V. Brouquier-reddé, C. Bruun, P. Jaillette, T. Piel, . J'exprime-ma-reconnaissance-À-jean-luc et al., Ce texte a bénéficié de la relecture et des commentaires de Noël Duval, François Baratte et Anne-Florence Baroni, auxquels je témoigne toute ma gratitude. 2. Neuerburg 1965 pour l'Italie ; Aupert (1974) propose un catalogue restreint des fontaines africaines, alors Directeur du Département des antiquités grecques, étrusques et romaines du Musée du Louvre, et Daniel Roger, Conservateur, qui m'ont autorisé et facilité l'accès aux réserves du Musée. Je remercie Gerard Duursma, du Thesaurus Linguae Latinae, pp.7-10372, 2014.

. Dorl-klingenschmid, a publié un catalogue et une étude détaillée pour l' Asie Mineure. Plus largement, Letzner 1990 recense les fontaines de l'Occident romain et Richard 2012 les fontaines monumentales d'Orient, 2001.

, Notamment Aupert, 1974.

. Marchetti-&-kolokotsas, , 1995.

, La liste n'est pas exhaustive

, Il s'agit de deux morceaux d'une plaque de calcaire gris de Constantine, et non de marbre. Les dimensions sont les suivantes : l, vol.56

, Inventaire d'objets conservés au Capitole de Cirta" et "Inventaire de la décoration d'un nymphée". À la suite de S. Gsell, H. Dessau et H.-G. Pflaum les ont réunies et ont prouvé qu'il s'agissait de deux fragments d'une même inscription. Selon J.-M. Lassère, la longueur de la lacune ne peut être estimée. Delamare 1850, pl. 120, fig. 4-5 (ici fig. 1a et c), donne un dessin de chaque fragment. Il faut noter que la partie inférieure du fragment 2 est beaucoup plus importante sous l'inscription que ce qu'il en reste aujourd'hui : la pierre a été sciée avant d'être transportée à Paris, comme c'était souvent le cas, pour ne pas s'encombrer. La découpe lisse que nous avons observée ne fait aucun doute, ainsi que l'avait noté N. Duval. Écorné et écaillé en plusieurs endroits, ce fragment a été brisé en 1969, puis restauré, sans perte sensible de la partie inscrite. Notons qu'il est tout à fait impossible de savoir si l'inscription était dès l'origine en deux parties ou s'il s'agissait d'une seule plaque qui a été brisée, vol.2, pp.2-13

, L'inscription a été exposée à la fin du xix e siècle et au début du xx e siècle dans la salle d' Afrique (n o 2047 et 2048), voir Clarac 1841, pp.15-16

, 194 et 195 avec une photographie du fragment 1 uniquement, pl. xiv, fig. 2. En 1937, L. Leschi, alors Directeur du Service des Antiquités de l' Algérie, a demandé le dépôt d'inscriptions à caractère historique. Les conservateurs des Antiquités grecques et romaines du Musée du Louvre-département dont A. Merlin a été Conservateur en chef entre 1921 et 1946-ont alors décidé de répartir entre la France et l' Algérie les différentes parties d'oeuvres fragmentaires. Le fragment 1 a ainsi 8. La confusion n'est pas possible avec nummus, qui suit généralement une indication monétaire, Une rapide recherche nous a permis de relever d'autres attestations de tildes pour les abréviations de numero : Rome (AE, 1985, 113), vol.16, pp.59-61, 1921.

, Pour un rapide aperçu sur ces questions, Baratte, vol.10, pp.114-116, 1992.

À. Carthage, où un fragment de synopsis mentionne des victoires d'argent (CIL, VIII, 12496), à Vazi Sarra (CIL, VIII, 12001) et à Némi (CIL, XIV, 2215 = D. 4423), vol.13, pp.66-75, 2007.

, Cette statue a été donnée au Musée de Constantine juste après sa découverte en 1855 par le colonel du génie Ribot. Elle y est aujourd'hui toujours exposée. 15. Clarac 1841, 1270 ; Fröhner 1869, Doublet & Gauckler, vol.1893, pp.60-61

, Voir notamment l'étude de Heurgon 1957 sur les origines campaniennes de la confédération cirtéenne

. Lassère, 18. ILAlg, II, 2, 6479. 19. CIL, VIII, 7824 = ILAlg, 895) suggère que d'autres statues étaient décrites dans la lacune et que l'une d'elles devait être signée de Longanius (sic), 2007.

, Cela pose plusieurs questions. D'une part, selon le même procédé que précédemment, comment envisager l'aménagement de ces bassins ? On penserait plutôt, dans le cas d'un monument de plan centré, à un unique bassin circulaire courant tout autour de l'édifice. La mention de six bassins pourrait alors s'expliquer soit par une séparation d'un bassin circulaire en six compartiments distincts, par l'introduction de plaques transversales, comme c'est le cas pour la fontaine dite de Liberalis à Timgad 80 et dans une certaine mesure pour le nymphée de Tipasa 81 , soit par la présence de six "vasques" placées à hauteur des usagers, dans lesquelles coulait l'eau des bouches, selon la même disposition qu'au centre des nymphées de Gerasa et Byblos 82. D'autre part, s'il s'agit de bassins, pourquoi les faire figurer dans l'inventaire et ne pas mentionner leur matériau, contrairement à tous les autres éléments ? S'ils étaient conçus en matière précieuse, la mention en aurait été faite : il faut ainsi envisager des bassins de pierre ; mais alors la mention de leur nombre indiquerait la possibilité qu'ils soient dérobés, Le dernier terme de l'inscription qui doit être interprété est manualia 77 (l. 18). W. Fröhner proposait des bassins, rapprochant manualia du grec ????????????, ?? (??) 78 , désignant un "bassin pour se laver les mains" destiné aux fidèles 79

, Dans ce cas, il y aurait bien une distinction entre les scyphi dependentes mentionnés auparavant et ces récipients : les premiers seraient soit des coupes effectivement accrochées, dans un but décoratif, soit des lampes qui n'ont donc aucun rapport avec un récipient, tandis que les seconds seraient destinés à l'usage du public, Pflaum se risque à proposer des aiguières 91. C'est en effet le double sens du mot aquamanile, qui désigne aussi bien le bassin dans lequel le prêtre se lave les mains que le pichet qui sert à verser l'eau sur celles-ci, en contexte chrétien 92, vol.81, pp.28-29, 1903.

. Cf, . Varron, . De-lingua, and . Latina, Manuale". Cf. Passio Cyprien, 5 ; Passio Montani et Lucii, 15. 88. On connaît quelques récits de vols de serviettes, notamment chez Catulle, 12 et 25 (sudarium) et aux thermes chez Martial, 8.59, 12.28 (mappa), Des tablettes de defixio témoignent également de vols dans ces établissements, pp.79-81, 1988.

A. Tertullien, 92. TLL, s.u, post aquam manualem. 90. Lassère 2007, 895. 91. Pflaum, ILAlg, vol.18, p.45

, L'eau était sacrée, c'est-à-dire propriété du dieu, puisqu'il y avait eu consécration publique. Mais de quel type de fontaine s'agissait-il ? Revenons sur l'appellation de l'édifice. S. Settis posait la question de l'attribution du nom de "nymphée" à un monument : chaque fontaine sacrée est-elle un sanctuaire aux Nymphes ? Peut-elle à chaque fois être appelée nymphée ? Chaque monument appelé "nymphée" est-il consacré aux Nymphes 100 ? En réalité, et pour résumer l'analyse, il semble que l'appellation de "nymphée" recouvre à partir du ii e siècle une dimension profane, "laïque", dans laquelle la profusion de l'eau et la richesse du décor se substituent à une fonction religieuse 101. On connaît au iv e siècle à Rome un nymfeum Iouis, fontaine monumentale dédiée à Jupiter, certainement en raison de la présence d'une statue du dieu dans le décor, mais non un sanctuaire des Nymphes 102. Il n'y avait pas nécessairement de culte des eaux rendu dans cette fontaine ni dans celle de Cirta. En réalité, le monument cirtéen pouvait simplement être destiné aux purifications rituelles : en effet, La fontaine du capitole L'absence d'inscription ne nous permet pas de dire si l'édifice était consacré à un dieu. La description de la fontaine dans l'inventaire du trésor du temple indique qu'elle était sacrée, comme tout ce qui était consacré au moment de la fondation, et que l'on souhaitait la protéger du vol, donc de la profanation, pp.728-729, 1973.

, Une chronologie relative pourrait nous être donnée par les monuments voisins et l'évolution du programme architectural du capitole, mais l'archéologie n'apporte que peu d'informations. Une inscription découverte à la casbah rappelle la construction d'un temple en 168 108. Un événement historique est à souligner : la bataille contre Domitius Alexander, écrasé en 310 par Rufus Volusianus, préfet du prétoire de Maxence, qui ravagea complètement la ville 109. La fontaine et la statue de Jupiter étant mentionnées sur le même inventaire, elles étaient certainement contemporaines. Or il est difficile d'envisager la construction d'un capitole à partir du iv e siècle 110. Ainsi, la destruction de la ville donne un terminus ante quem pour leur construction. L'église, Rares sont ceux qui se sont risqués à proposer une fourchette de datation pour cette inscription, encore moins pour les monuments et objets qu'elle décrit. Peu d'éléments sont à notre disposition pour mener une réflexion. Les techniques de dorure de l'inscription du nymphée et des statues sont difficiles à dater

, L'analyse paléographique, avec toutes les précautions qu'elle nécessite, est sans doute celle qui apporte le plus d'indices

, L'inscription débute par une capitale carrée, qui s'allonge progressivement, dans une écriture soignée. Certaines lettres présentent des particularités : ondulation de la barre des T, barre très peu marquée des A, ondulation des G, pied large des P et 103, pp.633-634, 2008.

. Van-andringa, , pp.144-147, 2009.

, En Tripolitaine, on recense à Sabratha deux grands bassins dans la cour du sanctuaire d'Isis (Brouquier-Reddé 1992, 61), un bassin de pierre comportant une inscription bilingue latine et néo-punique à Baal Saturne (Ibid., 187-188) et à Ghirza, un bassin de pierre devant les marches de la cella d, À Khamissa : CIL, VIII, 23991 = D. 5776 = ILTun, 750 = AE, 1894, 93, pp.142-146, 1991.

. Golvin-&-khanoussi, Un aménagement assez semblable-dalles encastrées dans des rainures-est visible au pied de l'escalier du grand temple (capitole ?) d'Haïdra : l'identification d'un bassin n'est pas assurée car Golvin & Piraud (2018) y reconnaissent les traces d'encastrement du parapet d'un enclos. On note à l'avant la présence d'une cupule dotée d'un orifice pour l'évacuation des liquides (Baratte et al. 1973, 165 et fig. 11), vol.106, pp.147-149, 1991.

C. , V. , and =. D. Ilalg, , p.384, 1981.

, Aucun des capitoles africains n'est construit après le milieu du iii e siècle. Voir la liste récapitulative de, vol.111, pp.205-207, 1901.

J. Forme-particulière-du-y-que-notait, ii e siècle et sous les Sévères 113. W. Fröhner datait l'inscription du i er siècle : à titre de comparaison, la paléographie de l'inscription à Livie 114 présente en effet les caractéristiques de la "capitale africaine

*. ,

, Sa topographie antique est mal connue 115 et la plupart des ruines encore existantes au milieu du xix e siècle ont subi le même sort que les temples du capitole : cet inventaire redonne vie à l'un des édifices du sanctuaire en même temps qu'à son décor et à une prestigieuse statue de Jupiter, le sort réservé aux métaux rendant ces oeuvres et objets bien rares. C'est un élément supplémentaire dans la compréhension de la ville antique et, dans le cas précis, de son réseau hydraulique et de sa topographie religieuse, L'étude de cette inscription apporte de nouvelles informations à la fois sur Cirta et sur l'architecture et le décor des fontaines

. Cf, V. Cil, and =. Cig, 5366 = D. 1102 = ILAlg, vol.1

C. Au-musée-de and C. , CIL, VIII, 6987 = 19492 = ILAlg, vol.II, p.550

, Voir Bages 2011 qui a établi un inventaire archéologique et épigraphique récent de Cirta, en particulier 45-87 celui du secteur de la casbah

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