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. La-disgrâce-finale-de-thomas-wolsey-montre and . Qu, La cour est un centre politique, même si John Skelton dans son poème s'interroge sur la réponse à donner à la question « Why come ye not to courte ? ». Clairement, la résidence londonienne du cardinal Wolsey, à savoir York Place, ou sa résidence du sud de la capitale, Hampton Court, sont indiscutablement des centres politiques absolument essentiels. Il n'empêche que le chancelier ne peut négliger la source de son pouvoir : le roi. Il faut que le roi accepte de signer les décisions prises par Wolsey. Pour cela, Wolsey doit d'une part s'efforcer d'être présent auprès du souverain et d'autre part s'assurer des relais dans l'entourage immédiat du souverain. Pendant son ministériat, le cardinal cherche donc à limiter son éloignement en se rendant à la cour le dimanche Pourtant, cette question des relations entre la capitale et la cour ne peut pas être résolue brutalement. Versailles n'écrase pas Paris à partir de la décennie 1670. De la même manière, on a longtemps eu tendance à considérer que la cour en France n'existait pas avant Versailles. Puis on a considéré que la cour n'était plus qu'à Versailles : une sorte de soleil éblouissant qui rendait invisible tout le reste. Pourtant, l'apogée de Versailles est assez brève : sous Louis XIV, et encore

. Dès-qu-'ils-le-pouvaient, ils quittaient le palais pour se rendre à Paris dont l'atmosphère leur paraissait infiniment plus amusante et stimulante De la même manière, d'après l'Anglais John Moore au début des années 1780 « ce sont les Parisiens qui, pour tous les ouvrages de génie, donnent le ton aux courtisans et dictent la loi au souverain » juge [qui ?] 47 . Il en va ainsi par exemple du bal, où

. Le-point-de-départ-est-le, Bal de l'Opéra, le premier bal public à entrée payante, autorisé à partir de janvier 1716