La Nouvelle Vague et l’utopie du film dans le film - HAL-SHS - Sciences de l'Homme et de la Société Accéder directement au contenu
Article Dans Une Revue CinémAction Année : 2005

La Nouvelle Vague et l’utopie du film dans le film

Résumé

La Nouvelle Vague, tout en puisant dans les autres moyens d’expression (théâtre, littérature, musique), a fait du cinéma un monde en soi, l’artifice du film dans le film tendant à illustrer cette démarche, dans un cinéma français se montrant par ailleurs nostalgique envers un passé imaginaire et idéalisé. Les réalisations posent aussi la question du genre, opposé à l’utopie puisque fixé par des règles et délimité à un territoire, tout en brouillant les frontières entre « fiction » et « documentaire ». Références : Jean Renoir : Vivre libre, Le Journal d’une femme de chambre, Le crime de Monsieur Lange. François Truffaut : Tirez sur le pianiste, Vivement dimanche, La nuit américaine. Jean-Luc Godard : Le mépris, Vivre sa vie, Weekend, Alphaville. Carl T. Dreyer : Jeanne d’Arc. Alain Tanner : Jonas qui aura vingt-cinq ans en l’an 2000. Agnès Varda : Murs murs, Sans toi ni loi. Pierre Kast : Un animal doué de déraison. Jacques Rivette : Paris nous appartient, Jeanne la Pucelle. Firtz Lang : Les bourreaux meurent aussi, Metropolis. Hervé Le Roux : Grand bonheur, Reprise, On appelle ça le printemps. Woody Allen : La rose pourpre du Caire.
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Citer

Nicolas Schmidt. La Nouvelle Vague et l’utopie du film dans le film. CinémAction, 2005, Utopie et cinéma, dirigé par Yona Dureau, 115, pp.202-208. ⟨halshs-01324566⟩
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