Residential trajectories around Nantes city
La mobilité résidentielle dans les campagnes nantaises
Résumé
Through the case of La Chapelle-Basse-Mer, 25 km away from Nantes-city, this paper investigates 3
questions about the new inhabitants. Have they really an important residential mobility ? Most of them were
living less than 15 km away from La Chapelle-Basse-Mer. Do the new inhabitants come from Nantes city ?
The urban discharge counts for 20 to 25% in immigration. Are the new inhabitants apparent in the
landscape ? There is no easy correlation between new inhabitants’ incoming and the level of new houses’
building.
À partir du fichier familial de la commune de La Chapelle-Basse-Mer, trois questions sur les nouveaux
habitants sont abordées. Le nouvel habitant est-il vraiment mobile ? La grande majorité de la mobilité
s’inscrit dans un triangle, organisé à une quinzaine de kilomètres à partir du centre de la commune. Le nouvel
habitant est-il vraiment un citadin ? Depuis 1990, le déversement urbain ne représente que 20 à 25 %
maximum des flux résidentiels. Le nouvel habitant est-il vraiment visible ? Il n’y a pas de corrélation entre
l’arrivée de population extra-communale et le nombre des permis de construire. De plus, plus le migrant vient
de loin, moins il choisit de faire construire une maison neuve dès son arrivée.
Origine : Fichiers éditeurs autorisés sur une archive ouverte