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. Ibid, , pp.173-175

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A. Niwi?ski, 449-452, fig. 14. Pour son emploi et sa décoration, pp.111-113, 2003.

;. Voir-encore-le-couvercle-du-sarcophage-«-extérieur-»-de-iaoutayeshéret, B. Lacovara, . Teasley, and . Trope, The Realm of Osiris. Mummies, Coffins and Ancient Egyptian Funerary Art in the Michael C. Carlos Museum, Thèbes ?, XXV e dyn, pp.53-55, 2001.

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J. H. Taylor, Toutefois, certains ont leur surface noircie et polie, voir A. NIWI?SKI, op. cit., col. 457, pp.51-52

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. Fr and . Servajean, Le lotus émergeant et les quatre fils d'Horus. Analyse d'une métaphore végétale, pp.265-269, 2001.

, Pour le contexte stellaire déjà évoqué et le cas de coffres canopes au couvercle décoré d'étoiles, voir B. LÜSCHER, op. cit, pp.67-68

, et Douamoutef et Qebehsenouf au Sud, près des pieds, voir B. MATHIEU, « Les Enfants d'Horus, théologie et astronomie (Enquêtes dans les Textes des Pyramides, I) » ENIM I, p.10, 2008.

J. Voir and . Podvin, Composition, position et orientation du mobilier funéraire dans les tombes égyptiennes privées du Moyen Empire à la Basse Époque I, pp.373-408, 2001.

B. Lüscher and U. Zu, 1 er carré lu de gauche à droite) avec une mise en oeuvre similaire sur le pylône de temple ainsi que J.-Cl. Goyon l'a établi au sujet des points cardinaux du carré défensif, où les entités gardiennes du Sud et de l'Est se retrouvent sur le môle Est et celles du Nord et de l'Ouest sur le môle Ouest (J.-Cl. GOYON, Les dieux-gardiens et la genèse des temples (d'après les textes égyptiens de l'époque gréco-romaine). Les Soixante d'Edfou et les Soixante-dix-sept dieux de Pharbaethos I, Totenbuch Spruch, vol.151, issue.2, pp.134-135, 1985.

J. Podvin, .. Gaber, and «. , orientation des défunts dans les "caveaux-sarcophages" à Deir alMédîna, vol.104, p.223, 2004.

, Pour un ex. de localisation d'Anubis jmy-wt à l'Est, associé à Douamoutef, et ?nty-s?-n?r à l'Ouest, associé à Qebehsenouf, voir B. LÜSCHER, op. cit, p.109

L. Camino and C. Papier-lecostey, Collections égyptiennes du musée Antoine Vivenel de, pp.89-90, 2007.

, Pour un exemplaire ayant conservé ses couleurs, voir A. EGGEBRECHT, Pelizaeus-Museum Hildesheim, Mayence, pp.100-101, 1993.

L. Bare?, E. Strouhal, and . The, , vol.98, 1997.

. La-porte-«-simulée-»-Évoquant-l'entrée-de-ro-sétaou, son rôle et sa surveillance par Anubis, est abordée par M.-C. BRUWIER, « Présence et action d'Anubis sur le coffret d'un prêtre héracléopolitain », dans W. Clarysse, A. Schoors, H. Willems (éd.), Egyptian Religion. The Last Thousand Years I. Studies Dedicated to the Memory of, J. Quaegebeur, vol.84, pp.72-73, 1998.

M. Étienne, Les portes du Ciel. Visions du monde dans l'Égypte ancienne, pp.138-139, 2009.

, Pour une proximité de fonction et/ou de nature, voir N. DURISCH GAUTHIER, « Sur les traces de Thot chien, vol.25, pp.52-54, 2002.

. Pour, M. Voir, and . Bruwier, , p.72

, La lustration opérée par ces « préposés » aux portes amène à considérer la frise de w?s-?n?-w?s comme une évocation possible de cet acte 68 . Cependant, leur dualité combinée au geste ksw, mais aussi leur association aux quatre Enfants d'Horus liés aux points cardinaux, pourraient renvoyer à l'expression jtr.ty m ksw d?sn n?k j?w.t r? nb 69 . Cela rappellera les deux canidés couchés sur le pylône à double battant de porte 70 , une probable représentation de rw.t-rd.t-m??.t, autrement dit l'accès au royaume d'Osiris dont le parvis est connu comme lieu de justice 71 , l'espace jtr.ty étant précisément en relation avec le tribunal divin, lieu de légitimation ou de justification 72 . Or, dans les TP (ex. TP 505, § 1093a-f), ces deux chapelles (ou deux ennéades, valant pour l'ensemble des divinités d'Égypte 73 ) entourent le défunt (roi) en contexte d'ascension stellaire 74 , ainsi que notre texte central l'envisage, montrent Horus et Thot pratiquant la lustration sur un faucon posé sur un serekh dont la porte centrale est particulièrement développée 67

. En, V. E. Osiris, and . Winter, , pp.88-90

;. Extrait-de-la-formule-15b-du-ldm, . Hor, . Xxv-e--xxvi-e-dyn.-=-d, and . Ben-tor, The Immortals of Ancient Egypt. From the Abraham Guterman Collection of Ancien Egyptian Art, Prières méditerranéennes hier et aujourd'hui. Actes du colloque organisé par le Centre P.-Alb. Février, vol.2, pp.15-17, 1997.

, on retiendra bien sûr la valeur de l'expression appliquée à la position des deux Anubis, m-jtr.ty, « de chaque côté ». Pour ce genre de canidés « debout » et non couchés, encadrant deux signes , voir A. VON LIEVEN, The Carlsberg Papyri 8. Grundriss des Laufes der Sterne, Copenhague, vol.21, p.154, 1953.

J. Voir, . Quaegebeur, . La-justice-À-la-porte-des-temples, ». Le-toponyme-premit, . Dans-chr et al., Individu, société et spiritualité dans l'Égypte pharaonique et copte. Mélanges égyptologiques offerts au professeur Aristide Théodoridès, pp.201-220, 1993.

J. M. Voir and . Serrano, Origin and basic meaning of the word ?nmmt, vol.27, p.362, 1999.

R. Anthes, . Meaning, and . M??-?rw-», pour l'jtr.ty de l'horizon : pour le lien entre les deux figures d'Anubis posées sur le pylône et la régénérescence solaire, voir U. KÖHLER, Das Imiut. Untersuchungen zur Darstellung und Bedeutung eines mit Anubis verbundenen religiösen Symbols II, vol.10, pp.719-743, 1954.

. Les-haute-et-basse-Égypte, soit 2 × 21 nomes, correspondant aux deux assemblées constituées des 42 assesseurs du tribunal, voir J.-Cl. GOYON, « Momification et recomposition du corps divin : Anubis et les canopes, Funerary Symbols and Religion. Essays dedicated to Professor M, p.40, 1988.

R. Anthes,

J. J. Janssen, HAENI, LÄ V/3, 1984, col. 563-574, s.v. Scheintür ; notamment col. 565-566, et n. 9, pour un commentaire du signe Gardiner O 21), un décor au centre duquel prend place la porte factice du coffret à En guise d'épilogue, nous mentionnerons le cas d'une poutre centrale en trompe-l'oeil sur la voûte de la tombe de Tétiky (TT 15, début de la XVIII e dyn.) 77 , encadrée par des motifs de « tapisserie ». L'origine du décor de boiserie identifié sur les fausses-portes et environné du motif de « tapisserie » caractéristique se retrouve dans ce contexte thébain 78 . Et la formule 60 des TS donne le signalement d'un espace constitué d'un plancher de bois (s?.t / s?t.t), le seuil de l'ouryt assimilé aux deux bras (?.wy) de Nout, un lieu d'embaumement doté de toile / rideau voire d'un linceul (t?y.t) et dont l'entrée est le portail de l'horizon 79 . Les bandes ocre jaunes servant de cadres au décor géométrique des toiles tendues sont un détail architectural communément décrit sur les plafonds et les voûtes des tombes thébaines. La niche de la viscères (voir supra, n. 64), or c'est sur ce genre de boîte à ouchebtis que le trompe-l'oeil de boiserie s'observe fréquemment (voir encore l'ex. reproduit dans M. ÉTIENNE (éd.), op. cit., p. 265, doc. 229). Ces boîtes à motif de boiserie semblent avoir été prisées, ainsi ce modèle est mis en scène ostensiblement dans la tombe d'Inherkhâou (TT 359, une boîte dont le décor est volontiers constitué de bandes vertes, bleues et rouges selon un motif dit « en façade de palais, vol.52, p.57, 1930.

A. Schweitzer and «. , évolution stylistique et iconographique des parures de cartonnage d'Akhmîm du début de l'époque ptolémaïque à l'époque romaine, vol.98, pp.325-352, 1998.

P. K. Dans-ch, M. Wilkinson, E. Hill, and . Wall-paintings, fig. 26 ; communication de M me A. Mohammed El-Shahawy, que je remercie vivement. Elle me signale un autre motif de boiserie en trompe-l'oeil dans la tombe de Paser, p.30, 1983.

É. Xix-e-dyn-;-voir, P. Aubourg, . Zignani, and . Espaces, organisées en deux groupes autour d'une colonne de texte mentionnant le défunt imakh auprès d'Imset. L'agencement iconographique évoque en fait un double battant de porte, une modeste ouverture plaquée sur le plafond renvoyant à son tour au concept de « fenêtre-du-ciel, dix planchettes, plutôt que des poutres, dans un « caisson » de plafond, vol.125, pp.53-61, 2000.

, TT 1), voir A.Gh. SHEDID, Das Grab des Sennedjem. Eine Künstlergrab der 19, Dynastie in Deir el Medineh, p.92, 1994.

. S'agissant-de-la-tombe-de-tétiky, il convient de signaler que la cuve rectangulaire destinée à contenir le cercueil richi revêt l'aspect du bois nu (ou trompe-l'oeil) et non le décor de façade à redans devenu « classique » sous la XVIII e dyn, The Tomb of Tetaky at Thebes (No. 15) », JEA 11, 1925.

D. Arnold, L. Der-Ägyptischen, and D. Baukunst, s.v. Scheintür, qui pourra revêtir l'aspect simplifié des bandes rouges, vertes et bleues, pp.226-227, 2000.
URL : https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00017121

, CT I, 253a-254c ; voir H. WILLEMS, Chests of Life, p.146

, En résumé, le motif du bois est le dénominateur commun de ces différents signifiés, il relie les étapes du cheminement vers la « renaissance », une renaissance dont le garant est la mère Nout / Khenemet-ouret

E. R. Russmann and . The, pour une succession de portes sur les cuves de sarcophages alors que le couvercle voûté évoque le ciel, vol.32, pp.122-125, 1995.

N. Voir, . De, and . Davies, Le bandeau latéral conservé indique qu'Anubis tpy-?w?f jmy-wt nb-t?-?sr accorde au défunt une qrs.t nfr.t m js?f n(y) ?.t. Enfin, les textes de cette niche évoquent la purification (vêtement ouâb) et la protection (rite de la torche), des thèmes communs à la formule inscrite sur le cercueil de Santiago, voir E. LOUANT, Comment Pouyemrê triompha de la mort, The Tomb of Puyemrê at Thebes II, p.108, 1917.

H. Gaber, , pp.215-228

E. Voir and . Louant, et pl. III, p.137

T. ). Chapelle and V. E. Louant, Pour l'association des « tapis » aux murs du s? n?r et du pr wr, auxquels ceux du pr nw / jtr.t pourraient être ajoutés, voir Kl.-P. KUHLMANN, « Serif-style Architecture and the Design of the Archaic Egyptian Palace, Königszeit") », dans M. Bietak (éd.), Haus und Palast in Alten Ägypten, p.124, 1996.

J. Berlandini-keller, Pour la transposition des éléments d'architecture, telles les portes, sur une surface voûtée céleste, Résidences et architectures célestes », dans M. Étienne (éd.), op. cit, pp.29-30

, En perception quadripartite, la forme architectonique s'accentue et subsume une voûte en "baldaquin" (?), vol.29

, Considérer à nouveau la place de l'acte j?w lors de la manifestation d'une entité divine, voir supra, p.69