B. Gachet and . La, et 307 526 selon R. Rousseau, La population?, op. cit, En 1776 : 348 056 selon B. Gachet, Au coeur du XVI e siècle en Savoie : la gabelle du sel de 1561, Chambéry, Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, p.32, 2011.

A. Becchia, É. Atlas-historique, and C. Statistique-de-la-savoie-au-xviii-e-siècle, 1740-1742 et 1747 sont durement ressenties en Savoie et dans le sud-est du royaume de France, marquées notamment par de violentes épidémies (Scarlett BeauvaletBoutouyrie, La démographie de l' époque moderne, pp.110-114, 1999.

C. Abry, R. Devos, and R. Gabion, 280 estime la part des mineurs de 5 ans de 10 à 12% de la population totale. L'Atlas historique?, op. cit., p. 54 indique 15% pour 1561, 10% pour 1776. On peut encore mentionner, pour 1758, La Pratique des documents anciens, vol.12, p.47

R. Rousseau, 73 : par mendiants et misérables, « il faut entendre ceux qui n'ont ni 250 florins vaillant ni un métier qui les

C. Rebord, Matériaux pour service à la monographie des paroisses, Annecy, impr. commerciale, 1921.

S. Savoy, 15) estime la population du Genevois (dans des limites assez proches de celles de notre périmètre) à environ 12 000 feux

D. Dequier, M. Floret, and J. Garbolino, La Maurienne en 1730 d'après le cadastre sarde, p.240, 2004.

À. Bessans, F. Tracq, L. Gros, and . Bessans, L'Atlas historique?, le cadastre donne 400 feux et le recensement de 1734 1882 âmes soit un coefficient de, vol.4, p.35

R. Fournis-par and . Rousseau, Sevrier (322 ; 285), La Clusaz (472 ; 468) et Cuvat (84 ; 59 pour cette dernière paroisse, R. Rousseau précise que le chiffre ne comprend qu'une partie des mâles). Ce même auteur estime (ibid, vol.116, p.68

, Je me permets de renvoyer à une de mes publications pour en expliquer le contexte et apprécier l'exploitation qu'on peut en faire : L. Perrillat, « Vieugy et Balmont en 1690, Conservé aux Archives départementales de la Savoie, sous les cotes 2B8330 et 2B8331, vol.23, pp.28-34, 2008.

F. Fleury, Histoire de l'Église de Genève depuis les temps les plus anciens jusqu'en 1802, avec des pièces justificatives, 1880.

). and L. Grand-bornand, Il est vrai que, dans le cas de la capitale de la province, une partie importante du territoire communal est sis sur le Semnoz, assez propice à l'élevage. Pour ces trois localités, on peut sans doute penser aussi qu'une partie du bétail a été comptabilisé avec le foyer de leurs propriétaires, sans qu'il soit effectivement présent sur la commune. Toujours est-il que la corrélation est forte entre populations humaine et bovine. On notera également qu'il n'est pas une paroisse qui ne soit dotée de quelques vaches, boeufs ou veaux : même les plus modestes effectifs, qu'on rencontre essentiellement dans de petites localités (tant en superficie qu'en hommes), atteignent une trentaine de bêtes. La répartition des caprins et ovins rend encore mieux compte de la domination des communautés montagnardes des vallées environnant Thônes (qui arrive largement en tête avec 1 615 individus) et exclut plateau des Bornes et petites villes (Annecy demeurant néanmoins à la 18 e place avec 481 têtes). Les mêmes petites localités que précédemment, La Clusaz?) où les troupeaux dépassent les 500 têtes et, curieusement, quelques communautés du plateau des Bornes (Pers, Évires) et surtout les localités à figure urbaine : Annecy (troisième du classement avec 1 248 « boeufs »), vol.593

, Ils sont 49 734 en 1776 soit + 11,3% (B. Gachet, La gabelle?, op. cit, p.107

, En 1776, on trouve 23 076 ovins, 17 202 brebis et, vol.8, p.127