« André Gide et les nourritures musicales. Recension de Greta Komur-Thilloy et Pierre Thilloy (dir.), André Gide ou l’art de la fugue, Paris, Classiques Garnier, 2017 »
Résumé
Gide had a sensual affection for musical works that did not prevent him from savouring their rigour and abstraction. He loved the less speculative Chopin as much as he loved The Art of Fugue, and if he asked music to teach him how to construct a text, he also counted on it to teach him a kind of immediate clairvoyance.
Gide voue aux œuvres de la musique une affection sensuelle qui ne l’empêche pas d’en savourer la rigueur et l’abstraction. Il aime le Chopin le moins spéculatif autant que L’Art de la fugue, et s’il demande à la musique de lui apprendre à construire un texte, il compte aussi sur elle pour lui enseigner une manière de clairvoyance immédiate.