, Sur ce document, en plus de Welles et al. 1959, voir Rostovtzeff-Welles, 1931.

. Le-texte-grec,

». M. ??????????, C. B. Rostovtzeff, and . Welles, Rostovtzeff-Welles 1931) comprennent que l'Ami est Ménarnaios et traduisent : « en présence de Metolbaessa fils de Ménas, membre de l'équipe de Ménarnaios le phrouraque

. Welles, On considère désormais en général, semble-t-il, que le phrourarque et Ami est bien Ménarnaios ; certains continuent à considérer que Metolbaessa fait partie de son « équipe » : voir SAVALLI-LESTRADE 1998 n. 7, qui traduit : « Devant Mittolbaesa fils de Menas, un membre de l'entourage de Ménarnaios le phrourarque, qui faisait partie etc. » ; voir également Arnaud 1986 note 38. D'autres comprennent qu'il est un descendant de Ménarnaios : voir Sommer, Metolbaessa fils de Men?, petitfils de Menarnaios, phrouraque » etc. (in the presence of Metolbaessas, son of Men-and grandson of Menarnaeus, pp.450-451, 1926.

, 31, reprend l'argumentation de Cumont 1926 pour établir de nouveau que la date à retenir est celle de, pp.135-136

, Cumont en a publié un certain nombre en 1926, à l'issue des fouilles françaises menées sur le site. Par la suite, les inscriptions sont publiées au fur et à mesure de leur découverte, suivant une numérotation continue, dans les Preliminary Reports (supra n. 45), SEG II et VII ont été reprises toutes les inscriptions découvertes jusqu'au Preliminary Report IV, 1931.

, La formulation des titres est fortement abrégée, ce qui explique l'usage des parenthèses dans la retranscription de l'inscription ; v. Cumont 1926 p. 450 qui parle d'« abréviations insolites

H. Castabala, ;. Savalli-lestrade-p-;-entre-le-ier-siècle-av, .. , and .. J. , Dédicace en l'honneur du roi par Apollas fils d'Apollas, ??? ?????? ??? ???????????? ?????, « eklogiste » et stratège. (55) Toutefois on suppose en général, sur la foi du témoignage arsacide, qu'il existait dans le monde séleucide : voir SAVALLI-LESTRADE 1998 p. 369 n. 290. Cumont 1926 p. 452 évoque une inscription trouvée dans le Fayoum dans laquelle un personnage était dit « ??? ?' ????? ??? ?' », abréviation que M. Perdrizet lui suggérait de lire « ??? ?????? ????? ??? ????????????, OGIS 754, p.201, 1977.

P. Dura, . Fait, and . Qu, en 180, à une époque où Doura est passée sous domination romaine, le titre de « Garde du corps » était toujours usité (il ne reste que la fin du mot, -?????

. Luther, utilise ce fait pour appuyer son idée selon laquelle à cette date, les Parthes étaient encore formellement les maîtres de Doura, 2004.

. Welles, voir note 46) croient reconnaître dans ces noms un « anatolian background » ; dans une dédicace publiée par Rostovtzeff et al. 1939 cependant (n. 871, p. 168) un « Mémarnaios » (sic) est décrit comme portant un « purely Semitic name ». Je ne sais si on peut considérer que « Ménarnaios » et « Mémarnaios » sont le même nom ou pas. (58) Danymos est un nom courant dans les « cercles macédoniens de Doura » selon Welles et al. 1959 p. 58 note 1 ; voir Cumont, Adaios, Lysias et Lysanias sont des noms macédoniens courants et très largement attestés à Doura, p.414, 1926.

, Sur cette charge et la famille qui l'exerce voir Yon, 2004.

. Welles, évoquent l'hypothèse qu'il ait exercé des fonctions pour le roi et soit à la retraite, 1959.

, Selon Arnaud 1986 p. 150, les « juges royaux », fonction inconnue en dehors du monde arsacide

, Sur la fonction de « stratège et épistate » et sur la famille qui la détient, 1926.

. Frye, , 1955.

H. Jacobs-dans, Sur les fonctions et titres attestés pour l'époque arsacide, voir la synthèse de B, Teixidor, pp.97-105, 1986.

V. Sommer, On connaît un grand noble parthe nommé Monaésès à l'époque d'Antoine : en 36, il vient trouver ce dernier pour lui demander de l'aider à renverser Phraate IV (Antoine accepte mais Monaésès, entre-temps, se réconcilie avec l'Arsacide). Voir Plutarque, vol.37, pp.1-2, 2005.

. Welles, rapprochent « batesa » d'un titre parthe « padhesha » qui serait transcrit « vitaxa » en latin (chez Ammien Marcellin) et « bistax » en grec (chez Hésychius) ; batesa serait une transcription fautive, par un scribe grec, de « padhesha, suivant Rostovtzeff-Welles, pp.51-52, 1931.

W. Sundermann, ;. B. Le-terme-de-«-padhesha-»-ni-celui-de-«-batesa, and . Jacobs-dans-hackl, note 344 admettent l'équivalence batesa / bistax / vitaxa. Je ne suis pas en mesure d'émettre un jugement sur la question, Toutefois Sommer, p.99, 2005.

, indiquent que la lecture du grec est à peu près certaine et que le trou qui se trouve au milieu du mot ????????? s'explique par une imperfection du manuscrit. Selon C. B. Welles et M. Rostovtzeff (Rostovtzeff-Welles 1931), ce mot grec pourrait traduire le terme iranien de ?z?t?n, qui, dans les inscriptions sassanides, désigne un rang de noblesse ; v. Encyclopaedia Iranica s.v. ?z?d (ML Chaumont et C. Toumanoff) : à l'époque sassanide, le terme, qui originellement signifie « libre, « Faisant partie des hommes libres », ?[??] ??????[?]???, restitution de Rostovtzeff-Welles 1931 reprise dans Welles et al. 1959, qui, p.112

J. Voir-flavius, Guerre juive 1, 13, 3 (présence d'un régiment d' ????????? dans l'armée de Pacoros en 40 av

, Contra : Arnaud 1986 p. 149, selon lequel le stratège de Doura fut en même temps, à un moment donné, gouverneur de Parapotamie ; Sommer 2005 p. 299 : les fonctions de « stratège et épistate » et celle qu'exerce Manèsos sont en réalité les mêmes, sous deux terminologies différentes ; si c'est un noble parthe proche du pouvoir royal qui en 121 exerce la stratégie à Doura, c'est parce que les Arsacides doivent fermement rétablir leur autorité sur une région bouleversée par la récente guerre de Trajan. (67) Pour les parchemins, voir P. Dura 16, p.297, 2001.

S. Au-contraire, Il n'explicite pas cependant cette affirmation et ne se livre dans son ouvrage à aucun développement sur le titre d'Ami. (75) On peut émettre l'hypothèse, par conséquent, que lorsqu'un contractant, un témoin ou une personne « en présence de laquelle » était passée un contrat ne mentionnait pas de titre, c'est qu'il n'en portait pas. Si on suit ce principe, on en arrive à la conclusion qu'à Doura, sur les 34 personnes ayant exercé l'un de ces rôles dont le nom est lisible, 5 sont des Amis, ce qui correspond à un pourcentage de 15%. Il est toutefois impossible de mesurer, en terme de population, la représentativité de ces parchemins par rapport à la population de la cité. (76) Quelques inscriptions sont plus développées : elles comportent un verbe et donnent des détails tels que l'objet offert au dieu, le fait que la dépense a été effectuée sur les fonds personnels du dédicant, le but dans lequel la dédicace a été faite (pour le salut d'Untel?). Sur les 71 inscriptions retrouvées dans le temple des dieux de Palmyre par exemple, c'est le cas des trois inscriptions suivantes : SEG II 754 (114 ap, p.755, 2005.

, Arnaud suppose que le terme seul de « stratège » apparaît lorsque la mention de la fonction sert à préciser la filiation d'un de ses descendants : « lorsque le titre de stratégos figure seul, la filiation de son porteur est omise », Dans les inscriptions de Doura, les termes de « stratège » et « stratège et épistate » renvoient à la même réalité : voir Arnaud, p.146, 1986.

, Vu la nature religieuse des inscriptions, il n'est ni nécessaire ni usuel de donner sur soi ou sur un autre des informations en dehors de son nom et patronyme80 ; lorsqu'on signale une de ses caractéristiques, c'est qu'on souhaite vraiment le faire. Par conséquent, lorsque Lysias, après avoir rappelé sa fonction de « stratège et épistate », indique qu'il est « Ami du roi » et « Garde du corps », on peut considérer, me semble-t-il, qu'il s'agit là pour lui d'un honneur digne d'être rappelé, et que donc le titre procurait un réel prestige. Je pense en outre, suivant ce principe, que, lorsqu'on ne fait pas état, pour un « stratège et épistate », de son titre d'Ami, c'est qu'il n'en porte pas. La certitude n'est cependant pas possible sur ce point : l'argument n'est pas réversible. Le titre d'Ami, à l'époque parthe, servait donc à qualifier les membres des élites civiques et à marquer la faveur que le Roi des Rois leur marquait, On pourrait certes supposer qu'il s'agit là d'un moyen de différencier un individu d'un homonyme. Seule la fonction de « stratège » ou « stratège et épistate », la plus élevée de la cité, apparaît cependant : on ne trouve nulle mention, dans les inscriptions, de fonctions subalternes qui pourraient pourtant remplir cette fonction de différentiation

. À-doura-et-À-suse-toutefois, ce qui signifie, selon toute probabilité, qu'il était relativement rare. Resterait à savoir ce qu'entraînait, en termes de pouvoir réel, le fait d'être Ami du roi. Était-ce une simple « décoration », qui pour être respectée ne procurait aucune prérogative à ses titulaires ? Les Amis étaient-ils dotés d'une autorité particulière, qui resterait à définir ? Étaient-ils en contact avec le Roi ? Étaient-ils considérés, au sein des cités, comme « l'oeil du Roi », représentaient-ils la volonté royale ? Jouissaient-ils en cette qualité d'un poids particulier, lors des délibérations civiques en particulier ? Ces questions sont centrales. Notre manque de connaissances sur la vie politique des cités grecques de l'empire parthe et, en particulier

, « Euthunikè fille de Séleucos, femme de Séleucos le stratège » ; SEG 2, 811 (ibidem) : « Euboula fille de Séleucos (?), stratège et épistate? » ; SEG II, 818 (33/32 av, ibidem) : « Séleucos fils de Lysias, stratège de la cité, vol.II

S. Vii-;-frye, On doit remarquer que dans 4 cas sur 7, si on compte SEG II 815, ce ne sont pas des dédicants qui indiquent leur fonction, mais des tiers ; ils en tirent peut-être de la gloire pour leur propre compte (SEG II 809 et 811), ou cherchent à flatter quelqu'un d'un rang plus élevé que le leur (SEG VII 361, Rostovtzeff 1934 n. 416). On trouve la liste des inscriptions de Doura mentionnant le titre de « stratège, dédicace de Xénocratès à Zeus Sauveur pour le salut de « Séleucos fils de Lysias petit-fils de Séleucos, stratège et épistate de la cité, vol.6, p.141, 1934.

. Voir-rostovtzeff, 888 : F. E. Brown estime peu probable qu'il s'agisse d'une forme abrégée de l'expression « ??? ?????? ??? ???????????? ????? », car il s'agirait d'un unicum, peu clair pour le lecteur ; rappelant que dans les sources littéraires, l'expression ??? ?????? a fréquemment le sens de « faisant partie de l'aristocratie », il se prononce en faveur de cette interprétation. F. E Brown présente également l'hypothèse selon laquelle Séleucos ferait partie d'un comité du Conseil, pp.214-215, 1939.

, Il faut se souvenir qu'on ne se trouve pas là en présence de ces inscriptions honorifiques typiques du monde égéen qui fournissent sur la carrière du personnage honoré un luxe de détails d'une valeur irremplaçable

. Le-titre-aulique-d'«-ami and . Roi, Cléopâtre III lorsque ceux-ci furent en guerre avec Cléopâtre II ; on le sait car les trois souverains, lorsqu'ils furent réconciliés, offrirent à ce personnage, qui vivait toujours à Cos, une statue sur laquelle ils le présentent comme ??? ?????? ????? et rappellent qu'il a exercé une tutelle sur leurs enfants (?????????????? ??? ?????? ????). Hiérôn pourrait avoir reçu son titre en guise de remerciement, sans avoir quitté sa cité, sans faire partie de la Cour et sans avoir exercé de fonction pour le roi autrement qu'en lui rendant service82. Cet usage toutefois, s'il est avéré, ne supplanta pas l'autre et jusqu'à la fin des royaumes hellénistique, on trouva des Amis dans l'entourage royal ainsi qu'en charge de fonctions exercées au service des rois, qu'elles s'effectuent ou non à la Cour83. Sous les Arsacides au contraire, les Amis sont cantonnés au cadre des notabilités civiques. La persistance du titre d'« Ami » sous cette forme marque donc bien le lien que les Arsacides cherchèrent à maintenir avec les Séleucidesd'autant que, est donc bien pour les Arsacides un héritage séleucide mais ils l'ont profondément renouvelé. Si, à l'époque de Mithridate II

, lorsque les Romains prennent Doura, ce titre disparaît d'ailleurs totalement de la documentation : c'est le signe qu'il avait bien conservé le sens d'un lien avec le roi, devenu obsolète avec la disparition des Arsacides, Après, vol.165

S. Voir, On peut supposer toutefois que, si Hiérôn rendit ce service à Ptolémée VIII, c'est qu'il le connaissait et que les deux personnages avaient eu par le passé des contacts réguliers : il semble exister une certaine intimité entre eux, pp.385-386, 1998.

S. Voir, au début d'un article consacré aux Amis des Attalides : « Les philoi des rois hellénistiques forment un groupe social très singulier, composé d'individus qui, étant entrés au service d'un roi, ont cessé de vivre en citoyens?, Geschichte Mittelasiens im Altertum, p.149, 1970.

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