. Ibid, Voilà ce que c'est que les femmes La comparaison de la femme et de la machine est notamment un topos du libertinage mondain du XVIII e siècle Mme de Merteuil, évoquant les femmes qui « cèdent » trop vite, les traite de « machines à plaisir » (Laclos, Les Liaisons dangereuses, édition Catriona Seth Notons cependant que l'intertexte mécaniste et matérialiste du libertinage n'est plus vraiment actualisé chez M. de Rênal. On retrouvera par ailleurs une métaphore semblable, mais attaquant cette fois-ci un homme, cet automate de mari ») dans la bouche de Julien (p. 451). 40 Stendhal, Le Rouge et le Noir, pp.392-413, 1954.

M. Puig-de-la-bellacasa, Politiques féministes et construction des savoir. « Penser nous devons », Paris, L'Harmattan, 2013, p. 237. 46 Voir sur ce point les analyses de Jacques Dubois, Les romanciers du réel, p.47, 2000.

Y. Même-si-l-'analyse-ne-concerne-pas-directement-le-genre, . Ansel, . Le-rouge, . Le-noir, É. Paris et al., qui examine l'articulation entre la condition sociale et la question du point de vue dans le roman, à partir de la notion sartrienne de « l'être-pour-autrui ». 48 Stendhal, Le Rouge et le Noir, op. cit., p. 373. 49 Julien Sorel est un exemple type de la littérature sur le phénomène des « transclasses », c'est-à-dire des individus qui quittent une classe sociale dominée pour une classe sociale plus dominante, analysé par Chantal Jaquet, Les transclasses ou la non-reproduction, Stendhal, Le Rouge et le Noir, pp.64-79, 2001.