. De-dom-juan-le-prénom-que-porte-le-jeune-roi-de-france, Comment ne pas y voir un trait symbolique d'approbation pour le personnage et pour ses propos ? Le nouveau noble, tel que l'entend Louis XIV, est celui que présente Dom Louis. Il se définit par sa sociabilité, les liens moraux qui le relient à ses ancêtres, son acceptation de l'engagement 40, pp.294-330

. Qu, est toujours la loi du tabac : par sa vertu liante et obligeante, le libertin professait n'être point lié (I,2) ; mais la grimace est le bon tabac à faire une caste ; d'où le faux dévot : « on lie à force de grimaces une société étroite avec tous les gens du parti, p.38

. Non, Aussi nous n'avons part à la gloire de nos ancêtres qu'autant que nous nous efforçons de leur ressembler ; et cet éclat de leurs actions qu'ils répandent sur nous, est sans doute un autre personnage, une scène imaginée par Molière, et sans équivalent dans les autres Festins de Pierre

D. Juan, ai soin de vous rendre le bien que j'ai reçu de vous, et vous devez par là juger du reste, croire que je m'acquitte avec même chaleur de ce que je dois, et que je ne serai pas moins exact à vous payer l'injure que le bienfait, p.4

«. Cette and . Délicate-pesée-entre-l-'injure-et-le-bienfait, il convient de payer ensemble 41 » occupe une longue scène, dont on perçoit mal la nécessité dans l'économie de la pièce, si l'on n'a pas en mémoire la question de tabac. Mais c'est bien de celle-ci qu'il s'agit toujours : des « sentiments d'honneur et de vertu » inspirés par l'herbe à Nicot, du souci d'agir en tout point d'une « manière obligeante ». Dom Carlos reformule, en des termes plus habituels, l'idéal que suggérait