, n° 54 : « la distinction entre péchés rémissibles et irrémissibles n'est pas, en rigueur de termes, une pure invention de Tertullien : la distinction se trouve déjà dans Matth, »» 150. « (...) qui autem dixerit contra Spiritum Sanctum, non remittetur ei neque in hoc saeculo neque in futuro. » 151. Pud. 13, pp.412-443, 1999.
, On a pu conclure de cette insistance de Tertullien sur l'intercession de la communauté, qu'il s'agisse des pénitents, des martyrs, des frères, que le pardon ecclésiastique des péchés en découlait, sans qu'il y ait à recourir à une absolution par la hiérarchie, Voir P. A. Gramaglia, « Note sul De Pudicitia di Tertulliano », Rivista di storia e letteratura religiosa, pp.31-235, 1995.
, Schepelern soutient que le pécheur n'a nulle part dans Paen. l'espoir d'obtenir la paix de l'Église. Le but de l'exomologèse est seulement le pardon divin, et non celui de Dieu et de l'Église. Selon lui, donc, les pécheurs excommuniés ne peuvent en aucun cas espérer la réintégration grâce à la pénitence Comme Schepelern, Funk pense que Tertullien n'a en vue que la grâce de Dieu et sa rénovation par la pénitence repentante, mais que rien n'oblige à lier réconciliation ecclésiastique, c'est-à-dire attestation du pardon par l'Église, et pénitence seconde, Der Montanismus und die phrygischen Kulte. Eine religionsgeschicht liche Untersuchung Das Indulgenzedikt des Papstes Kallistus Theologische Quartalschriftest-à-dire démarche faite en Église vers la réconciliation avec Dieu, pp.37-541, 1906.
, Sed neque peccata dimittit neque Spiritum indulget nisi solus deus (Lc 5, 21) » ; Marc. IV, 10, 1 : « Quis dimittet peccata nisi solus deus ? » 202, Quid potestas ? Spiritus. Spiritus autem Deus (Pud. 21, 1). » 205. Pud, pp.1-5
, , p.338, 1905.
, Du Depaenitentia de Tertullien au Depaenitentiae institutione de Pacien, pp.13-23, 1998.
, 16 par distinction de degrés de gravité entre péchés dans le De peccatorum meritis et remissione II, Notons que Jérôme, lui aussi a lu Pud. qu'il cite en Ep. 21. 220. « Si pacem hic non metit, apud Dominum seminat. Nec amittit, pp.4-6