J. Giono, Regain, in ORC I, op.cit., p402 17 Ibid

J. Giono, Que ma joie demeure in ORC II, op.cit, p.455

J. Giono, Appendice du Chant du monde » in ORC II, op.cit., p1283 20 J. Giono, Noé in ORC III, op.cit, p.645

J. Giono and . Regain, , p.371

J. Giono, Le Chant du monde, op. cit, p.201

J. Giono and . Provence, , p.205

J. Giono, « Supplément à Solitude de la pitié », ORC I, op. cit, p.536

J. Giono, , p.1158

J. Giono and . Provence, , p.209

J. Giono, Promenade de la Mort ou Départ de l'oiseau bagué, p.378

J. Giono, Fragments d'un paradis in ORC III, op. cit, p.967

. Dans-l'appendice-À-que-ma-joie-demeure,-p1352, ». Giono-explique-la-suppression-de-«-jésus, and . Dans-le-titre, Je crois plus honnête de rechercher une joie totale, en tenant compte de ce corps, puisque nous l'avons, puisqu'il est là, puisque c'est lui qui supporte notre vie, depuis notre naissance jusqu'à notre mort. Contenter l'intelligence n'est pas difficile ; contenter notre esprit n'est pas non plus trop difficile. Contenter notre corps, il semble que cela nous humilie

J. Giono, « Appendices de Que ma joie demeure, préface aux Vraies Richesses », ORC II, op.cit., p1353 39 J. Giono, Que ma joie demeure, p.549

J. Giono and . Provence, , p.206

J. Giono and L. Bruits, Les Terrasses de l'île d'Elbe, Gallimard/L'Imaginaire, p.101, 1976.

J. Giono and . Provence, , pp.205-211

A. Romestaing and . Regain-de-jean-giono,

A. Landes, Etude des principaux mythes grecs dans l'oeuvre de Jean Giono, thèse de doctorat présentée sous la direction de Mireille Sacotte, vol.3, 1995.

. «-cette-fois,-c'est-quelqu'un-qui-sait-qui-parle, Mais ce qui entre ainsi dans la lumière est terrible

J. Ibid, . Giono, and . Provence, , p.207

J. Giono, Préface aux Vraies Richesses, vol.II, p.1356

J. Giono, « Avant-propos à Que ma joie demeure, p.1356

J. Giono, Pour saluer Melville, op. cit, p.38

A. Romestaing, op. cit. avec ce qui est désormais éclairé et c'est cruel !, p.53

. Le-vrai-savant-gionien,

P. Giono and . Le-vrai-savant-ne-serait-donc-pas-le-«-grand-homme-»-cher-au-xix-e-siècle, Celui qui sait, c'est avant tout celui qui écoute et qui transmet, qui donne avec une « générosité hémorragique » 54 à l'instar de Toussaint dans Le Chant du monde. Mais ce n'est pas du « gaspillage » pour Giono, contrairement à la vision que présentait J

«. Le-poète and ». , Il se fait le relais entre le vrai savant, avatar du Pan gionien, et les hommes non-libres, encore emprisonnés sensuellement par la modernité

C. , ailleurs ce que suggère la fin de « l'Avant Propos » de Que ma joie demeure : « Ici, le lecteur trouvera encore une fois la succession des saisons

. Le-problème-de-l, On verra que dans ce livre non plus on ne la trouve pas. J'espère qu'il comprendra que ça n'a aucune importance. S'il le comprend, il sera sur le chemin de sa joie. Sinon, qu'il ne perde pas confiance, vol.55

L. Ainsi and . Tel-que-la-modernité-depuis-le-siècle-des-lumières-le-présente-est-différent-du-savant-gionien, Le premier est d'ailleurs souvent tourné en ridicule, vu comme un « bavard », dont le « corps est entièrement fermé, tout clos » 56. A l'instar du médecin, le chercheur ne peut « connaître par la simple science » dit-il, « c'est un instrument trop exact et trop dur. Le monde a mille tendresses dans lesquelles il faut se plier pour les comprendre avant de savoir ce que représente leur somme. » 57. La compréhension précède le savoir

J. Giono and C. , , pp.180-181

J. Giono, Postface à ''Angelo'' » in ORC IV, op.cit., p1170 55 J. Giono, « Avant-propos à Que ma joie demeure », op. cit., p1349 56 J. Giono, « Provence, Appendices au Cycle du Hussard. II, pp.206-57

. Faudrait,-selon-l'étymologie and . Soi, Les poètes peuvent aider à la compréhension mais c'est un choix personnel que de savoir, c'est un cheminement de la découverte de soi pour reprendre le titre d'un ouvrage de Sonia Atiah 58. Pour conclure, le savoir gionien serait donc immanent, personnel et panique. « La poésie » comme la générosité sont autant de moyens « d'éteindre les plaies » de l'âme ce que Giono résume ainsi dans Jean le Bleu : « Si l'on a l'humilité de faire appel à l'instinct, à l'élémentaire, il y a dans la sensualité une sorte d'allégresse cosmique. » 59 Et c'est en parcourant la Provence, en apprenant à voir ce qui l'entoure que le romancier manosquin a pris conscience de cet enseignement. Mais, toujours dans une logique panique, il conclut comme suit son « Petit traité de la connaissance des choses, Ainsi commence ce que l'auteur nomme l'expérience panique, vol.60

S. Atiah and J. Giono, , 2013.

J. Giono, J. Le-bleu, and O. C. , , p.97

J. Giono and . Provence, , p.234