leadership -In Memory of James R. Meindl », Applied Psychology, vol.56, pp.501-504, 2007.

J. R. Meindl-&-s and . Ehrlich, « Developing a Romance of Leadership Scale, Proceedings of the Eastern Academy of Management, pp.133-135, 1988.

C. C. Manz, « Self-leadership: Toward an Expanded Theory of Self-influence Processes in Organizations, pp.585-600, 1986.

, La théorie ELM trouve son origine dans l'échange social et la norme de réciprocité. G. B. Graen & T. A. Scandura 52 définissent l'ELM comme un échange social dans lequel

J. D. Houghton-&-s and S. K. Yoho, « Toward a Contingency Model of Leadership and Psychological Empowerment: When Should Self-leadership be Encouraged?, Journal of Leadership & Organizational Studies, vol.11, pp.65-83, 2005.

G. M. Spreitzer, Psychological Empowerment in the Workplace: Dimensions, Measurements and Validation, vol.3, pp.483-505, 1995.

K. H. Blanchard and &. Hersey, Management of Organizational Behavior: Utilizing Human Resources, 1969.

L. L. Konczak-&-d, . L. Stelly-&-m, and . Trusty, « Defining and Measuring Empowering Leader Behaviors: Development of an Upward Feedback Instrument, Educational and Psychological Measurement, vol.60, issue.2, pp.301-313, 2000.

C. C. Manz-&-h and . Sims, « Leading Workers to Lead Themselves: The External Leadership of Selfmanaging Work Teams, Administrative Science Quarterly, vol.32, issue.1, pp.106-129, 1987.

J. F. Cox-&-h and . Sims, Leadership and Team Citizenship Behavior: A Model and Measures, vol.3, pp.1-41, 1996.

F. E. Fiedler and &. E. Garcia, New Approaches to Effective Leadership: Cognitive Resources and Organizational Performance, 1987.

G. B. Graen-&-t and . Scandura, « Toward a Psychology of Dyadic Organizing, Research in Organizational Behavior, vol.9, 1987.

J. M. Burns, . Leadership, &. Harper, and . Row, , 1978.

B. M. Bass, A New Paradigm of Leadership: An Inquiry into Transformational Leadership. Alexandria, VA: US Army Research Institute for the Behavioral and Social Sciences, 1996.

W. B. Joiner and &. S. Josephs, Leadership Agility, 2007.

D. Goleman, Emotional Intelligence: Why It Can Matter More Than IQ, 1996.

J. D. Mayer, &. Dipaolo, and &. Salovey, « Perceiving Affective Content in Ambiguous Visual Stimuli: a Component of Emotional Intelligence », Journal of Personality Assessment, vol.54, pp.772-781, 1990.

D. Goleman-&-r, &. Boyatiz, and . Mckee, Primal Leadership: Realizing the Power of Emotional Intelligence, 2002.

A. T. Beck-&-d and . Clark, An Information Processing Model of Anxiety: Automatic and Strategic Processes, vol.35, pp.49-58, 1997.

L. Berkowitz, « Towards a General Theory of Anger and Emotional Aggression : Implication of Cognitive Neo-associationistic Perspective for the Analysis of Anger and other Emotions

-. Doux, -A. Öhman, « Distinguish Unconscious from Conscious Emotional Processes: Methodological Considerations and Theoretical Implications, vol.6, pp.69-79, 1993.

, Handbook of Cognition and Emotion, pp.321-352, 1999.

R. B. Zajonc, On of psychology, 1984.

R. S. Lazarus, On the Primacy of Cognition, vol.39, pp.124-139, 1984.

A. Damasio and L. De-descartes, la raison des émotions, 1999.

J. Haidt, L'hypothèse du bonheur -La redécouverte de la sagesse ancienne dans la science contemporaine Mardaga, 2010.

J. Greene, The Secret Joke of Kant's Soul, vol.3, pp.35-79, 2008.

, L'intelligence sociale pourrait être mesurée (le social IQ dont l'EQ de l'intelligence émotionnelle est une des composantes) et développée par training

, J. Collins et la théorie du Level, vol.5, p.97, 2001.

J. , Collins pose la question de savoir ce qui rend les leaders « grands » : leur courage ? leur sagacité dans les affaires ? leur expertise ? leur capacité à organiser ? Les « grands » leaders doivent pour lui réunir un ensemble de qualité mais aussi quelque chose en plus, d'où sa référence au « niveau 5 ». Il a conceptualisé ce « niveau 5 » à partir d'une recherche sur 1435 entreprises conduisant à en choisir 11 afin de trouver ce qui, pour lui, permet de les qualifier de « grandes

H. Gardner, Changing Minds: The art and science of changing our own and other people's minds, ISBN 046501822X -Intelligence Reframed: Multiple Intelligences for the 21st Century, Basic Books, 1983.

E. L. Thorndike, «. Intelligence, ». Its-use, and . Harper's-magazine, , vol.140, pp.227-235, 1920.

K. Albrecht, Social Intelligence: The New Science of Success; Beyond IQ, Beyond EI, Applying Multiple Intelligence Theory to Human Interaction, vol.280, p.pp, 2006.

D. Goleman, Social Intelligence: The New Science of Human Relationships, 2006.

B. Schyns and M. C. Bligh, « Introduction to the Special Issue on the Romance of Leadership -In Memory of, James R. Meindl », Applied Psychology, vol.56, pp.501-504, 2007.

G. J. Puccio,

P. M. Senge, C. Otto, &. Scharmer, . Jaworski, S. Betty et al., Exploring Profound Change in People, Organizations and Society, 2005.

R. Bédard, Quel est mon type de leadership ? », Gestion, vol.33, pp.68-73, 2008.

L. Stoll and &. Temperley, « Creative Leadership: A Challenge of our Times, School of Leadership and Management, vol.29, issue.1, pp.63-76, 2009.

G. J. Puccio-&-m.-mance-&-m and . Murdock, Creative Leadership : Skills That Drive Change

P. Babiak and &. Hare, Snakes in Suits : When Psychopaths go to Work, 2006.

J. and O. Sanders, Spiritual Leadership : a Commitment to excellence for every believer (Commitment to spiritual Growth), 1994.

H. and &. R. Blackaby, Spiritual Leadership, 2010.

L. W. Fry, Toward a Theory of Spiritual Leadership, vol.14, pp.693-727, 2003.

R. Barrett, Liberating the corporate soul, Handbook of Workplace Spirituality and Organizational Performance, 1998.

P. Corrigan, Shakespeare on Management: Leadership Lessons for Today's Managers, 1999.

M. Kets-de-vries, Organizational Paradoxes: Clinical Approaches to Management, 1995.

B. Sievers and . Greek, Mythology as Means of Organizational Analysis : the Battle of Larkfield, Leadership and Organizational Development Journal, vol.17, issue.6, pp.32-40, 1996.

M. Stein, The Othello Conundrum: the Inner Contagion of Leadership, vol.26, pp.1405-1419, 2005.

I. Getz, « La liberté d'action des salariés : une simple théorie, vol.108, pp.27-38, 2012.

I. Getz and &. Carney, Freedom Inc. Free your employees and let them lead your business to higher productivity, profits and growth, 2009.

B. J. Robertson, La révolution Holacracy : Le système de management des entreprises performantes, Holacracy: The New Management System for a Rapidly Changing World, 2015.

G. , Endenburg 147 ) et avec les approches systémiques des organisations tout en faisant l'objet d'une controverse sur ses véritables effets

B. J. Lorsque and . Robertson-«-invente-»-l'holacratie-en, Ternary Software où son intention était de mettre au point des mécanismes de gouvernance plus agiles, compte-tenu de sa fascination pour la capacité à sentir les discordances de l'instant présent et à percevoir les possibilités de changement -le perpétuel et insatiable esprit créatif qui pousse sans cesse à se dépasser. Il se présente comme un praticien et un entrepreneur qui expérimente des techniques de management au sein des entreprises en tant que dirigeant. Il travaille désormais au sein de son cabinet (HolacracyOne). Sa démarche se présente comme ayant déjà aidé des centaines d'entreprises (aux Etats-Unis, 2001.

, Hayek 148 pour introduire son chapitre sur la gouvernance en holacratie : « Si nous convenons que le problème économique de la société concerne principalement une adaptation rapide à des changements dans un temps et un lieu particuliers, les décisions finales doivent revenir à des personnes connaissant bien ces circonstances, les changements pertinents à mettre en oeuvre et les ressources immédiatement disponibles pour les réaliser, Si les écrits relatifs à l'holacratie sont descriptifs, et reposent sur des bases théoriques, p.79

, Un premier groupe de critiques dénonce les effets négatifs que peut avoir la forme holacratique : la contradiction intrinsèque à imposer de manière autoritaire un mode de gouvernance qui se prétend démocratique avec l'auto-management, la transparence et de la responsabilisation de chacun dans la prise de décision, ce qui ne convient pas à tout le monde. Elle présenté le risque d'être un système de contrôle social en combinant un système d'information générateur de transparence et une organisation en cercles regroupant des rôles avec des redevabilités. Le fonctionnement holacratique peut générer un sentiment de d'enfermement

A. Koestler, The Ghost in the Machine, Les Belles Lettres, 1967.

P. Deltanche, Vers un leadership solidaire : La sociocratie : une nouvelle dynamique pour gérer les organisations, 2014.

G. Endenburg, Sociocracy: The Organization of Decision Making, 1988.

F. A. Hayek, The Use of Knowledge in Society, 1945.

, cette théorie s'est intéressée aux relations de personne à personne, comme par exemple un leader et son subordonné, puis elle s'est étendue aux relations entre l'organisation et l'employé, Construite pour analyser les échanges entre les individus au sein des sociétés, pp.91-92

, La relation tissée entre deux parties (par exemple deux collègues, ou un employé et son supérieur) peut être décrite sur un continuum entre deux extrêmes : -L'un est la relation d'échange économique : il s'agit d'un échange de biens souvent économiques ou quasi économiques

C. I. Barnard, The Functions of the Executive, 1938.

P. Blau, Exchange and Power in Social Life, 1964.

R. S. Cropanzano-&-m and . Mitchell, « Social Exchange Theory: an Interdisciplinary Review, Journal of Management, vol.31, pp.874-900, 2005.

M. Mauss, Essai sur le don, 1924.

A. W. Gouldner, The Norm of Reciprocity: A Preliminary Statement, vol.2, pp.161-178, 1960.

, à être une relation de court terme avec peu, sinon aucun attachement émotionnel entre les deux parties

. -l'autre, Ce type d'échange semble être à durée indéterminée. Il porte plus sur des choses immatérielles telles que l'aide, la loyauté. Il tend à être un attachement à long terme entre les parties avec une identification psychologique de la relation

R. Selon, . S. Cropanzano-&-m, and . Mitchell, la TES repose sur trois postulats : les règles et les normes de l'échange, les ressources échangées, et la relation qui en émerge. Les règles et les normes sont basées sur la croyance, la loyauté et les obligations mutuelles

S. Échangées and E. B. Foa-&-u, Foa 154 en distinguent six types : l'amour, l'information, le statut, l'argent, les biens et les services

J. A. , -. Coyle-shapiro, and &. L. , Shore 155 identifient trois aspects fondamentaux dans la TES : la relation, la réciprocité, et l'échange. La relation d'échange social commence avec l'une des parties à l'échange qui offre un avantage à l'autre. La relation ou une série de relations n'a lieu que lorsque l'autre partie réplique, ce qui crée une obligation mutuelle entre les différentes parties. Dans ce type de relation, la confiance apparaît comme un élément majeur dans la mesure où il existe un risque dû au fait que l'offre de départ ne soit pas retournée. La confiance que l'une des parties remplira ses obligations apparaît, dans le champ des sciences sociales, comme un mécanisme de coordination et de coopération entre les acteurs (C. Thuderoz et al. 156 )

J. G. Dans-ce-registre and . A. March-&-h, Simon 157 proposent un modèle de « rétributionsrécompenses

E. B. Foa-&-u and . Foa, « Resource Theory of Social Exchange, Handbook of Social Resource Theory, Theoretical Extensions, Empirical Insights, and Social Applications, pp.15-32

J. A. , -. Coyle-shapiro, and &. L. Shore, « The Employee-organization Relationship: Where do we go from Here?, Human Resource Management Review, vol.17, issue.2, pp.166-179, 2007.

V. Mangematin-&-c.-thideroz and &. Harrisson, La confiance -Approches économiques et sociologiques, Gaëtan Morin, collection « Pertinence/impertinence », Montréal, vol.13, pp.978-2910749057, 1999.

J. G. March-&-h and . Simon, Organizations, 1958.

R. W. Goddard, « The Psychological Contract: How to Match Employer and Employee Expectations for a Successful Partnership, Management World, vol.13, 1984.

H. R. Levinson-&-c, . J. Price-&-k, . J. Lunden-&-h, . M. Mandl-&-c, . Stolley et al., Journal of Management Inquiry, vol.41, pp.146-146, 1963.

. Qu, il existe une relation significative entre la santé mentale de l'employé et le fonctionnement efficace de l'organisation. Ils mettent en avant l'importance de la prise en compte de l'existence de deux parties (l'agent organisationnel et l'organisation), de la complexité des attentes individuelles et des attentes partagées

E. H. Pour, Schein 160 , la réciprocité permet de décrire et d'expliquer les attentes implicites de l'agent et de son organisation en précisant que l'organisation offre une rémunération, un statut et la sécurité de l'emploi à l'agent en échange de ses efforts, d'un travail de qualité et de la protection de son image

, Pour gérer les attentes de chaque partie, l'organisation utilise son pouvoir et son autorité alors que l'agent aménage sa participation et son engagement au regard de deux conditions : -Le degré d'attente des agents envers ce que l'organisation va offrir et ce qu'il devra donner en échange qui doit être adéquation avec les attentes de l'organisation

, -La nature des échanges, comme par exemple le montant du salaire en échange du temps de travail, de la satisfaction des besoins sociaux et de la sécurité d'emploi en échange du travail, de la loyauté

, La dette créée par l'avantage reçu maintient la relation de réciprocité compte tenu de quatre facteurs : les motivations de l'offreur, la valeur des avantages reçus par le bénéficiaire et son coût pour l'offreur, la nature des motivations de l'offreur et l'évaluation par comparaison avec les autres

, Gouldner 161 qui considère la norme de réciprocité comme un préconstruit et donc antérieure à l'existence d'attentes et de responsabilités. C'est donc cette seule norme de réciprocité qui serait à l'origine des échanges au regard de deux formes : hétéromorphique (contenu de l'échange différent mais de même valeur

M. , équilibrée (donnant-donnant, direct et simultané) et négative (égoïste et au détriment de l'autre partie, comme le vol), réciprocité qui doit s'opérer en direct et sans délai. La réalisation de symétrie ou d'équilibre dans l'échange est caractéristique des relations volontaires comme l'emploi, Sahlins 162 rappelle les trois dimensions de la réciprocité : généralisée (altruiste avec immédiateté des retours)

L. Support, ou soutien) organisationnel perçu est une notion permettant d'évaluer la perception d'un agent sur la valorisation par l'organisation de ses contributions et le soin apporté à son bien-être (R. Eisenberg et al. 163 ). Cette perspective part de la théorie de l'échange social et de la norme de réciprocité. C'

E. H. Schein, Action Research and Clinical Inquiry: Are they the Same?, Process Consultation, vol.10, pp.14-19, 1995.

A. W. Gouldner, The Norm of Reciprocity: A Preliminary Statement, vol.2, pp.161-178, 1960.

M. D. Sahlins, , 1972.

R. Eisenberg-&-r.-huntington, &. Hutchison-&-s-&-d, and . Sowa, Journal of Applied Psychology, vol.71, pp.500-507, 1986.

A. S. Tsui, 166 ont examiné cette relation en insistant sur les contributions offertes par

, A la différence des précédentes, les travaux qui portent sur le contenu de l'échange se réfèrent au jugement que chaque partie porte sur la valeur de la contribution de l'autre au regard de concepts tels que la fidélité, l'engagement, l'implication etc

, Dutot 167 , la fidélité du salarié à l'organisation peut être associée à la relation de confiance qui unit l'employé à son organisation et se caractérise par sa résistance à l'adoption d'un comportement opportuniste face à une offre d'emploi. Quant à J.-M. Peretti 168 , il affirme que « le salarié est fidèle à son organisation lorsqu'il justifie d'une ancienneté significative et d'un désintérêt pour les opportunités professionnelles externes

, Le modèle de l'échange « leader -Membre » (Leader Member Exchange -LMX) analyse la qualité de la relation (loyauté, soutien dans le travail confiance, etc.), celui de l'échange « équipe -membre » (Team Member Echange -TMX) définit la qualité de la relation entre le salarié et son

R. Eisenberger-&-p.-fasolo and &. V. Davis, LaMastro 170 ont élaboré un modèle de relation d'échange social dans lequel la relation « employeur -employé » est analysé au travers du concept de support organisationnel perçu (POS) et l'engagement affectif à partir de l

P. W. Hom-&-a, &. B. Tsui, &. T. Wu, . Y. Lee-&-a, . P. Zhang-&-p et al., Explaining Employment Relationships With Social Exchange and Job Embeddedness », Journal of Applied Psychology, vol.94, issue.2, pp.277-97, 2009.

C. Dutot, Contribution aux représentations de la fidélité des personnels à l'entreprise : éléments de convergence et de divergence entre ouvriers et employeurs ; le cas des ouvriers de deux industries métallurgiques du Pays de Retz, 2004.

J. Peretti, Gestion des ressources humaines, Vuibert, collection « Vuibert Entreprises, 1999.

J. Aselage-&-r and . Eisenberger, « Perceived Organizational Support and Psychological Contracts: a Theoretical Integration, Journal of Organization Behavior, vol.24, issue.5, pp.491-509, 2003.

R. Eisenberger-&-p.-fasolo and &. Davis-lamastro, « Perceived Organizational Support and Employee Diligence, Commitment, and Innovation », Journal of Applied Psychology, vol.75, pp.51-59