, Nihon ni izonsuru gempon Jôgen shintei shakkyô mokurokuS 2^?

». ????????? and K. Shoshigaku-ronshu-?????, , pp.423-435, 1957.

, Chronique BEFEO, vol.83

?. Le-kôfukuji, L. , L. Daianji, ;. £#, ?. Le-yakushiji et al., ) de Fushimi et (3) du Bonshakuji $£##). Ensuite, le Catalogue de l'ère Zhenyuan, qui se trouve dans ces trois monastères, mentionne une « liste d'ouvrages non inclus dans le canon », dont plus de la moitié était conservée au Hôshôji et au Bonshakuji. On a donc cru devoir les recopier scrupuleusement et systématiquement. En conclusion, on peut avancer que : 1. le canon des Nanatsudera a pris pour modèle celui du Hôshôji ; 2. les moines qui ont copié ce canon ne comprenaient pas le sens exact du terme « ouvrages non inclus dans le canon ». Le Hôshôji est un grand monastère impérial représentatif du début de l'époque de Heian, et le Bonshakuji est un grand centre d'études scolastiques représentatif de la fin de la même époque. Il est naturel que tous deux aient hérité de la tradition des Sept monastères de Nara, que sont le Tôdaiji ?;*:??, sur des manuscrits d'Owari, sur ceux conservés dans trois temples de Kyoto qu'on a utilisés afin de faire un travail de collationnement : ce sont ceux mentionnés plus haut par ordre d'importance (1) du Hôshôji

. La-«-liste, ??????) recense ceux que Zhisheng a écartés du canon pour plusieurs raisons : 1. Les textes déjà intégrés dans la Somme du Grand sutra aux amas de joyaux

, Les versions d'un même texte, mais comportant un nombre de rouleaux différent en raison d'un autre découpage

, Des textes déjà catalogués sous un autre titre

, Des textes figurant deux fois dans le Catalogue de la dynastie des Zhou, constitué en 695 sous l'impératrice Wu ZetianM^, pp.624-705

, Des extraits de sutra copiés comme sutra complets

, Des récits tirés du vinaya des Mulasarvâstivâdin et donnés comme textes complets. 7. Des ouvrages répertoriés dans le Catalogue des Zhou, mais qui ont été perdus

, Des textes douteux et apocryphes. Zhisheng dénombre en tout 118 titres pour 247 rouleaux [T. 2157 (30), LV, pp.1046-1048

, Or il se trouve que pour des raisons historiques les Nanatsudera, qui ont hérité de cette tradition de Nara, sont le monastère qui en a conservé le plus grand nombre, soit 13 titres et 105 rouleaux, dont certains sont des unica. Réévaluation des copies du canon bouddhique faites à l'époque ancienne au Japon J'espère avoir donné une idée de l'importance des canons bouddhiques recopiés au Japon à époque ancienne. Pour ne pas prêter à méprise, je voudrais rajouter que, loin de faire peu de cas des éditions actuellement imprimées du canon bouddhique (Tais ho) ainsi que des manuscrits de Dunhuang, c'est tout-à-fait conscient de leur importance que j'ai poursuivi mes recherches et en ai présenté les résultats. Il me semble pourtant que le Taishô et les manuscrits de Dunhuang doivent être étudiés en même temps que le canon d'époque des Tang, aujourd'hui conservé dans celui de Nara et dans ceux de l'époque de Heian qui le prolongent. Les canons copiés au Japon ont eu tendance à être gardés jalousement secrets en raison de leur haute valeur artistique et esthétique, Ces textes étaient recopiés et étudiés à l'époque de Nara en dépit de leur caractère « extracanonique

&. Aujourd and . Hui, Les manuscrits de Dunhuang sont reproduits en microfilms, édités en facsimile, et l'on commence à en publier des éditions photographiques très accessibles et lisibles, pp.1522-1566