E. Bignone, . Studi, and . Testo-di-epicuro, SIFC, vol.10, pp.93-99, 1932.

J. M. Rist, Epicurus. An Introduction, issue.1, p.160, 1972.

W. Schmid, , p.236, 1962.

. Cf and V. Lucrèce, Quippe etenim jam turn divom mortalia saecla / egregias animo faciès uigante uidebant

D. Cicéron, « quae enim forma occurrat umquam aut uigilanti aut dormienti ? » ; Philodème, Obbink : dans le douzième livre du ???1 ???????? Epicure dit « que les premiers hommes sont arrivés au concept d'êtres extérieurs incorruptibles, vol.46, pp.225-231

, Obbink déclare qu'il s'agit de visions en rêve, mais rien ne l'exige dans le texte, et surtout pas le renvoi qu'il fait à 290 où on lit ????? (qui doit signifier « dans la veille »), Adv. dogmat. Ill

, IX) 25 et Adv. math. IX, 45, où il n'est question que de rêves. Voir Gabriel Droz-Vincent, La théorie épicurienne du rêve

, En effet, les dieux sont faits (puisqu'ils nous sont perceptibles directement par l'âme) d'une texture fine et rare, tissée d'atomes extrêmement mobiles. Cela implique une extrême émotivité apparemment peu compatible avec l'ataraxie. Mais si l'on y ajoute une extrême vigilance et l'excellence dans l'exercice des vertus, on arrive à ceci, que les dieux n'admettent jamais aucune idée fausse qui puisse compromettre leur ataraxie. Donc, ils atteignent à la plénitude du bonheur, mais une plénitude non moins poreuse que celle que nous avions définie plus haut pour le sage : poreuse à quoi ? à ce qui leur est propre et convenable (fô(.ov, okceiov), autrement dit à leurs semblables (Ô^oich), semble que les divers éléments s'expliqueraient sans trop de peine à partir de notre réflexion sur l'amitié fondatrice du Jardin. Tout tourne autour de deux maîtres-mots : obcsioucrôat. et è{xoio5(i0ai, «rendre propre à soi» et «être rendu semblable à », à quoi il faudrait ajouter l'expression constante d'une réciprocité, pp.165-184, 1993.

. T/jv, ] àAXor{)uXov ?t/zaftau, ?? S' oîxàa r(á)vTa...63. J. Bollack64 estimait que cette phrase s'inscrit dans un contexte très différent de celui de la lettre à Jaap Mansfeld, Aspects of Epicurean Theology, vol.46, pp.172-210, 1993.

P. G. Woodward, Star Gods in Philodemus, PHerc. 152/157, Cronache Ercolanesi 19, pp.29-48, 1989.

D. Philodème, . Iii, and . Fr, Diels : «Attribuant la faculté de ne rien accueillir d'étranger, mais tout ce qui est propre, vol.18, p.103, 1975.

D. Philodème and . Iii, 1-5, Diels. 66. Loi d'isonomie : loi de proportion et d'équilibre, qui veut qu'à une possibilité donnée d'organisation de la matière, réponde avec une fréquence équivalente (c'est-à-dire nécessairement infinie, vol.84

. Cf and . Cicéron, De nátura deorum I, 39, 109 et Lucrèce II, 532 sq. : dans l'infini, les forces de destruction sont équilibrées par les forces génératrices. Voir à ce sujet G. Freymuth, Eine Anwendung von Epikurs Isonomiegesetz, Philologus, vol.98, pp.101-115, 1954.