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, On peut trouver cette requête sous la forme « implorer le souffle » (db? ??w) (D. LORTON, The Juridical Terminology of International Relations in Egyptian Texts through Dyn, XVIII, p.147, 1974.

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S. Morenz and P. La-religion-Égyptienne, du démiurge (création des quatre vents, du grand flot, de l'égalité entre les hommes et du souvenir de l'Occident) sont décrites avec le verbe jrj. En revanche, la création des dieux et des hommes qui suit cet épisode est associée au verbe s?pr (CT VII, Spell 1130 des CT, partie du Livre des Deux Chemins, les « quatre bonnes actions, pp.83-87, 1962.

, Dénomination d'un ensemble consacré à ce dieu, regroupant les Spells 75-83 des Textes des Sarcophages (P. JÜRGENS, « Textkritische und überlieferungsgeschichtliche Untersuchungen zu den Sargtexten », GM 105, p.31, 1988.

S. Bickel and . Un-hymne-À-la-vie, des Textes des Sarcophages », Hommages à Jean Leclant, vol.80, pp.110-116, 1975.

, CT II, 33c ; 35a ; 36f ; 37a ; 41g ; 43b ; 43g ; 44g. Cette fonction de Chou consistant à « maintenir la vie » (s?b ?n?) est déjà évoquée dans les Textes des Pyramides, Pyr, vol.660, 1872.

S. Bickel, Analyse également développée par L. Postel (op. cit, vol.256, pp.177-178

J. , Assmann opère un distinguo entre « life god » et « creator god » (Egyptian Solar Religion in the New Kingdom. Re, Amun and the Crisis of Polytheism, StudEgypt, p.178, 1995.

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, CT II 33 c-d, Spell 80

L. Atoum and . Créateur, est ici évoqué par le motif de l'oeil (S. BICKEL, op. cit, pp.91-100

. Cf and . Supra, , p.33

. Texte-du-temple-d'esna, :. M. Dans, and «. Gabolde, Un bon créateur crée (aussi) avec ses pieds », actes du colloque Séhel entre Égypte et Nubie, OrMons, vol.14, p.93, 2004.

, Ces fonctions sont souvent assumées par le seul dieu créateur, mais la chronologie des actions associées est alors le plus souvent rappelée comme dans l'expression apparue à l'époque amarnienne « (Aton) fait vivre tout ce qu'il a créé

, Die Geburt des Gottkönigs : Studien zur Überlieferung eines altägyptischen Mythos, vol.10, pp.6-21, 1964.

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T. G. James, Enfin, au dos d'une stèle abydénienne de la fin du Moyen Empire, conservée à Philadelphie (n° E 16012), est mentionné le titre de ??w s?n?(w), unicum rendant délicate son interprétation, vol.23, 1937.

, Une des dernières enregistrées pourrait se trouver sur une statuette en terre cuite enfermée dans un petit sarcophage sur lequel est inscrit s?n?(w) n(y) ?w.t-nbw m pr-Wsjr, Une des premières occurrences est probablement celle de l'inscription rupestre des ?ry s?n?(w) Men et Bak, actifs sous les règnes d'Amenhotep III et Amenhotep IV (A. VARILLE, « Notes complémentaires sur l'inscription dorsale du colosse méridional de Memnon, vol.34, p.99, 1934.

, Sur la question : J.A. WILSON, « The Artist of the Egyptian Old Kingdom, pp.233-238, 1947.

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R. Drenkhahn, Die Handwerker und ihre Tätigkeiten im Alten Ägypten, ÄA 31, 1976, notamment chap

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. Il-n'existe-pas-d'entrée-qstyw-ou-gnwtyw-dans-le-wb, J. A. Néanmoins, and . Wilson, Les hésitations de lecture du mot proviennent de sa graphie ancienne, redoublant le signe gn ou qs de la « pointe de harpon en os, Gardiner T 19), pp.290-295, 1925.

J. A. Wilson, , pp.235-236

R. Drenkhahn, , pp.20-21

, Wb II, vol.188, p.10

V. Wb, , vol.81, pp.3-9

I. Wb, . Eaton-krauss-;-r, . Anthes, . Werkverfahren, and . Bildhauer, Dans le cadre des ateliers de sculpture, certains auteurs ont perçu cet « artisan » comme un subalterne non-spécialisé, The representations of statuary in private tombs of the Old Kingdom, vol.83, pp.103-104, 1941.

.. R. Sur-ce-lexique and . Drenkhahn, , pp.60-65

. Ainsi, Cet argument ne tient pas lorsque l'on observe l'atelier du chefsculpteur Iouty représenté dans la tombe Houya à Amarna et on l'on voit de jeunes sculpteurs s?n?(w) effectuant des tâches sur des objets annexes, Gardiner suppose de voir dans le sculpteur s?n?(w) un spécialiste du portrait et de la ronde-bosse, pp.20-21, 1947.

N. Comme-le-montrent, A. Kanawati, and . Woods, , pp.20-27

A. Zivie and L. De-thoutmès, Directeur des peintres dans la Place de Maât, Les Tombes du Bubasteion à Saqqâra II, pp.130-133, 2013.

N. De-g and . Davies,

W. S. Smith, Lire les remarques plus nuancées d'A. Zivie à propos de cet exemple, pp.131-132

N. Kanawati and A. Woods, , pp.24-43

. Cf and . Infra, On notera que dans la tradition grecque, il existe un terme zôgraphia qui désigne « l'art de peindre le vivant ». Le zôgraphos est le peintre ainsi spécialisé, vol.10, p.348, 2007.

A. Zivie,

, « Der Mensch als "BildGottes" in Ägypten » in Die Gottebenbildlichkeit des Menschen, pp.134-137, 1957.

I. V. Wb, Même si, à l'origine, le sens du syntagme ?sp ?n? serait à comprendre comme « celui qui reçoit des offrandes », il faut le mettre en relation avec la séquence « une statue destinée à recevoir la vie, Some Iconographic and Literary Comparisons », Fragen an die altägyptische Literatur, vol.536, p.157, 1963.

, 40) 176 n?m(-w) jb n(y) Mr~n-Pt? rn-f ?pr(-w) m w?m-?n? msyw-k sw m nbw ?r ?.wt m??(w.t) (Les dieux de Chétayt du seigneur de la Douat disent) « Mérenptah (Séthy I er ) est joyeux, Types of Cult-Image Carried in Divine Barques and the Logistics of Performing Temple Ritual in the New Kingdom », ZÄS 134, pp.23-24, 2007.

, En outre, dans un grand nombre de cas, elle constitue l'étape préalable à la mise en oeuvre du Rituel de l'Ouverture de la Bouche 177 , soit le processus conduisant à son animation. Cette articulation entre le façonnage de la statue et son animation 178 est explicitée dès les origines de ce rituel dans la syntaxe de son intitulé

, Inscrit à plusieurs reprises dans le Papyrus Harris I, notamment dans le tour s?n?(w) m jr, litt. « rendu vivant en faire » et généralement traduit, « sculpté à l'image de la vie, vol.109, p.227, 1994.

I. I. Wb, 12 et 15. J.A. WILSON, « The Artist of the Egyptian Old Kingdom, vol.138, p.235, 1947.

. Cl, . Traunecker, and . Le, Cette acception pourrait déjà être attestée sur un fragment d'étiquette de l'Horus Âha, conservé à l'Ashmolean Museum (M. BEGON, « Brèves communications, vol.11, pp.170-172, 1989.

. Cl and . Traunecker, , p.106

, Inscription dédicatoire Séthy I er en Abydos, l. 67 (KRI II, vol.330, pp.5-6

S. Hassan, Au cours du Nouvel Empire, le rituel n'est plus uniquement opéré sur les statues mais directement sur la momie ainsi que sur l'ensemble des objets et monuments sacrés, tels que les sarcophages, les barques rituelles, les temples, Le plus ancienne mention du rituel dans un contexte privé semble se situer dans la tombe de Metchen à Gîza, vol.3, pp.27-28, 1932.

J. Goyon and . Rituels-funéraires-de-l'ancienne-Égypte, PAHL, « The Ritual of Opening the Mouth : arguments for an actual body ritual from the viewpoint of mummy research, Science in Egyptology, vol.4, pp.211-217, 1972.

, 17) mais sans en donner le texte égyptien, comme le regrette Fr. Daumas (« Quelques textes de l'atelier des orfèvres dans le temple de Dendara, Les Annales des prêtres de Karnak (XXI-XXIII e dynasties) et autres textes contemporains relatifs à l'initiation des prêtres d'Amon, vol.104, p.192, 1962.

, Sur la Demeure de l'or : Fr. DAUMAS, « La valeur de l'or dans la pensée égyptienne, vol.149, pp.9-15, 1956.

. Urk, Otto mentionne un autre exemple provenant du temple solaire de Nyouserrê, op. cit, vol.114, issue.3, pp.15-16

E. Otto, , pp.1-7

. Cl, ;. Traunecker, . De-g, and . Davies, The Temple of Hibis in El Kargeh Oasis III. The Decoration, MMAEE, 1935.

E. Cruz-uribe and «. , Opening the Mouth as Temple Ritual », Gold of Praise. Studies on Ancient Egypt in Honor of Edward F. Wente, SAOC 58, pp.69-73, 1999.

. Fr, . Daumas, . Quelques, and . Dans-le-temple-de-dendara, BORGHOUTS, « A Deputy of the Gang knows his Business, vol.104, p.97, 1980.

, Die Vision von der Statue im Stein, p.33, 1998.

P. Dans-le, il est question de transporter une statue r?~n-f en pierre de bekhen depuis les carrières du Ouâdi Hammamat vers le Ramesseum. Cet exemple montre le caractère prospectif de cette qualité de la statue, comme un état virtuel contenu dans le bloc dès son extraction (G. GOYON, « Le papyrus de Turin dit "des mines d'or, Cette notion de virtualité à révéler dans l'environnement naturel peut également alimenter la phraséologie royale, vol.49, pp.111-112, 1949.

E. Schott and . Das, Tombe datée du règne de Ramsès II, vol.29, pp.127-132, 1978.

, Sa localisation fait l'objet d'un débat. E. Schott associe ce bâtiment aux bâtiments annexes, situés au sud du Ramesseum (loc. cit.) alors que Cl. Traunecker propose une localisation au nord du temple d'Amon à Karnak, p.107

G. Lefebvre, Histoire des Grands prêtres d'Amon de Karnak, p.132, 1929.

J. Kruchten, Précédemment, cette « initiation » à certains secrets est proclamée par le « chef des artisans, scribe et sculpteur, Un sculpteur des images divines ramesside, pp.269-276, 1961.

. Stèle-de-hatiay and V. 1. Leiden, , vol.27, pp.13-15

J. Kruchten, Les Annales des prêtres de Karnak (XXI-XXIII e dynasties) et autres textes contemporains relatifs à l'initiation des prêtres d'Amon, vol.32, pp.116-118, 1989.

. Fr and . Daumas, Quelques textes de l'atelier des orfèvres dans le temple de Dendara, vol.104, pp.112-113, 1980.

. Cl and . Traunecker, , p.108

, Hypothèse formulée par P. Kaplony dans « Die Handwerker als Kulturträger Altägyptens, vol.20, p.108, 1966.

A. Zivie, . Chr, and . Barbotin, Sculpture et sculpteurs », cat. Les artistes de pharaon, RMN, p.210, 2002.

D. Laboury and «. , , p.31, 2013.

A. R. Schulman, . The-iconographic, and . Theme, il n'est pas surprenant que le « sculpteur » s?n?(w) n'y apparaisse pas, En outre, on notera qu'aucun sculpteur n'est évoqué ou figuré dans les stèles du Nouvel Empire consacrées à ce rituel, vol.21, pp.169-196, 1984.

J. Goyon, , pp.91-92

, Il s'agit pour l'essentiel des scènes 12, op. cit, vol.13, pp.31-39

H. Fischer-elfert, du prêtre-sem des premières scènes du Rituel comme une sorte de méditation devant le bloc encore non dégrossi de la statue (Die Vision von der Statue im Stein, The Tomb of Rekh-mi-Rê at Thebes, MMAEE, pp.106-107, 1973.

H. Wild, L. Tombeau-de-ti, and I. I. , Enfin, la « mise au monde » de la statue au cours de cette première phase la plus archaïque du Rituel peut se comprendre par la représentation, parmi les trois artisans présents, de celui responsable de la mise en couleur, soit de l'ultime étape de la fabrication, Ce procédé euphémique consistant occulter les différentes phases de façonnage de la statue s'observe déjà à l'Ancien Empire, vol.55, p.69, 1953.

, « sculpteur, il est difficile de trancher entre les acceptions « celui qui fait vivre » et « celui qui fait revivre ». En effet, cet artisan, en qualité d'auxiliaire, est à la fois « celui qui fait vivre » la statue, par le caractère « vivant » des formes reproduites et

. Cf and . Supra,

, Cette analogie entre la statue et la « vie » a été rappelée plus haut, par les expressions ?nty ?n?, « réplique vivante », ?sp ?n?, « l'image vivante » et twt ?n?, « statue vivante » (cf. supra, pp.170-172

R. Tefnin, . Image, and . Histoire, Réflexions sur l'usage documentaire de l'image égyptienne, pp.218-244, 1979.

E. Galbois and . Le, les souverains hellénistiques entre texte et image », Pallas 93, 2013.

I. Wb, Ce nom est parfois intégré dans l'expression ?n? n m?? ?r, « miroir pour voir le visage » (C. HUSSON, L'offrande du miroir dans les temples égyptiens de l'époque gréco-romaine, vol.204, pp.35-37, 1977.

. Chr and . Lilyquist, Ancient Egyptian Mirrors from the Earliest Times through the Middle Kingdom, MÄS, vol.27, pp.65-71, 1979.

C. Husson, , p.38

J. A. Wilson, « The Artist of the Egyptian Old Kingdom, p.235, 1947.

. Chr, Barbotin rappelle à cet égard qu'un des noms de la statue, twt, dérive d'un verbe signifiant « être identique » mais également « rassembler, en parlant des différents éléments qui forment l'identité du modèle (Les statues égyptiennes du Nouvel Empire, p.16, 2007.

R. Tefnin, , p.244

, Concernant le débat sur l'opposition réalisme/idéalisation du portrait égyptien : Cl. VANDERSLEYEN, « Objectivité des portraits égyptiens, vol.73, pp.5-27, 1975.

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D. Laboury, L. De-thoutmosis, and I. , , vol.5, p.653, 1947.

S. Statue-de, , vol.518

, 43) 214 mr~n sw ?r jr-k n wp~n-f jr-k s?n?~n-f ?w (Osiris Téti) Horus s'est attaché à toi et il ne saurait être séparé de toi car il t

, Mis en relation avec le premier, le second niveau articulé dans ce discours peut sembler paradoxal. En effet, quel que soit l'ordre de puissance dont l'agent du « faire vivre » s?n? fait état dans ses agissements, il s'apparente le plus souvent à un pouvoir intermédiaire

«. Le and . Causateur, est l'argument supplémentaire qui assume le rôle syntaxique de sujet dans la construction dérivée du causatif (D. CREISSELS, Syntaxe générale : une introduction typologique 2, pp.59-60, 2006.

G. Posener and . De-la-divinité-du-pharaon, CSA, vol.15, pp.37-45, 1960.

M. Bonheme, A. Forgeau, and P. , , pp.126-127, 1988.

, Sur la question de la soumission du roi aux dieux : G. POSENER, op. cit, pp.23-35

. Pyr, , vol.370, p.646

, Comme cela a été précisé plus haut (cf. supra, n. 8), dans le contexte des rituels funéraires, cette autorité revient à l'origine principalement au fils aîné, agissant symboliquement comme « Horus qui protège son père

. Néanmoins, assez rapidement dans l'histoire, cette prérogative va s'étendre à tout membre de la constellation des proches du défunt ou encore de ses subalternes

. Enfin, expression qui dénomme un rituel funéraire ayant traversé une grande partie de l'histoire pharaonique. Néanmoins, la pérennité de cette liturgie est si prégnante, si l'on s'en tient à la fréquence de ses attestations dans les sources funéraires, que l'examen de l'expression lexicale qui l'intitule nécessite un examen distinct et approfondi qu'il serait sans doute, mener plus complétement cette étude sur le terme s?n?, il resterait à aborder la formule s?n? rn, « faire revivre le nom (de X), vol.217

, Un signe de cette analogie entre s?n? et les manifestations du pouvoir est peut-être donné dans plusieurs versions d'une séquence du Spell 4 des Textes des Sarcophages (CT I, 12 e -13a), où la formule s?n?-k m ?fty, vol.359

, Wb IV, vol.47, pp.1-7

S. Grallert and . Bauen--stiften--weihen, Ägyptische Bau-und Restaurierungsinschriften von den Anfängen bis zur 30. Dynastie, ADAIK 18/1, pp.93-108, 2001.

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