L. Paris, , vol.15, pp.1866-1876

, Je ne pensois pas à demander pour moi ; la poire que je lorgnois n'étoit pas encore mûre. » La citation est faite d'après le t. III, Liège, 1741, p.136

, 158 : « La voilà qui fait la sainte sucrée tout comme une autre, et si cependant la poire étoit bien mûre, 1817.

«. Lui, disoit-il, qui avoit insisté fortement pour qu'on ne sévît point contre moi, parce que la poire étoit mûre, & que si on ne la cueilloit pas, elle alloit tomber d'elle-même. » (t. I, Amsterdam, 1776, p.251

V. Versini, Delon1 (p. 1174, note 2 de la p. 656) et Delon2, p.146

. Chartier, Delon1 (p. 653), Delon2 (p. 141) et Hobson, p.142

«. Si-ce-n'est-pas-là-le-comerage and . Complet, les chiens apres les domestiques, je ne m'y connois pas. » (Correspondance de Madame de Graffigny, sous la direction de, J. A. Dainard, p.260, 1997.

«. , , p.141, 2000.

«. Pardi, , p.109, 2003.

, « Parlons d'autres choses si cela est possible, car si je me laissois aller au comerage je ne finirois point. » (ibid, p.205

V. Fabre, Proust (p. 68), Varloot (p. 81), Chouillet1 (p. 120 et le glossaire), Chouillet2 (p. 62 et le lexique), Bonnet (p. 94), Coulet (p. 133), Versini, p.82

. Chartier, Delon2 (p. 138) et Hobson, p.137

, cet exemple prit universellement, & répandit dans l'Arche un esprit de coquetterie qui dura pendant tout le séjour qu'on y fit

, » (c'est l'auteur qui souligne) et « [...] qu'il est de notre intérêt d'empêcher qu'il [cet ouvrage] ne prenne à un certain point. » (La Morlière, Angola, Texte établi, présenté et annoté par Patrick Wald Lasowski, « Il a été à ma cour étant jeune, et il y avait assez bien pris, pp.682-796

L. Voir and . Versini, Néologie et tours à la mode dans Angola », dans Travaux de Linguistique et de Littérature, t. XIII, vol.2, p.515

«. [. , ] la façon dont j'ai pris dans le monde est, je pense, une assez bonne preuve que je ne me trompe pas

, OEuvres complètes, sous la direction de Jean Sgard, vol.II, p.211, 2010.

«. [. , ] je remarquai, contre mon attente, que cela avait très bien pris dans le monde. » (ibid, p.675

. «-d'aquin and . Premier-médecin-du-roi, créature de Mme de Montespan, n'avait rien perdu de son crédit par l'éloignement final de la maîtresse ; mais il n'avait jamais pu prendre avec Mme de Maintenon, à qui tout ce qui sentait cet autre côté fut toujours plus que suspect, p.107

. Opin, des anc. phil. (Japonais), qui correspond à l'article Japonois, philosophie des de l'Encyclopédie, t. VIII (1765) repris dans DPV, t. VII, p. 458 : « Cette doctrine eut de la peine à prendre à la Chine & au Japon. » 108 9 e lett. hist. nat. = « Je ne pense pas que la méthode de l'illustre Réaumur pour faire éclore les Poulets

, Lettres sur divers sujets d'histoire naturelle, Lettre IX [1768], dans Collection complète des oeuvres de Charles Bonnet, vol.II, p.60

, Cet emploi est absent de la BHVF

. Chartier, Delon2 (p. 124) et Hobson, p.117

, « Ils se font un plaisir, de même que nous d'exprimer avec soin certaines pensées auxquelles les mots de leur langue paroissent se prêter de meilleure grace

». La-langue-grecque, plus riche que les autres, a pu se prêter avec plus de facilité à la nature des sujets, & prendre plus ou moins de force, selon le besoin des matiéres, pp.181-182, 1746.

, mais je répondrai que si notre langue est admirable dans les choses utiles, elle sait aussi se prêter aux choses agréables. » (DPV, t. IV, p. 191) et « La langue française se prêtera facilement à la dissertation théologique, au catéchisme

, Varloot (p. 50), Chouillet1 (p. 84 et le glossaire), Chouillet2 (p. 34 et le lexique), Bonnet (p. 66), Coulet (p. 95), Versini, p.66

C. Couderc, , pp.34-35

. Chartier, Delon1 (p. 608), Delon2 (p. 77) et Hobson, p.53

. Voir-françois-rabelais, ;. L. Gargantua, and . Saulnier, Première édition critique faite sur l'Editio princeps, Texte établi par Ruth Calder Avec introduction, commentaires, tables et glossaire par M. A. Screech, Préface par V, 1970.

. Paris, , p.698, 2004.

L. Chartier, 74) ne porte pas sur la locution, Proust (p. 39), Varloot (p. 55), Bonnet (p. 71), Coulet (p. 101), Versini, p.640

. Cependant, notre auteur utilise le syntagme au moins dans deux autres occasions. Il se lit d

. Ensuite and . De,

, Il est intéressant de noter que Diderot est précédé par François Toussaint, Diderot à Falconet du 6 septembre 1768 : « L'agresseur, l'abbé de Mabli, p.114

R. James, Histoire et aventures de sir Williams Pickle, deuxième partie (Amsterdam et Leipzig, Arkstee et Merkus, 1753) : « On eût dit une file de ce qu, On lit en effet la phrase suivante dans sa traduction de Tobias Smollett, p.143

, Le cas de l'adjectif rebordé au sens de « dont le rebord est net

, note 5 de la p. 588) se sont contentés d'une simple traduction, le lexique de Fabre fait remarquer que « Littré est le premier qui donne cet adjectif, et seulement en l'appliquant à l'oreille. » (p. 280), Cet emploi a attiré l'attention de la plupart des éditeurs 125 . Alors que Desné (p. 93) et Delon1, p.48

D. Ne, nous sont utiles : celui-là, s.v. rebordé enregistre ce sens avec deux exemples de Colette (1929 et 1941) mais ne dit rien sur son histoire dans son article reborder

, Pourrait-on améliorer ces dictionnaires ? On remarquera d'abord que l'on trouve le même emploi de l'adjectif dans le Salon de 1767 de Diderot

Q. Fabre, , p.82

S. Proust, Varloot, Chouillet1 (p. 63 et le glossaire), Chouillet2 (p. 19 et le lexique), Bonnet (p. 51), Versini (p. 626 et le lexique) et Hobson (p. 13) qui ne disent rien, p.35

, Quant au FEW, t. XVII, p. 76a, s.v. *skakkja, il recueille la locution verbale être monté sur des échasses et lui donne d'une part le sens de « se rengorger, faire l'important » (depuis Trévoux 1732) et de l'autre celui de « parler avec emphase » (depuis Furetière 1690). Il me semble qu'il vaut mieux réunir les deus sens et que l'emploi de l'adjectif guindé renforce l'idée d'affectation contenue dans l'expression monté sur des échasses. Bien qu'ignorée par les dictionnaires, notre locution se retrouve dans plusieurs textes antérieurs, variante de la locution monté sur des échasses, sur laquelle le TLF, s.v. échasse nous apprend que le sens de « qui parle avec emphase » est attesté depuis Furetière, 1690.

. Merian, Parallèle de deux principes de psychologie », dans Histoire de l'Académie royale des Sciences et Belles Lettres, année MDCCLVII, p.1759

L. Laïs-philosophe, Mémoires de Madame de***, et ses discours à Mr. de Voltaire sur son impiété, sa mauvaise conduite, & sa folie, vol.129, 1760.

. Roussel, Épitre à Madame Lefebvre et à ses trois belles filles, de la Comédie italienne, p.1776

, Un autre emploi curieusement négligé par les éditeurs et les dictionnaires est l'adjectif substantivé simple signifiant « sens propre

. Voici-le-premier-passage, Entendons-nous ; c'est qu'il y a baiser le cul au simple

G. Demandez-au, Bergier qui baise le cul de madame de La Marque au simple et au figuré ; ma foi, le simple et le figuré me déplairaient également là, p.92

, Si aucun des éditeurs examinés ne l'a commenté 131 , c'est sans doute parce que le sens leur paraissait si évident, p.121

, On voit des hommes qui se piquent d'une excessive délicatesse en fait d'honneur, qui ne connoissent pas le veritable honneur ; qui toujours guindés sur des échasses, toujours hérissés, prêts à s'offenser de tout & contre tout le monde, donnent une fausse interpretation à tout procédé

, que celui là [= « l'humble et modeste philosophie de Locke et de ses spectateurs »] le contemple à son tour ? Il le voit comme un Pygmée, guindé sur des échasses, & se promenant dans les espaces imaginaires : ce systeme si sublime & si céleste, il le traitera sans façon de fable & de Roman philosophique, « Mais de quel oeil pense-t-il, p.380

, « D'ailleurs on y reconnoît votre style séduisant, mais guindé sur des échasses, p.68

, Rimeur guindé sur des échasses, / je pourrois, ami du Phébus, / dans vous quatre peindre Vénus / & le charmant trio des Graces, / souvent cajolé par Momus

V. Fabre, et 46 ainsi que le lexique), Desné (p. 107 et 132), Proust (p. 30 et 57), Varloot (p. 48 et 71), Chouillet1 (p. 81 et 110 ainsi que le glossaire), vol.2, p.64

. Avait-rien-À-expliquer, . Pourtant, S. V. Tlf, and T. Few, XI, p. 634b, s.v. simplex ainsi qu'aux principaux dictionnaires du XVII e et du XVIII e siècles. C'est un oubli étrange, car cet emploi n'est pas si rare. Diderot s'en sert dans plusieurs de ses articles publiés dans l'Encyclopédie ; voir borne, t. II, 1751, p, p.75

«. Il and . Fort-bien,

, 113 ; c'est l'auteur qui souligne

. Ainsi,

, Dans ces quelques remarques ponctuelles, j'espère avoir montré qu'en relisant le texte de Diderot, on trouve encore des mots et des expressions dont l'importance historique n'était pas suffisamment soulignée et qu'en même temps, une recherche tant soit

, et 85), Coulet (p. 92 et 121), Versini (p. 635 et 652 ainsi que le lexique), Chartier (p. 65 et 93), Delon1 (p. 598 et 616), Delon2 (p. 64 et 89) et Hobson, p.34

«. Borne and S. M. , se dit en général de tout signe de limites, & cette définition convient

, & de l'espace renfermé par des murs, & percé d'une porte & de fenêtres qui forment la chambre prise au simple, on l'a appliqué à tout autre espace qui a dans les Arts quelque analogie, soit avec les usages de cette partie d'un appartement, soit avec sa figure. » (c'est l'auteur qui souligne)