I. Charles and . Rtc, Puis, le 1 er février 1323, il abandonne à Hugues d'Augeron les revenus que celui-ci a perçus sur une maison donnée par Louis X, mais confisquée depuis (Charles IV RTC, En janvier 1323, il restitue à Mathieu de Trie des biens que lui avait donnés Philippe IV et qui lui avaient été confisqués depuis avant de lui accorder dans les jours qui suivent 5 600 l. t. de dédommagement (AN, J 396, n o 17 bis). Enfin, en janvier 1325, il renonce à toute nouvelle confiscation contre les Chambly (Charles IV RTC, p.5038

L. Chambellans-de-charles and I. , entretiennent aucun lien de parenté direct entre eux. 157. Voir annexe. 158. BNF, fr. 7855, p. 272 et 305, p.154

I. Charles and . Rtc, Voir note 99. 161. La famille d'Andrezel en constitue sans doute le cas emblématique Jean d'Andrezel est chambellan de Philippe de Valois en 1327 (abbé Jean Lebeuf, Mémoires concernant l'histoire civile et ecclésiastique d'Auxerre..., continués par Ambroise Challe et Maximilien Quantin Auxerre et Paris puis, après l'avènement de son maître, chambellan du roi jusqu'en 1345 (Actes du parlement de Paris, deuxième série, de l'an 1328 à l'an 1350 : jugés [lettres, arrêts, jugés], par Henri Furgeot Sans doute est-il le fils d'Aubert d'Andrezel, lui-même chambellan de Charles de Valois en 1315, Archives nationales, Inventaires et documents, pp.3733-3754

¢. Adam-héron, principal chambellan, ancien chambellan de Philippe et de Louis X 223 , attesté jusqu'au dernier semestre de 1321 224, Robert (ou Robillard) de Gamaches, ancien chambellan de Philippe 225

. Ordonnance-de-saint-germain, 10, AN, JJ 57, fol. 42 Sur la date précise de cette ordonnance, voir O. Canteaut, Gouvernement, p.50

V. Philippe and . Rtc, Il est également mentionné dans un compte de l'Hôtel de la reine pour la période du 1 er juillet, p.50

V. Philippe, V. Rtc,-n-ophilippe, and . Rtc, Mathieu est encore qualifié de chambellan dans un acte royal de janvier 1323 (Charles IV RTC, n o 4058), mais cette indication, unique, semble bien être due à une erreur de rédaction de la charte royale : le notaire, après y avoir vidimé des actes où Mathieu était chambellan de France, puis après y avoir rappelé les services antérieurs de Mathieu, se sera sans doute laissé emporter jusqu'à faire de lui un chambellan de Charles IV. 229. Philippe V RTC, n o 3239. Il n'est alors qualifié que de « chambellan », mais sa qualité de chambellan de France est confirmée par un acte de 1321 Par ailleurs, un acte du 7 juillet 1319 en faveur de Jean a été commandé « per regem presente cambellan) ; la fin de cette mention hors teneur a malheureusement disparu, mais il est possible qu, cette liste semble avoir été établie pour l'envoi de mandements expédiés le 13 octobre et le 15 novembre 1317 néanmoins, aucun des documents qui mentionnent la participation de Jean à l'ost (voir note 133) ne lui attribue ce titre, pp.443-444, 1518.

¢. Gui-de and L. Roche, Dès le premier semestre de 1322, s'y ajoutent deux chambellans supplémentaires 231 : ¢ Hugues III de, Bouville, vol.232

¢. Gui-de-séry and . Qu, on retrouve, après une probable interruption, aux fonctions qu'il occupait à la fin du règne de Philippe V

. Nous-ignorons-qui, Tous sont encore en activité au premier semestre de 1327 234 et l'étaient probablement encore à la mort de Charles IV en janvier 1328 235 Aucun des cinq chambellans du roi ne semble servir encore Philippe VI à son avènement 236 . En revanche, le chambellan de France, Jean de Melun, conservera son office jusqu'à sa mort, p.289

L. Gui-de, Roche est encore attesté comme chambellan à cette date (Charles IV RTC

J. Viard, «. L. Hôtel-de-philippe, and V. .. , ) ; on ne peut donc exclure que certains chambellans de Charles IV aient conservé quelque temps leur charge à l'avènement de Philippe VI, même si aucun document ne l'atteste. Ainsi Gui de Séry est-il peut-être encore chambellan du roi lorsqu'il se voit confier le heaume de Philippe VI à la bataille de Cassel, pp.604-1328

P. Le and . La-mort-de-philippe-vihistoire-généalogique, ) ; R. Cazelles affirme en revanche qu'il ne meurt qu C'est que la date de décès de Jean est difficile à déterminer dans la mesure où son fils, lui aussi prénommé Jean, lui a succédé comme chambellan de France (voir notamment AN De fait, nous ne disposons que des titres de seigneur de Tancarville et de chambellan de Normandie, que Jean II a hérités de sa mère (le P. Anselme, Histoire généalogique), pour distinguer Jean I de son fils, Anselme situe son décès en 1350 Seules certitudes : Jean I est décédé en août 1352 (AN, JJ 81 voire très probablement dès le 4 février 1352 qui qualifie le chambellan de Normandie [Jean II] de vicomte de Melun), mais il était sans doute encore vivant en mars 1351, date à laquelle son fils n'est encore qualifié que de « chambellan de Tancarville, pp.225-72