L. Robert-de, De sancta trinitate et operibus eius, p.1491

, 175 : supersublimata pour « eslevée » ; ch. 70, p. 199 : « elevacion » pour superelevato ; ch. 73, p. 205 : superexcellens pour « surmontant » ; ch. 80, p. 229 : superplena pour « deffluant » ; ch. 85, p. 241 : superlibera pour « surmontamment franche » ; ch. 96, p. 269 : superelevata pour « soubhaulcée » ; ch. 101, p. 275 : superexcedit pour « surmonte » ; ch. 115, p. 309 : « tres haultiesme » par supersublimi, Speculum, p.240

S. Kocher, Allegories of Love, pp.160-161

F. Morenzoni, . Les, ». Dans-la-prédication-du-xiii-e-siècle, H. O. Dans, M. Bizzarri et al., Voir aussi les tables de proverbes dressés par N. Bériou, L'avènement des maîtres de la parole, pp.131-149, 1998.

C. Miroir, Thesaurus proverbiorum medii aevi, vol.55, p.30, 1996.

. J. Miroir-;-cf and . Morawski, 3 : « in necessitate enim, Au besoing voit on l'ami ». La formule est déjà employée par Aelred de Rievaulx, De amicitia, vol.170, p.214, 1925.

.. J. Miroir and . Morawski, Proverbes français, n° 1986 : « Li homs qui mauvais seigneur sert, mauvais loier atent, Proverbes et expressions proverbiales dans la littérature narrative du Moyen Âge français : Recueil et analyse, vol.56, p.187, 1985.

C. Miroir, Morawski, Proverbes, n° 2033 : « ki ne norit n'asavore », des Proverbia rusticorum mirabiliter versificata, vol.84, p.238

C. Miroir, Heinrich Bebels Proverbia germanica, 1879, n° 439 : « Noctuae pullus suus pulcherrimus », qui signale également une version néerlandaise, Morawski, Proverbes, n° 16 :« A chascun oisel son nid est bel » (également cité par Schulze-Busacker, Proverbes, vol.55, p.177, 1660.

C. Miroir, Leipzig, 1879, c. 1164) « In maleficiis voluntas pro opere reputatur », tirée de Jérôme, Epist. 82. 111. Miroir, ch, vol.43, p.134

. Miroir, Proverbes, n° 2303 : « tant vault la chose comme elle peut estre vendue, The Medieval Theories of the Just Price : Romanists, Canonists and Theologians in the Twelfth and Thirteenth Century, 1959.

. Miroir-;-cf.-guerric-d'igny, .. J. Sermones, H. Morson, and . Costello, « Neque enim timor iste quem amor castum facit gaudium tollit sed custodit non destruit sed instruit non inamaricat sed condit ut tanto sit durabilius quanto modestius tanto uerius quanto seuerius tanto dulcius quanto sanctius. » 114. Jérôme, Epistulae, Ep. 53, éd. I. Hilberg, Vienne, 1910, p. 462 : « ceterum socraticum illud inpletur in nobis: 'hoc tantum scio, p.286, 1970.

. Epist, « utinam socraticum illud haberemus: 'scio, vol.57

R. Imbach and . Virtus-illiterata, Zur philosophischen Bedeutung der Scholastikkritik in Petrarcas Schrift De sui ipsius et multorum ignorantia, Jahrhunderts, pp.84-104, 2004.

. Bonaventure, Questiones de perfectione evangelica in Opera omnia

. Bonaventurae, Voir aussi S. L. Field, « Annihilation and Perfection in Two Sermons by Gilbert of Tournai for the Translation of, pp.237-274, 1891.

J. Pierre-de, D. Olivi, and . Humilitate,

. Bonaventurae, , pp.658-662, 1891.

. Iacopone-da-todi, .. F. Laude, . Mancini, and R. Laterza, Voir A. Cacciotti, « La 'nichilità' in Jacopone da Todi, Essays on mystical literature, vol.51, pp.389-406, 1916.

C. Miroir, Le terme adnichilatio est aussi employé dans la version latine, vol.52, p.34

C. Miroir, , vol.11, pp.36-38

M. Hadewijch, 20-23 : « So waren wij ledich in sijn ghesichte / Van alre wise, van alre berichte / van alre storien, van alre ghedichte; / In een afgrondich onghestichte » ; v. 37-38 : « Ay, deus, hoe grote edelheyt / Es dese vrie ledicheyt »). 126. Mechtild von Hackeborn, Liber specialis gratiae, « in hac unione anima in se annihilabatur, vol.27, pp.139-140, 1877.

, Mais je tiens d'elle que, se tout le monde deust avoir esté sauvé par son moyen pour yssir de l'estre de virginité, elle ne s'i fust ja d'un seul penser consentie, puisque Jhesucrist le povoit de sa bonté, par le seul moyen de sa mort

. Même, On le voit apparaître pour la première fois dans une question posée à Gérard d'Abbeville, en 1266, à propos du pouvoir de dispense papal des voeux solennels. Le cas d'école imaginé par le théologien était celui d'un empereur sarrasin tyrannique, 127. J. McEvoy, « Maria Optimam Partem (Luc 10:42). A Sermon on Martha and Mary Attributed to Robert Grosseteste (MS Bodl. 57), Marie n'aurait pas consenti à sa sacrifier sa virginité, et n'aurait pas même pu en concevoir l'idée. Une telle situation n'a aucun fondement dans la tradition scripturaire ou patristique. La structure de l'interrogation correspond en revanche à un cas abondamment discuté dans le littérature quodlibétique, vol.124, p.362, 2002.

. Menaçant-d'éradiquer-la-foi-chrétienne,-À-moins-que-l'église-n'accepte-de-l'unir-À-une-jeune, Il n'était cependant question, dans cette union, ni de voeu de chasteté, ni de menace pour la foi chrétienne. Comme souvent, l'exercice de la dispute avait pour intérêt de mettre en scène un cas limite qui contraignait à opposer deux exigences impérieuses, avant de conclure qu'un voeu individuel, et particulièrement celui d'une femme, pouvait être subordonné à l'intérêt collectif. Deux ans plus tard, lors d'un nouveau Quodlibet, Gérard d'Abbeville eut l'occasion de préciser sa pensée, sans modifier le point central de sa réponse 131 . Au cours des années 1280-1290, différents maîtres mineurs eurent à affronter à Paris des questions quodlibétiques sur la dispense du voeu de continence. Sans que le cas spécifique analysé par Gérard d'Abbeville soit repris, son argument d'une situation de danger pour la foi chrétienne est généralement invoqué pour justifier un pouvoir de dispense 132 . Il est notable que le seul auteur qui refuse toute forme de dispense d

Q. Gérard-d'abbeville and . Iv, Gérard d'Abbeville, Quod. VI, 3 : « Utrum cum illa muliere que votum solemne emisit continentie, pro aliqua utilitate ecclesie posset papa dispensare quod contrahat matrimonium cum aliquo tyranno et si tota fides periclitaretur in tota provincia vel regno, nisi cum illa contraheret, ut cum virgine velata, Utrum cum virgine velata et sanctimoniali professa posset in aliquo casu dominus papa dispensare et ponebat casum si imperator esset sarracenus et tyrannus et uellet fidem totaliter euertere et fideles omnes perimere, nisi ecclesia sibi puellam matrimonialiter copularet ac per hoc a premissis cessaret et ad fidem converteretur, utrum papa in hoc casu cum puella que votum sollempnizavit per habitus regularis susceptionem et sanctam professionem posset dispensare». Cf. D. Cornet, « Les éléments historiques des IV e et VI e Quodlibets de Gérard d'Abbeville », Mélanges d'archéologie et d'histoire, vol.13, pp.201-204

R. Attrabensis, . Quod, . Ii, . Utrum, . Paris et al., 15850, fol. 30v-31v, cf. fol. 31r : « si fides nostra periclitaretur per aliquem paganum potentem qui opprimeret christianos nisi daretur sibi aliquam monialis in uxorem, in isto casu posset dispensare papa cum ea ». La réponse de Simon de Guiberville, Quod. I, 4, « Utrum papa possit dispensare in voto continentiae », tient en une ligne, Ibid., f. 34v : « Dixit quod sic et hoc propter maius bonum ut monialis exeat a religione et uxoretur ; talis casus in qua possit et debeat dispensare raro accidit. » Sur ces auteurs, voir S. Piron, « Nicholas of Bar's Collection », dans C. Schabel (dir.), Theological Quodlibeta in the Middle Ages. The Fourteenth Century, Quod. IV, vol.6, issue.41, pp.333-343, 2007.

. Raymond-rigaud, . Quod, and . Iii, Utrum papa possit dispensare in voto continentie », Cod. Padova, Antoniana 426, fol. 11vb-12ra : « Tanquam ad patrem universalem ad papam pertinet omne votum revocare, si sit temerarium ; declarare si sit dubium, vol.35