, Il n'est pas évident pour le lecteur de trancher entre ce qui est une addition de l'un (A) ou une omission des autres (B et KBR IV 14). A la p. lix le constat pour AN 423-27 et AN 433-34 (omission de titres dans B) aurait dû être expliqué à la lumière d'autres manuscrits, Certaines confrontations sont particulièrement intéressantes. En AN 279-80, le processus de disparition du renvoi après l'exemplum 279 et du résumé du 280 n'est pas entièrement achevé dans le ms

, De même pour le titre en AN 424 : Iurare falsum super reliquias sanctorum est periculosum. 12 Nos remarques ci-dessus, issues de la comparaison entre le ms. de Bruxelles KBR IV 14 et A (AN 463, 1) vont dans le même sens. Dire que ces passages indiqueraient une « campagne de révision, KBR IV 14 le titre Iuramento alios compellere non est bonum qui varie nettement du texte de A édité et que B omet

, Aux p. lxi-lxii, le constat sur l'indépendance de A à l'égard du rameau CDE est montré « par les passages où il (A) présente un texte moins lacunaire ? et plus cohérent par rapport à la structure générale » ; il doit être relativisé comme il l'a été plus haut à propos de la comparaison entre le ms. de Bruxelles et le manuscrit B : on ne peut déterminer avec assurance ce qui constitue une addition, À ces premières constatations partielles sur la base des variantes fournies dans l'introduction, ajoutons quelques données sur le rapport entre le ms. de Bruxelles et le rameau CDE. Tout d'abord il faut préciser que l'édition ne donne aucune possibilité au lecteur d'évaluer B par rapport au rameau CDE

, On pourrait d'ailleurs voir ce phénomène ailleurs que dans le bloc d'exempla précités : en AN 421, le ms. de Bruxelles a Iudicio ultimo reddetur cuilibet secundum opera sua