J. Stahl and C. , Sté Yonne Funéraire ; Sté Intermarbres ; Sté Million et Marais, RFDA 1997. 1228-1240, ici p. 1235. Pour une analyse critique (et lucide) de ces évolutions, v. J. Caillosse, « Questions sur l'identité juridique de la " gouvernance " », in R, La gouvernance territoriale. Pratiques, discours et théories, pp.35-64, 1997.

À. La-différence-ce-que-promeuvent,-en-revanche-et-en-bonne-logique, dans sa « note » précitée (ici supra note 28) recommandait une augmentation des droits d'inscription afin de pallier la stagnation, voire la diminution des moyens de fonctionnement des universités qui, « à moyen terme, [?] ne couvriront ni l'inflation, ni l'augmentation de certaines charges ». Et donc : « Dans un contexte de crise financière et de besoin de financement qui s'accroissent, les frais de scolarité devraient notamment augmenter à moyen terme afin de maintenir la situation financière des établissements. » Quant au financement privé par des fondations, il se heurtait, selon les auteurs du rapport, à « l'impossibilité pour les investisseurs privés d'avoir un droit de regard sur les formations dans lesquelles ils investissentles-frais-de-scolarite-devraient-augmenter/ public et privé ». Et, mieux encore, ces mêmes principes du service public pourraient également valoir pour remédier à « l'absurdité historiquement héritée de l'orientation et de la gestion des flux dans l'enseignement supérieur ». En d'autres termes, les « principes du service public » pourraient avoir raison de la dégradation de l'Université. On n'ose y croire? Sans doute faudra-t-il, pour cela, 2012.

A. Pezet, E. Pezet, and L. Société-managériale, Essai critique sur les nanotechnologies de l'économique et du social, 2010.