, Parmi ces sourates on citera la troisième (« La famille de ?Imr?n, pp.438-439, 1981.

, la dix-huitième (« La caverne ») ; la trente-troisième (« Les groupes

, 192 : à savoir, verset 1 : mubayyana (chez Ibn Ka??r et Ab? Bakr), au lieu de mubayyina, nud?ilhu ?ann?tin (chez N?fi? et Ibn ??mir) au lieu de yud?ilhu, vol.154, p.84, 1406.

, L'encyclopédie des lectures coraniques dont l'auteur vise l'exhaustivité au vu du nombre de références auxquelles elle recourt, s'est limitée aux indications que nous avons tirées des ouvrages précités, voir ?Abd al-La??f al-?a??b, Mu??am al-qir???t, Damas, D?r Sa?d al-D?n, pp.501-506, 1422.

, Elle serait décalée d'un siècle de la date de mort exacte selon les études récentes, voir l'introduction d'Etan Kohlberg in A?mad b. Mu?ammad al-Sayy?r?, Revelation and Falsification, pp.31-32

. Ibid, , pp.3-201

. Voir-le-compte-rendu-détaillé-de-lahcen and . Daaïf, , vol.26, pp.21-26, 2010.

. Ibid, arabe) : la première tradition a pour enseignement d'intégrer l'épithète de ras?l (envoyé) évoqué dans le verset 11, au nombre des noms du Prophète, la seconde, qui est d'ordre juridique, rappelle que la répudiation (al-?al?q) est considérée, comme chez les sunnites, pp.582-583

, prononcées à son encontre par Ibn Ma??n et Ibn ?anbal. Ce dernier va plus loin en rejetant toutes ses transmissions de hadiths. Plus encore, les critiques, tel Ibn ?Uyayna (m. 198/814) le taxent de mensonge, Sa fiabilité en matière de transmission de hadiths est unanimement contestée par les critiques traditionnistes tant contemporains que classiques, cf. entre autres al-?ahab?, vol.62, pp.1-18, 1401.

, Grâce à l'obéissance du père aux recommandations du messager de Dieu, poursuit le récit, le fils parvint à s'échapper des mains des infidèles et à rejoindre sa famille à la tête d'un troupeau de milliers de bêtes. Suite à cette heureuse issue, conclut le récit, le Prophète reçut les versets 3 et 441 : « Quiconque craint Dieu, Il lui ménage une issue favorable (2) et Il lui accorde Ses dons par des voies insoupçonnées ». Certes, l'on n'aura pas fait le tour complet des sciences coraniques si l'on ne tient pas compte des ouvrages traitant de la science de l'abrogeant et de l'abrogé (al-n?si? wa-l-mans??). Néanmoins, étant limité par le nombre des versets de la sourate 65, sur les circonstances supposées avoir été à l'origine de la descente de ce verset : le compagnon du Prophète, ?Awf b. M?lik al-A??a??40 (m. 73/692-693)

, 501 ; voir aussi Claude Gilliot, « Muq?til, grand exégète, traditionniste et théologien maudit », Journal Asiatique, vol.279, p.40, 1907.

M. B. Sulaym?n, D?r alkutub al-?ilmiyya, 1424/2003, iii, p. 372 ; voir aussi al-?abar?, ??mi? al-bay?n ?an ta? ?w?l ?y al-Qur??n, xxiii, Tafs?r Muq?til b. Sulaym?n, éd. A?mad Far?d, pp.44-45

, ?a?ar?t al-?ahab, éd. ?Abd al-Q?dir et Mu?ammad al-Arn????, Beyrouth-Damas, D?r Ibn Ka??r, 1406/1986, i, p. 306. Dans d'autres récits rapportés par al-?abar?, il est question d'un homme non identifié, de la tribu de A??a?, voir ibid, , vol.432, p.268, 1411.

. Al-w??id?, Ce livre est la source principale de la plupart des ouvrages postérieurs sur les circonstances de la révélation, dont celui de ?al?l al-D?n al-Suy??? qui rapporte une version abrégée de ce récit qu'il clôt par la sentence critique d'al-?ahab? qui taxe al-W??id? d'extrapolation, cf. id, vol.432, p.268

, Le seul verset désigné comme abrogeant est le verset 4 qui, du point de vue de certaines compagnons, abrogerait le délai d'attente des femmes enceintes stipulée dans Cor 2, 240 (cf. ibid., p. 249), ce qui se révèle être une abrogation de statut qui n'affecte pas le support textuel, d'où la présence de ces deux versets dans le Coran actuel. La sourate 65 est absente des sourates abordées dans le plus ancien ouvrage sur la science de l'abrogation (?ilm al-n?si? wa-l-mans??), à savoir celui attribué au traditionniste Ibn ?ih?b al-Zuhr?, Kit?b al-N?si? wa-l-mans?? f? l-Qur??n al-kar?m, éd. Mu??af? Ma?m?d al-Azhar?, Le Caire-Riyad, D?r Ibn Qayyim-Ibn ?Aff?n, 1429/2008, recension selon toute vraisemblance d' Ab? ?Abd al-Ra?m?n al-Sulam? (m. 412/1021). Ayant divisé son ouvrage en deux catégories de sourates, d'un coté, celles renfermant les versets abrogeants, de l'autre, celles renfermant les versets abrogés, Ibn ?azm ne fait figurer la sourate 65 dans aucune de ces deux catégories dans son Kit?b al, Ab? ?a?far al-Na???s (m. 338/950), pour une autre raison, cite le même personnage que nous avons mentionné plus haut, ?Awf b, pp.10-12, 1357.

F. Déroche, Parmi les variantes orthographiques, on signalera le verbe ????? ???? au féminin pluriel avec un alif entre le y?? et la hamza au lieu de ?????? , sans alif dans le Coran actuel. Il est à noter néanmoins que cette forme orthographique de ????? ???? n'est rapportée dans aucun ouvrage de qir???t, si l'on en croit al-?a??b, Mu??am al-qir???t, ix, La transmission écrite du Coran dans les débuts de l'islam. Le codex Parisino-petropolitanus, vol.62, pp.1-18, 2009.

B. Sadeghi-et-mohsen and . Goudarzi, ?an??? 1 and the Origins of the Qur??n, vol.87, pp.41-115, 2010.

, Pour plus de développements voir ibid, aussi Behnam Sadeghi et Uwe Bergmann, « The Codex of the Compagnon of the Prophet and the Qur??n of the Prophet », vol.57, pp.348-353, 2010.

, Sur ces deux niveaux du texte du Coran de ?an??? on se reportera aux explications de Asma Hilali, vol.21, pp.443-448, 2010.

G. Sadeghi and «. ?an??, 1 and the Origins of the Qur'?n, pp.417-436

, D?r al-Ma?????t, 01-27.1. D'après A. Hilali, dans la mesure où il ne renferme qu'à peine le quart du texte coranique, ce manuscrit de ?an??? ne saurait, en aucun cas, constituer un codex, et l'on ne devrait pas émettre non plus l'hypothèse d'un Coran entier qui serait à l

P. Cam, Michaélidès A 560 La citation coranique est encadrée