, Akten des 9, Symposium Aristotelicum, issue.16, p.157, 1981.

, écrit en 1986 : « Enrico Berti et Gudrun Vuillemin-Diem ont plaidé récemment en faveur d'une [...] interprétation, à laquelle ils sont arrivés simultanément, indépendamment l'un de l'autre et par des voies en partie différentes. La scholie se rapporte, estiment-ils, Moraux, organisateur du Symposium de Berlin au cours duquel furent présentés les travaux de Berti et de Vuillemin-Diem

G. Cambiano, Storiografia e dossografia nella filosofia antica, p.146, 1986.

. Berti and .. Note-sulla-tradizione,

, Pour une autre interprétation, voir l'explication rapportée par Asclépios en 113, pp.180-72

. Voir and A. Le-début-de-son-commentaire-À-petit,

, Xe ; voir mon étude déjà citée : « Les mains du Parisinus graecus 1853 », p. 157 s. Dans l'autre ancêtre conservé de cette branche, le Vindobonensis phil. gr. 100 (J), du IX e siècle, le cahier qui contenait le premier livre et le début du second livre de la Métaphysique, jusqu'à 994a6, a disparu (sur ce manuscrit, Jahrbuch der Österreichischen Byzantinischen Gesellschaft, pp.5-10, 1957.

, Voir les discussions de Vuillemin-Diem et Berti déjà citées

, Voir le texte reproduit ci-dessous : II. Marginalia et post-scriptum

H. Vuillemin-diem-cite-en-exemple, W. Bonitz, W. D. Jaeger, K. O. Ross, J. Brink et al., Crilly et P. Moraux ; cf. « Anmerkungen zum Pasikles-Bericht, issue.1, p.157

«. Vuillemin-diem, ». Anmerkungen-zum-pasikles-bericht, and B. Et, « Note sulla tradizione

. Voir-aussi-berti and .. Note-sulla-tradizione,

, Pour un historique de la discussion concernant Petit Alpha, voir notamment William Humbert CRILLY, The role of Alpha Minor in Aristotle's Metaphysics. A study in Aristotelian Methodology, Diss. Fribourg, p.16, 1962.

«. Berti and . La-fonction-de-métaph, Alpha Elatton dans la philosophie d'Aristote », Zweifelhaftes im Corpus Aristotelicum, Akten des 9, Symposium Aristotelicum, issue.16, p.260, 1981.

, A savoir la scholie ajoutée au XIII e s. dans E, dans la marge supérieure du même folio 234 r , (G. NAGY, Poetry as performance, Homer and beyond, pp.115-116, 1996.

R. Pfeiffer, History of classical scholarship : from the beginnings to the end of the Hellenistic age, p.94, 1968.

, Voir toutefois les réserves formulées par J. BARNES dans son très sceptique « Roman

». Aristotle, I. I. Philosophia-togata, A. Plato, and . At-rome,

O. Griffin, Mais son objection selon laquelle Andronicos n'aurait pas conservé dans son édition les traités qu'il jugeait inauthentiques est discutable, p.31, 1997.

G. Voir-notamment-l'étude-de, NAGY sur la pratique antérieure des exégètes de Pergame : « The library of Pergamon as a classical model, Pergamon citadel of the gods, archeological record, literary description, and religious development

K. Pennsylvania, , p.216, 1998.

. Berti and . Note-sulla-tradizione, , p.14

«. Bernardinello and . Gli-scoli-?-», , p.43

. Le-stemma-de-la-métaphysique-de-théophraste,

, Burnikel (moyennant quelques modifications) est composé de deux branches principales : face au Parisinus gr. 1853, l'autre branche est représentée par notre manuscrit J d'une part, et d'autre part ce manuscrit A, dont sont issus d'assez nombreux apographes

A. Métaphysique, G. W. Laks, . Most-;-lxvi-lxxviii, and . Lxxix, avec la collaboration de Ch. Larmore et E. Rudolph, et pour la traduction arabe de M. Crubellier, 1993.

, Voir encore le cas évoqué ci-dessous de la scholie au livre VII de l'Histoire des plantes de

. Théophraste, et les apographes de E et autres manuscrits qui ont subi son influence et qui rapportent généralement la scholie à pleine page, à la suite de Grand Alpha, voir Vuillemin-Diem, « Anmerkungen zum Pasikles-Bericht ?, pp.163-164

. Berti, 13) signale, sur information donnée oralement par Bernardinello (mais voir aussi Vuillemin, p. 163 et n. 11), que l'apographe de E, B b (le Laur, vol.87, p.12

, cela ne peut cependant pas constituer une preuve en soi : d'autres apographes l'ont rapportée à Petit Alpha. En outre, Vuillemin considère que dans les apographes de E, l'ambiguïté due à l'emplacement de la scholie a généralement été maintenue

, « Anmerkungen zum Pasikles-Bericht ?, pp.163-164

S. Voir-aussi, voir déjà Vuillemin-Diem, « Anmerkungen zum Pasikles-Bericht ?, pp.158-159

, Si l'on en croit Vuillemin-Diem, (cf. « Untersuchungen zu Wilhelm von Moerbekes Metaphysikübersetzung, p.193

A. Métaphysique-grand, dans la mesure où il manque juste un quaternion qui devait contenir environ 41 lignes par page, et où le copiste va à la page pour chaque nouveau livre. Toutefois, elle ne reprend pas cet argument dans son ouvrage de 1995 : Metaphysica lib. I-XIV. Un autre témoignage est troublant : dans le Marcianus gr. 211 (E b , du XIIIe-XIVe s.), qui appartient à la même branche de la tradition manuscrite que E et J selon D. HARLFINGER (« Zur Überlieferungsgeschichte der Metaphysik », Etudes sur la Métaphysique d'Aristote, Actes du VIe Symposium Aristotelicum publiés par Pierre Aubenque, pp.7-36, 1979.

D. Caelo, . Le-de-gen, and . Corr,

. Cf, les deux prologues aux traductions de Guillaume de Moerbeke transmises par Zl c , le Marcianus 1639, d'une part

L. Fv, . S. Laur, . Op, and P. Le, Bibl. Univ, vol.453

, 22), pour qui ce livre a été ajouté par Théophraste (mais sans que l'on comprenne à qui il est dû : à lui-même, à Aristote ou à un autre auteur), et toujours au XIII e s., les Quaestiones in Metaphysicam de Siger de Brabant, vol.27, pp.198-208

, Il a ensuite utilisé une autre source grecque pour corriger le début du texte dans son modèle latin jusque A 3, 984b8 seulement. Tel est l'état de sa première rédaction dont témoigne le manuscrit Da (le Vat. Apost. Palat. Lat. 1060, de la fin du XIII e s.), Guillaume disposait 1) d'une ancienne traduction de la Métaphysique d'Aristote : la Translatio Anonyma, dans laquelle manquent le livre XI (= K) et la fin du texte grec

V. Rose and A. Pseudepigraphus, , pp.183-185

W. Jaeger and . Recension-de-ross-fobes, Theophrastus Metaphysics », dans Gnomon 8, pp.289-291, 1932.

N. Damascenus, On the Philosophy of Aristotle, Fragments of the first five books transl. from the Syriac with an intr. and comm, pp.27-30, 1965.

, qui représente une autre branche de la tradition manuscrite directe, vol.87

, L'erreur proviendrait de la traduction latine pour Rose, de l'Antiquité tardive pour Jaeger et

D. Lulofs, Ce 'glissement' au livre suivant est sans doute lié à la dernière phrase de la scholie dans laquelle est considéré le rôle introducteur du livre en question : ???? ?' ?? ???? ???? ???????????? ????? ?????? ??? ???? ??????????? ; elle aurait été ajoutée ultérieurement, selon Vuillemin-Diem. Je reviens sur cette question dans « A legacy from the library of the Lyceum?

A. La-suite-de, J. G. Schneider, H. Usener, O. Regenbogen, and . Drossaart-lulofs, Vuillemin-Diem a signalé l'existence de cette scholie

T. Historia and . Urb, et n. 42). D'après le manuscrit Urb. 61 : ???????? ?? ???? ?????????? ??? ???????, ?????????? ?? ???? ????? ????????, gr. 61 et dans deux manuscrits plus récents, p.28

.. «-untersuchungen-zu-wilhelm-von-moerbekes,

«. Berti and . Note-sulla-tradizione-?-», , p.14

. Vuillemin-diem, et la note 20 cidessus ; voir aussi ibid, Anmerkungen zum Pasikles-Bericht ?, pp.171-172

«. Weder and . Verwechslung, noch das Scholion selbst -und das gilt, streng genommen, auch für die kodikologische Überlieferungsgemeinschaft der beiden Schriften -lässt sich weiter zurückverfolgen als bis in das 9, Jahrhundert

, « Das Scholion in seiner missbezogenen Form und der damit ausgedrückte Zweifel an der Echtheit von Buch A Met<aphysik des> Arist<eles> und die Zuschreibung des Buches an Theophrast gehen, über das Zeugnis von Moerbekes Übersetzung, auf die Handschrift Jbzw. auf einen möglicherweise zwischen J und der gemeinsamen Vorlage von E und J liegenden unmittelbaren Vorgänger von J -d.h. wohl etwa in die erste Hälfte des 9, Jh. zurück

B. Antike and . Alexander, später Syrianos) bezeugte Meinung über die Unechtheit von Buch A der Metaphysik sein. » (Vuillemin-Diem, « Untersuchungen zu W. von Moerbekes Metaphysikübersetzung, p.198

«. , so schliesst sich die durch einen Irrtum bezeugte Meinung von der Autorschaft des Theophrast durch reinen, materiellen Zufall und in einfacher zeitlicher Nachfolge an eine Reihe von sehr vereinzelten

, « Va dunque riferita a questa tradizione <= la notizia secondo cui molti attribuivano un libro della Metafisica a Pasicle>, e non a quella, certamente posteriore ad Asclepio, che attribuiva Alpha Meizon a Teofrasto, la difesa dell'autenticità di questo libro fatta <?> da

A. , Metaph. 196, 19) e ripresa da Asclepio (in Metaph. 4, 20) e da Siriano (in Metaph. 23, 9) » (Berti, « Note sulla tradizione ?, pp.14-15

«. Se, A. Da-asclepio, . Elatton, N. Di-aristotele, and . Metafisica,

, Je laisse ici volontairement de côté la tradition arabe, qui ne fournit pas, à ma connaissance, d'argument décisif sur ces questions

, 8-11 : ????????? ???? ??? ?? ?? ?? ??????? ? ???????? ??????? ??? ??? ????? ?? ?? ??????? ??????????. A l'argument précédemment évoqué (ce n'était pas le lieu de discuter cette opinion), on peut ajouter que ne pas discuter en détail cette information est, Syrianos In Met, vol.23

W. W. Fortenbaugh, P. M. Huby, R. W. Sharples, and D. Gutas, Theophrastus of Eresus. Sources for his Life, Writings, Thought and Influence, pp.204-205, 1993.

. Cf, . Simplicius, and I. Vuillemin-diem, On remarque aussi que Grand Alpha est absent des traductions arabes d'Astât (IX e s.) et du commentaire d'al-Fârâbî (X e s.) ; la première moitié (jusqu'en 5, 987a5-6) est également absente de la traduction de Nazif ibn Ayman (X e s.) et du commentaire d'Averroès, mais il est plus vraisemblable, dans ces derniers cas, vol.6, pp.205-207

, « (?) Theophrastus, qui etiam primum librum (qui incipit « omnes homines scire desiderant ») Metaphysicorum Aristotelis traditur addidisse : et ideo in Arabicis translationibus primus liber non habetur » (Albertus Magnus

, ????? ?? ???(????) ????? ???????(???) ????? ??(?)? ??? ??????? ?? ?? ???????? ???????(?)?(???)? ???? ?? ??????? ??? ??????? ???(????). ????????(??) ?? ? ??????????? ???????(?)?(???) ???? ??(???) ??????

. Vuillemin-diem, ?? ?? ? ?? ??????? ?????????? ????? ?? ??????? ??????????? ???? ????? ???? ??????? ??? ??????, ?? ?? ??????? ???????, ???????? ?? ??????? ???????????? (Urb. gr. 49, f. 16 r ), pp.170-171

, En outre, tout comme Pasiclès, Boethos « frère d'Eudème » (selon Asclépios et la scholie du X e s.) est par ailleurs inconnu. De même que l'on est passé de ????? avec Asclépios à ?? ??????? dans la scholie, les précisions apportées par Asclépios sur la relation entre, Les écarts entre le commentaire d'Asclépios et la scholie du X e s. ont déjà été relevés par Vuillemin-Diem (« Anmerkungen zum Pasikles-Bericht ?, vol.4, p.175

, Il n'est pas impossible que d'autres 'glissements' du même genre que ceux qui ont été évoqués ci-dessus se soient produits avant le VI e siècle, jusqu'à une déformation très 23

, Boethos de Sidon, le péripatéticien ; il fut le disciple d'Andronicos de Rhodes et il a poursuivi l'oeuvre de celui-ci en éditant et commentant Aristote (à savoir les Catégories, la Physique et, peut-être, le De anima ; il est surtout connu pour sa discussion des Catégories ; voir plus haut, Moraux, Listes ?, Pasiclès dont le nom et les travaux soient restés attachés à la tradition aristotélicienne, il a existé, en revanche, un autre Boethos bien plus connu, pp.143-146

V. Moraux, . Ammonius, . Simplicius, . Philopon, E. Olympiodore et al., Le schema isagogicum comprenait sept questions : le thème de l'oeuvre, sa place dans le corpus, son utilité, son titre, son authenticité, ses subdivisions, la partie de la philosophie dont elle relève. Pour Mansfeld (Prolegomena), la littérature exégétique liée à l'enseignement de la philosophie a peut-être commencé avant le 1 er siècle avant notre ère, et bien que cet usage n'ait pas été codifié avant Proclus, on peut le faire remonter au moins à Porphyre, pp.630-632