. Ibidem, Lettre de Guérin à Bonaparte, s. d

P. De, frimaire an VIII ; lettre de Chevalier du 6 frimaire an VIII (27 novembre 1799)

S. Ibidem,

. Ibidem, Lettre du 20 frimaire an VIII (11 décembre 1799)

. Ibidem, Lettre du 23 frimaire an VIII (14 décembre 1799)

. Ibidem, Lettre du 19 frimaire an VIII (10 décembre 1799)

S. Ibidem,

S. Ibidem,

. Ibidem, Lettre de frimaire an VIII. Gilles ravisseur, par Thomas d'Hèle, comédie-parade en un acte en prose, p.1783

. Ibidem, , pp.26-33

. Courrier-de-l'égypte, , vol.50

G. Antoine, Tableau de l'Égypte pendant le séjour de l'Armée française, p.218

, Courrier de l'Égypte, n° 52, 19 nivôse an VIII (9 janvier 1800)

. Lettre-de-kléber-À-daure, 25 floréal an VIII (15 mai 1800), in Henri LAURENS (dir, Kléber en Egypte, p.902

B. Général, . Campagnes-d'égypte, and . De-syrie, Mémoires pour servir à l'histoire de Napoléon, Comptoir des Imprimeurs-Unis, 1847, p.360

G. Antoine, , pp.12-14

, Plusieurs nègres des deux sexes de l'intérieur de l'Afrique, attachés au service des Français, qui ont été également admis à ces représentations, ont fourni, par les illusions qu'ils éprouvaient, des scènes dignes d'être recueillies par ceux qui aiment à étudier l'espèce humaine si près de son berceau, « Plusieurs grands personnages du Caire parmi les Turcs, beaucoup de chrétiens et de dames européennes ont assisté à ces différents spectacles

V. Édouard-de and . Du-terrage, Journal et souvenirs sur l'expédition d'Égypte, p.288, 1899.

B. Patrice, , p.179

D. Ainsi and . Son, du 12 pluviôse an IX (1 er février 1801) : « Les amateurs qui composent cette société prennent chaque jour de plus en plus l'habitude du théâtre ; il y en a plusieurs qui paraissent consommées, et tous méritent des éloges ». billets, Arlequin qu'ils prirent pour un des leurs, vol.100, p.67

, delà de quelques moments forts susceptibles de nourrir la mémoire, la légende et la propagande, plus de succès théâtral que de réussite militaire. Mais, dans un cas comme dans l'autre, il s'appuie sur la diversité humaine de l'expédition, sur l'association momentanée des intellectuels et des soldats, sur la capacité à faire se rencontrer la tradition (le théâtre aux armées) et la modernité (un spectacle français au Caire), sur la suppléance des professionnels par des amateurs. Il s'inscrit dans un cadre géographique et politique bouleversé par l'héritage révolutionnaire et les déplacements humains induits par les guerres, les espoirs

, vedettariat, mais aussi à la sociabilité hiérarchisée des sociétés dramatiques, avaient certainement leur mot à dire dans cette aventure. La scène cairote n'a toutefois eu ni le temps, ni la capacité de convaincre les autochtones : elle n'intégra jamais leur culture et leurs savoirfaire, les reléguant au rang des spectateurs de délassements offerts aux troupes d'occupation. En cela aussi, et en partie à cause de cela, l'acculturation désirée, unidimensionnelle, s'avère un échec. Au moins une curiosité est-elle née et, Comédiens, comédiennes, machinistes, éclairagistes, perruquiers, gagistes de tout poil, habitués à la mobilité des tournées et des carrières, à un répertoire qui puise dans plusieurs siècles de littérature comme dans l'histoire immédiate, aux publics les plus divers

P. Bourdin-université-blaise-pascal, Histoire « Espaces & Cultures » ANR THEREPSICORE

, Courrier de l'Égypte, n° 99, 30 nivôse an IX (20 janvier 1801)

F. Ève,