P. De-parti, En effet à la représentation de « la réalité », Courbet substitue la trivialité, la grossièreté, le grotesque. Il accomplit sa révolution esthétique en mettant tout sens dessus dessous, en chamboulant toute une tradition. Avec cet Enterrement Courbet portait à son comble la transgression de la peinture d'histoire traditionnelle, et plus particulièrement celle née dans les années 1820 et pourtant novatrice à ce moment-là, et pour braver de gaîté de coeur les convenances de l'art et toute les règles de bon sens 26 ? » D'autres critiques mettent, également, l'accent sur le talent de l'artiste, tel Claude Vignon qui remarque que ses peintures antérieures démontraient que Courbet « savait parfaitement peindre et dessiner » ; avec l'Enterrement « toutes les règles sont renversées et méprisées 27 . » C'était bien le « parti pris » de Courbet de bouleverser tous les codes et règles

E. Jean-delécluze, Exposition des artistes vivants. 1850, Paris, 1851, pp.30-32

O. Vignon, , p.80

O. Gautier,