D. Isidorus and . Rerum, , vol.9, pp.1-2

. Cf, «. Marie-thérèse-d'alverny, . L'homme-comme-symbole, and . Le-microcosme, Simboli e simbologia nell'Alto Medioevo, p.179, 1976.

H. Bingensis, . Cause, K. Købnhavn, and . Bibl, Ny. kgl. saml. 90 b Fol., originaire du monastère de Saint-Matthias-et-Eucher de Trèves, f. 8vb : Et rivuli

I. Liber-divinorum-operum, Iste etiam aer cum aquoso aere mare movet, a quo flumina divisa fluunt, CM 92), vol.59, pp.191-192, 1996.

, quod etiam vene sibi conexe totum hominem cum sanguine confortantes ostendunt, et Liber subtilitatum

H. Augustodunensis and . Flint, Puis Dieu dit : Que la terre produise de la verdure, de l'herbe portant de la semence, des arbres fruitiers? ». Le Livre des Jubilés II, 10, appelé aussi « petite Genèse -leptogenèse », une oeuvre produite par les milieux juifs, dit aussi « Le quatrième jour, il fit le soleil, la lune et les étoiles? (10) ? (le soleil) est établi pour donner la vigueur, afin que soit vigoureux tout ce qui germe et croît sur la terre » et (12) « Le soleil se leva sur eux pour les faire prospérer, Oceanus fluviorum cursu non augetur? partim per occultos meatus in suos amnes revertuntur, vol.49, p.70, 1982.

, Le Livre des Jubilés 105 est souvent daté du temps qui suit immédiatement la révolte des Macchabées en 167 A.C.N., mais J. C

L. Lefèvre and . 'elucidarium, Les rapports entre Honorius et Anselme de Canterbury ont été mis en évidence par Y. Lefèvre et ensuite par V. Flint, supposant tous deux une rédaction de jeunesse de l'Elucidarium dans le sud de l'Angleterre. Honorius aurait pu prendre connaissance à Christ Church de Canterbury d'un manuscrit du L. Nemroth. En tous cas, un exemplaire s'y trouvait au plus tard en 1184, quand le computiste Salomon à Christ Church compila le ms, Contribution, par l'histoire d'un texte, à l'histoire des croyances religieuses en France au Moyen Âge, vol.3314, p.97, 1954.

E. Tisserant, Ces références sont empruntées à Andreas Su-Min Ri, Commentaire de la Caverne des trésors. Étude sur l'histoire du texte et des sources, Fragments syriaques du livre des Jubilés », Revue biblique, vol.30, pp.123-124, 1921.

. Éd, J. C. Du-livre-des-jubilés, . Vander, and . Kam, , 1989.

, Comme le c. 61 du L. Nemroth, qui constitue le c. IX du MC 318, ces deux chapitres 49 et 50 de Bède ont inspiré la discussion de Michel Scot De fundamento terre dans le Liber particularis, ce qui indique que les deux traditions étaient intimement liées en Sicile et dans le sud de l'Italie 152 . En revanche, les chapitres 38, De natura aquarum duplici, 40, Cur mare non crescat, 41, Cur sit amarum, dont la thématique est identique chez Bède comme au c. 61 du L. Nemroth qui vient d'être examiné, ne figurent pas parmi les « interpolations ». Au titre d'anthologie du quadrivium mêlant musique, comput, astronomie géométrique et science naturelle, le MC 318 doit aussi être comparé à des collections qui furent réalisées à l'époque carolingienne et qui puisent aux mêmes sources tardo-antiques : le Liber calculationis, le Florilegium italicum originaire du Mont-Cassin 153 et le « Compendium du Mont-Cassin, concerne la Sicile et l'Etna (De incendium Ethne 151 ) et est issu du c. 50 du De natura rerum de Bède, qui s'inspire lui-même de Pline, Historia naturalis II, pp.234-236

P. Vatican and . Lat, 1417, f. 2v, d'après Beda Venerabilis, De natura rerum

. Liber-particularis, . De, . Oxford, . Bodl, and . Libr, Canon. Misc. 555, f. 56ra : Nam illius quod me interrogastis de flammis ignis que visibiliter apparent in multis locis huius mundi, ut in partibus Scicilie etc., iam supra diximus intellectum huius in capitulo (f. 56vb) quod incipit 'Tellus Scicilie' etc. Et en effet, plus haut f. 40r-v : c. De Scicilia, Ethna monte et Vulcano. Tellus Scicilie tenuis ac fragilis et cavernis quibusdam fistulisque [?] Hoc est dictu : tellus Scicilie cavernosa est, et illic sulphure vivo ac bytumine venis strata pene tota ignibus et flammis igneis patet, f. 40va) Audiuntur etiam voces lamentabiles personarum, et ideo dicimus per talia esse hyatus inferni

E. S. Il-a-Été-reconstitué-par and . Lott, « The Florilegium of Cava 3, Madrid 19, and Paris 7418, Harvard Studies in Classical Philology, vol.85, pp.307-308, 1981.