, conçue comme une morale repliée sur le calcul de l'intérêt personnel. C'est pourquoi elle est préférable à l'intervention du droit. Sans embrasser l'idéal utilitariste, certains auteurs estiment que la déontologie est « une morale sanctionnée par le droit

V. Beigner, ;. Déontologie, . Quadrige, /. Lamy, and . Puf, Mais cela n'est pas toujours le cas, Dictionnaire de la culture juridique, vol.1, p.361, 2003.

, le positivisme n'identifie le juridique ni à un droit étatique (positivisme étatique), ni à un droit formé de normes juridiques valables (positivisme normativiste), ni à un droit auquel il faudrait par définition obéir (positivisme idéologique). Le terrain est alors dégagé pour reconnaître pleinement la diversité des sources positives de la déontologie, Réduire ces trois conceptions à un positivisme étatique, un sociologisme pluraliste et un iusnaturalisme moral serait abusif. La palette des possibles est plus riche, 2004.