P. Mauroy, en donne une description mouvementée. Voir aussi : Jean-Jacques Ayme, Jeunesses socialistes, pp.1944-1948, 2009.

, Sur ces questions voir Christine Bouneau, pp.409-424

«. Les, ». Dans-le-plat, and G. Cahn, Jeunesse, 1944.

. Ibid,

, « un parti sans jeunesse est un parti sans avenir », se plaît-on à répéter, citant Léon Blum -, à se présenter comme la génération qui mènera à bien la transformation socialiste de la société et, d'autre part, le poids de l'ancienneté et de la tradition au sein de la SFIO

L. Certes and . Départ, des adhérents est plus massif, soudain et médiatisé que la plupart des démissions individuelles, mais il s'inscrit sans doute dans la même logique : malgré le changement de direction au sein de la SFIO

L. Mollet and . Parti, se montre incapable de réaliser la société sans classe qu'il appelle de ses voeux et dépeint dans ses journaux. L'équilibre instable entre la tradition républicaine et l'héritage révolutionnaire est rompu au profit de la première, ce qui conduit une frange importante de la SFIO

C. Bouneau, cite plusieurs dirigeants du parti au moment de la crise de Montrouge : Oreste Capocci voit les JS comme des « groupes d'exécution », Victor Provo leur rappelle qu'ils doivent « calquer leur politique sur celle du Parti, p.408

, Plusieurs des dirigeants comme André Dunoyer ou Marcel Rousseau rejoignent ensuite le RDR, avec Yves Déchezelles, qui était l'un de leurs soutiens au sein de la direction de la SFIO