, Une inscription de Bénévent commémorant un taurobole accompli en l'honneur d'Attis et de Minerve Paracentia, publiée naguère, a été datée de l'époque des Flaviens ou de Trajan par son éditrice 60. Cependant, les critères prosopographiques et paléographiques avancés ne sont pas totalement décisifs et ne viennent donc pas bouleverser fondamentalement la distribution chronologique retenue jusqu'à présent 61. Il reste donc pour l'heure difficile d'établir quand le rituel du taurobole s'est inscrit dans la liturgie métroaque : ce qu'atteste en revanche le texte lyonnais, c'est, peut-être, Duthoy, pp.264-268, 1969.

A. D. and =. Xiii, , vol.4132, p.1752

A. D. and =. Xiii, , vol.4133, p.1753

, AD I, 8 = CIL XIII, 1754 ; AD I, 9 = CIL XIII, p.1755

, AD I, 10 = CIL XIII, 1756. Il faut y ajouter l'autel, vol.4130, p.1782

A. Muscettola, Attini sacrum / et Mineruae / Paracent(iae), vol.538, pp.97-99, 1994.

, M(arcus) Rutilius / Peculiaris sac(erdos) et lib(rarius ?) public(us) / XVuir(alis) ob taur(obolium)

S. St, M. Adamo-muscettola, M. R. Rutilius-peculiaris-serait-un-affranchi-de, and . Lupus, Notons toutefois qu'un descendant ne serait pas à exclure. Par ailleurs, le formulaire du monument se rapproche très nettement des tauroboles datés de l'année 228 (CIL IX, pp.54-58, 1969.

A. D. and =. Xiii, ILS 4131) : sacerdote Q(uinto) Sammio Secundo ab XVviris / occabo et corona exornato, / cui sanctissimus ordo Lugudunens(ium) / perpetuitatem sacerdoti decreuit (« sous la prêtrise de Quintus Sammius Secundus, ayant été décoré du collier et de la couronne par les quindécemvirs, à qui l'ordre très saint de Lyon a, p.1751

C. Xii, , p.1782

C. Xiii, Sur la durée de la prêtrise, voir Ladage, À Lectoure, le prêtre Traianius Nundinius est resté en place au moins deux ans (CIL XIII, pp.15-22, 1971.

D. Cumes and . De, Mactar, datées entre 276-284 et 285-293 : CIL VIII, vol.289, pp.41-46, 1969.

. Voir-par, Voir aussi Van Haeperen 2012. 66 CIL XIII, 1921 (ILS 7024) et 1974, attribuée à Pouzzoles par Van Haeperen 2010, mais qui concerne bel et bien Cumes, vol.3699, p.1751, 2010.

, et 1752 signalées plus haut, voir CIL XIII, p.1723, 1961.

L. Dans-van-haeperen, Noter toutefois que le sacerdos XVuiralis de l'inscription CIL XII, 1567 (ILS 4140) = ILN Die, 10 n'était pas rattaché à la cité des Voconces, mais à la colonie d'Orange. 71 Schillinger, pp.50-54, 1979.

, Wissowa, pp.227-228, 1912.

. Voir-ainsi-turcan, 73 CIL XIII, 1752 (ILS, 4132) : ex uaticinatione Pusoni Iuliani archigalli, sacerdote Aelio Castrense, p.33, 1972.

, CIL XII, 1782 (ILS, 4130) : même formule. Cf. aussi, à Merida, vol.II

, 25, 5 pour désigner les paroles rituelles de l'archigalle de Carthage célébrant une cérémonie pour la sauvegarde de Marc Aurèle le 24 mars 180 alors que celui-ci était mort le 17 mars. On peut se demander si la formulation ne peut pas être mise en rapport avec certains avantages, dont l'exemption de tutelle, qui furent accordées, du moins à Portus, pour les individus qui accomplissaient un sacrifice pour la sauvegarde de l'empereur par suite d'une prophétie de l'archigalle : cf, Frag.Vat, vol.148, p.482, 2011.

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