La vente des tombes à travers l'épigraphie de la Rome chrétienne (IIIe-VIIe siècles): le rôle des fossores, mansionarii, praepositi et prêtres - HAL-SHS - Sciences de l'Homme et de la Société Accéder directement au contenu
Article Dans Une Revue Mélanges de l'Ecole française de Rome - Antiquité Année : 1974

La vente des tombes à travers l'épigraphie de la Rome chrétienne (IIIe-VIIe siècles): le rôle des fossores, mansionarii, praepositi et prêtres

Résumé

Jusque vers 500, les ventes sont le fait des fossores, petits artisans indépendants, le plus souvent laïcs, mais assimilés aux clercs, qui assurent, à côté des inhumations, le développement, l'équipement et le gardiennage des catacombes: l'épigraphie tardive les nomme « résidants », mansionarii. Au VIe siècle, les tombes se concentrent autour des basiliques suburbaines gérées par des praepositi, dont certains sont clercs; la vente des tombes est de leur ressort. A partir de 600, dans les églises urbaines où commencent les sépultures, les prêtres, qui jusque-là n'avaient joué qu'un rôle de surveillance, commencent à vendre des tombes.
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halshs-01465017 , version 1 (10-02-2017)

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Citer

Jean Guyon. La vente des tombes à travers l'épigraphie de la Rome chrétienne (IIIe-VIIe siècles): le rôle des fossores, mansionarii, praepositi et prêtres. Mélanges de l'Ecole française de Rome - Antiquité, 1974, 86 (1), pp.549-569. ⟨10.3406/mefr.1974.972⟩. ⟨halshs-01465017⟩
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