M. Tairyô, Monsieur Makita n'a pas précisé de quelle copie il s'agissait. Il semble que ce soit celle de la collection Moriya. Ce sutra est également édité dans le volume 85 du Canon de Taishô (T. 2898, 85 : 1425b-1426a) d'après celui édité dans la Suite du canon (Zokuzô ???, Z. I, 87-4) et une édition de l'année 1898. Mais le texte est plus court que celui édité par Makita. 68. Signalé également dans Makita, p.69

K. Traduction-de, chapitre des dhâranï : « Celui qui n'obéit pas à ma dhâranï et trouble le prédicateur verra sa tête brisée en sept morceaux comme la branche de l'arbre ali, vol.262, pp.529-531

. Voir-aussi-hôbdgirin, 37a. Comptes rendus occurrences dans les sutra canoniques et apocryphes et dans quelques textes taoïques, vol.I, 1929.

, Dans ces derniers, la tête est brisée en dix-neuf ou quatre-vingt-dix ou encore trois cents morceaux, pp.725-726

, Le rite tantrique pour appeler l'âme, établi au Japon, semble avoir peu de rapports avec le « Sutra pour faire revenir l'âme ». Au contraire le rite â'Ommyôdô est proche du sutra et du même rite réalisé par les taoïstes en Chine. Il est néanmoins intéressant de noter que dans le rite bouddhique, pratiqué au Japon dès le XIIe siècle, on utilise aussi l'expression « faire revenir la conscience perdue » {£ ? jg $£ ; shiki I shi § §, le mot qui traduit vijnàna) pour dire « faire revenir l'âme, Les textes des prières de VOmmyôdô cités par Masuo montrent à la fois la continuité de la pratique chinoise au Japon et les modifications qu'elle y a subies, vol.642, pp.1-1, 1933.

F. D. ,

«. Lessing, Calling the soul : a Lamaist ritual, Semitic and Oriental Studies, vol.11, pp.263-284, 1951.

L. Dernier-texte-Édité and . Le-sixième-de-ce, Anmu jing $ ? ? {Sutra pour protéger les tombes) dont l'éditeur est Naomi Gentetsu j| §^ ?, éditeur également du Zhaohun jing. Il aurait été composé par un moine nommé Daobei ? ? (plus tard appelé Daohuan £? ?$. Les cinq textes attribués à ce moine de la dynastie Qi du sud, vol.II, p.630

, Naomi souligne la nouveauté des copies manuscrites retrouvées aux Nanatsu-dera. Cinq manuscrits sont des copies uniques des cinq sutra apocryphes jusqu'alors connus seulement par des répertoires d'ouvrages bouddhiques. Ce sont le Piluo sanmei jing {Sutra du samâdhï Piluo)10, le Fomingjing {Sutra des noms de buddha) en \6juan71 et trois sutra édités dans ce volume II : Qingjing faxing jing, Anmu jing et Toutuo jing. Mais le Fomingjing en 16 juan n'est guère différent de celui en 12 ou en 30 juan édité dans le Canon du Taishô12. Naomi reprend la classification des apocryphes en six catégories proposée par Monsieur Makita73 et suggère de ranger les apocryphes des Nanatsu-dera avec les textes dont les motifs de fabrication sont 1) de défendre certaines doctrines et 2) de guérir des maladies 70. Publié dans le volume I de la série, Un article du même Naomi Gentetsu conclut ce deuxième volume des manuscrits des Nanatsu-dera : « Des sutra apocryphes aux sutra populaires : autour des sutra apocryphes conservés dans le Canon des Nanatsu-dera, vol.82, pp.887-902, 1995.

K. Cf and . Li-ying, La récitation des noms de buddha en Chine et au Japon », T'oung Pao, vol.81, pp.248-249, 1995.

M. Tairyô, BEFEO, vol.82, p.417, 1995.

, Monsieur Naomi a tout à fait raison de souligner l'attitude contradictoire des maîtres chinois vis-à-vis des apocryphes. Ils les critiquent violemment et les excluent du Canon officiel. Mais en même temps, ils les citent comme si c'étaient des sutra véritables, traduits des langues indiennes et transmettant le véritable enseignement du Buddha. Il y a donc deux bouddhismes, dit Monsieur Naomi, l'un académique et officiel (Hf ?) et l'autre populaire (g |^). Les textes qui relèvent du premier sont dits authentiques (iH), ou faire gagner des avantages. La dernière de ces catégories est qualifiée par Makita et Naomi de « superstition, p.899

K. Liying,

P. Paul, Inventaire sommaire des manuscrits et imprimés chinois de la Bibliothèque Vaticane. A posthumous work, révisé et édité par TAKATA Tokio, Kyoto, Istituto Italiano di Cultura, Scuola di Studi sull, Italian School of East Asian Studies, Reference Series, 1995.

, Comme le relève à juste titre le directeur de l'École italienne d'études sur l'Asie Orientale de Kyoto et éditeur de la collection, Antonino Forte (p. vii-ix), Pelliot a, sans aucun doute, été attiré (entre un voyage à Boston en 1921 et un autre à Londres en 1923, peu après qu'il a pris la direction du T'oung Pao, à la mort d'Edouard Chavannes en 1921, et qu'il en a fait la tribune de son savoir encyclopédique) par son travail alors en cours sur la stèle nestorienne de Xi 'an (de 781), dont il avait déjà rédigé le commentaire (sa traduction paraîtra une quarantaine d'années après sa mort : Recherches sur les Chrétiens d'Asie centrale et d'Extrême-Orient, Une fois passés les postes successifs de contrôle qui défendent l'entrée du Vatican et de sa bibliothèque, les recommandations et papiers justificatifs ayant été vérifiés et contrevérifiés, et franchie, en haut d'un escalier, la porte qui ouvre sur les salles majestueuses de la bibliothèque vaticane, la richesse de quelque 1 600 livres et feuillets en chinois et autres langues extrême-orientales, regroupées en huit fonds, vol.20, pp.1-18, 1921.

«. Le-juif-ngai, , pp.32-39

«. Le-véritable-auteur-des-elementa-linguae-tartaricae, ». , and I. , , vol.21, pp.367-386, 1922.

». «-la-brevis-relatio and I. , Est-il besoin de rappeler, en outre, que le nom de Pelliot reste attaché à l'histoire gengiskhanide des XnT-XlV6 siècles, et, notamment, aux rapports entre Occident médiéval chrétien et Chine des Yuan, vol.23, pp.355-372, 1924.