I. De-lille, consultée sous forme de résumé dans la «Revue des études slaves», vol.63, pp.837-843, 1990.

G. Petre and . La, , pp.291-300

D. Sirarpie and L. Nersessian, , pp.48-49

. D. Cfr, L. Marshall, G. E. Von-grunebaum, and T. Balavariani, , pp.43-49, 1966.

M. S. Kordoses, Southern Greece under the Franks, 1204-1262. A Study of the Greek Population and the Orthodox Church under the Frankish Dominion, Dodone: Supplement, vol.33, pp.71-73, 1987.

V. Filip, T. Tricht, &. Latin-'renovatio, and C. , Il a conservé leur indépendance face à l'Église du Saint Sépulcre de Jérusalem, à laquelle le cardinal, p.233

?. Voir-mirjana, ?. , S. Gora, and C. , Pour le portrait mural de l'empereur Henri de Flandres en tant que khtètor de la Grande Lavra, pp.82-83

. Sur-les-bakouriani and T. Batchkovo, qui pense qu'il s'agit d'une sympathie dont les moines géorgiens témoignaient envers leurs confrères occidentaux, vol.7, p.98, 1998.

. Ibid, , pp.233-237

S. Giuseppe and M. , Escerto greco della Regola di S. Benedetto in un codice del Monte Athos, «Benedictina», pp.191-196, 1947.

D. Pour-l'hypothèse-que-le-monastère, Iviron a influencé la traduction de la version latine dans le cadre des rapports entre les moines Géorgiens et Amalfitains, voir Paul PEETERS, La première traduction latine de 'Barlaam et Joasaph' et son original grec, «Analecta Bollandiana», vol.49, p.100, 1931.

. Cfr, M. Giorgi, and . Benedikt'e-nurseli-da-benedikt, En second lieu, dans le manuscrit H-1661 de la même collection, un Grand synaxaire copié en 1156 au monastère géorgien de la Croix à Jérusalem, se trouve l'histoire du même saint occidental, fêté le 14 mars (f. 140r-v). Vu le peu d'informations dont nous disposons pour le moment, il est impossible de définir la manière dont les moines géorgiens d'Iviron et du reste de la diaspora vénéraient saint Benoît, elebi dzvel kartul ts'erilobit dzeglebshi [Benoît de Nursie et les Bénédictins dans les sources écrites en ancien géorgien], présentation inédite, vol.27

. L'empereur, Alexis III avait accordé à saint Sava et à son père Siméon un statut de monastère indépendant pour leur fondation serbe de Chilandar ; le statut était inspiré des statuts du monastère d'Iviron et du monastère des Bénédictins amalfitains. Bojan MILJKOVIC´,MILJKOVIC´, Zi?tijaZi?tija svetog Save kao izbori za istorij?uistorij?u srednjovekovne umetnosti [Les vies de saint Sava comme sources pour l'histoire de l'art médiéval], réd. Ljubomir Maksimovic´, Cfr. Dimitri OBOLENSKY, p.130, 2008.

M. Voir-bernadette, L. Et-byzance-au-x-Ème-siècle, and . «byzantinoslavica», qui compare le témoignage de Hrabr, auteur de langue slavonne, avec un texte géorgien écrit au X e siècle par un moine de la Terre Sainte qui compare la langue géorgienne à Lazare ; elle est endormie, mais renaîtra comme Lazare. Il ne s'agit pas ici d'affirmer une égalité avec la langue grecque, comme faisait le moine Hrabr, vol.50, pp.33-45, 1989.

, Après sa confirmation à Constantinople, saint Sava retourne à l'Athos et consacre son temps à la construction du monastère et à la création d'une école de traduction (du grec en slavon). Les traducteurs du scriptorium travaillaient sous sa direction, pp.131-132

, Les plus anciens manuscrits serbes de la traduction de ce texte proviennent des monastères Chilandar, pp.100-101