, Ce nombre de "sans réponse" est inquiétant car il indique qu'un tiers des étudiant/es n'a aucune idée de ses capacités à s'exprimer à l'oral, ce qui indiquerait qu'il/elle n'a jamais essayé, n'en a pas eu l'occasion, ni en classe ni au dehors. Cependant, beaucoup plus d'étudiant/es répondent à la question suivante et donnent des raisons pour la difficulté à s'exprimer à l'oral sans avoir admis ne pas arriver à s'exprimer ce qui prouve que le malaise est plus profond qu'il n'y paraît. Ce n'est pas la timidité qui paralyse mis la peur de faire des fautes. L'enseignement serait-il répressif? Le manque d'entraînement, qui en France n'est jamais cité, Un tiers seulement des répondant/es oranais/es arrive à s'exprimer à l'oral. Le même pourcentage ne répond pas à cette question

, Un tiers fait de l'anglais sans savoir pourquoi ou peut-être manque de perspective de trouver un travail en adéquation avec ces études. Les étudiant/es pressentent que le besoin d'anglais oral sera prépondérant lorsqu'ils/elles rentreront dans la vie active. Mais les activités de lecture dans une situation professionnelle sont quasiment considérées comme sans importance en Algérie, Apprendre l'anglais pour le travail est le besoin majoritaire dans les deux pays mais il y a 38% de "sans réponse" en Algérie, un chiffre énorme