. Arrivé-au-ministère-de-l-'humour, Julius Corentin Acquefacques reçoit par courrier une planche 7971_1994_num_12_67_2742, 2010.

S. Mccloud and L. Art-invisible, Comprendre la bande dessinée, 1999.

G. Meesters and . Tintin-dynamité, De Hergé à TNT », Art&Fact, numéro spécial « Bande dessinée : norme et transgression, pp.95-101, 2008.

B. Peeters and T. Groensteen, Töpffer : l'invention de la bande dessinée, 1994.

T. Smolderen, Naissances de la bande dessinée, 2009.

L. Hergé and . Cigares-du-pharaon, Première édition en noir et blanc, et éditions en couleurs, 1934.

M. Mathieu, Julius Corentin Acquefacques, prisonnier des rêves. Tome 1, L'Origine, 1991.

. Voir, pour une discussion de ce point, l'ouvrage de Thierry Groensteen, La Bande dessinée. Un objet culturel non identifié, 2006.

S. L. Xl, est surtout parce qu'à la différence des oeuvres précitées, Le Petit Christian ne cherche pas à raconter le travail du dessinateur, mais la façon dont l'enfance se nourrit des lectures. Blutch a multiplié, dans ses autres oeuvres, les allusions à d'autres albums de bande dessinée, et notamment à Tintin, abondamment cité dans la série Sunnymoon. C'est cependant avec Le Petit Christian qu'il est allé le plus loin dans sa démarche réflexive sur les influences

. Xli-jochen-gerner, . Tnt-en-amérique, and . Paris, xlii L'auteur est ici parti de l'édition remontée en 62 planches couleurs (Casterman, 1937). xliii On lit par exemple, page 14 : « pistolets / mouvement, xliv Propos retranscrits sur le site de la galerie Anne Barrault, qui a, la première, accueilli l'exposition des planches originales de TNT en Amérique, p.45, 2002.

. Liii-le-journal-de-fabrice and . Neaud, Ego comme X, 1992-2002 offre un repère commode, mais de très nombreuses oeuvres paraissent à la même période, 1995.

S. Liv-voir-notamment-le-travail-de, L. Mccloud, and . Art-invisible, Comprendre la bande dessinée. Paris, Vertige Graphic, ou de Matt Madden, 99 exercices de style, 1994.

. Lvi-lewis-trondheim, . Désoeuvré, . Paris, . L-'association, and . Éprouvette, lvii Pour plus de développements sur l'auto-réflexivité des auteurs de bande dessinée, on lira l'article de Björn-Olav Dozo, « La bande dessinée francophone contemporaine à la lumière de sa propre critique : Quand une avantgarde esthétique s'interroge sur sa pérennité) lviii Un des auteurs les plus emblématiques de cette auto-réflexivité sur les supports est sans doute Étienne Lécroart, qui proposait notamment, dans une exposition récente, un travail sur les planches : partant de l'étrangeté de ce terme technique, il a décidé de le prendre au pied de la lettre pour dessiner des oeuvres transformables sur bois brut. Cependant, son travail porte plutôt sur les contraintes créatives que sur l'album luimême, 2005.