E. Ermengards, . Donator-sum-tibi-viro-meo-oliba, and . Gratia-dei-comes, 14 II 988) ; Ego Ermengardis, gratta Dei comitissa, donatrix sum domino Deo et Sancto Martino montis Kanigonis (. . .) alaudem meum proprium qui michi advenit per parentorum meorum vel per comparatione sive per qualicumque voce, B. Alart, Cartulaire roussiUonnais Ci-dessus p. 364-365. 63. Eis primitius comtats i vescomtats de Catalunya, 54. 64. « Origine. . .) (III), autour n. 34. 65. Bofarull, Los condes. ... 1. 1 p. 94 et « Jalons. . . » 66. Encore. . ., autour n. 235. 67. Ad filia mea Goitre goto facite scripturam in comitatu Cerdanie de alode meo que dicunt Villanova vel in ejus termine condes..., t. I, pp.339-340, 1007.

T. Stasser, convaincants pour la plupart, afin de la rendre fille de Sunyer (f 948), comte de Barcelone, et de Riquilda. 1) L'alleu de Villanova, légué par Mirô H à sa fille Goltregoda, n' apparaît pas dans la documentation de la comtesse de Pallars. Nous écartons cette première critique dans la mesure où elle se fonde sur l'argument a silentio de sources qui ne sont pas extrêmement abondantes. 2) En revanche, possession de biens situés dans le comté de

H. Borrell, 992) de Barcelone appelle nepotes les fils de Goltregoda, sa sur dans l'hypothèse de T. Stasser. Il seconde, d'ailleurs, cette dame, devenue veuve

. Adelaida-comme-la-fille-d-'henri-ier, . Duc-de-bourgogne, and . Et-de-garsenda-de-gascogne68, Settipani a démonté ce point de vue69 : le mariage entre Henri Ier et Garsenda date de 986 ; or, en 994, Adelaida, leur prétendue fille, apparaît, à la suite de son mariage, installée dans le comté de Besalû, où elle rend justice Elle ne saurait avoir guère plus que sept ans. En se fondant sur les noms de ses enfants, cet historien propose de voir plutôt en elle la fille de Guilhem H (t 993/4), comte de Provence, et d'Arsinda de Carcassonne Cette hypothèse rend, pourtant, mal compte du mariage ultérieur entre Guillem Ier (f 1052) de Besalû, fils de Bernard Taliaferro et de Tota- Adelaida, et Adelaida de Provence, qui apparaît désormais comme sa tante maternelle. Pour parer à cette objection, C. Settipani critique l ' i nterprétati on traditionnelle de la lettre de 1020, par laquelle les moines de Ripoll annoncent la mort de Bernard Taliaferro, qui s'est noyé en traversant le Rhône alors qu'il cherchait une femme pour son fils70. Ce document ne dit 68, Talis igitur cum esset ac tantus ut pote provisor omnium, conjugali vinculo volens nectere filium, promisso jam nato, infando tentavit equo transire Rhodanum et « Jalons... », pp.341-55

. Tent-guinedilda, H. De-raimond, and . De-toulouse, à la génération des filles qui, autour de 930, sont mariées à des Languedociens, instaurant alors la tendance à l'exogamie dans les familles comtales83. Par ailleurs, l' abandon de l'hypothèse des origines bourguigonnes de Tota-Adelaida, devenue une Toulousaine84, place encore plus nos maisons dans la géographie du sud de la France. Leur politique matrimoniale cherche davantage l ' e f f i c a c i t é des alliances avec les proches voisins méditerranéens que le prestige inutile du mariage lointain85

H. Et-raimond-de-la-ugnée-comtale-de-bourgogne, . Père-d-'alphonse, . Vu-de-castille, S. En-tant-que-congermani, «. De-vajay et al., Cette conclusion s'inscrit dans le droit fil de l'identification d'Almodis, seconde femme de Raimond Bérenger m de Barcelone, en tant que comtesse de Melgueil, plutôt qu'avec une fille issue de la maison normande de Mortain, Les noces, autre fils de « Sibila The Prosopograpy of Post-conquest England : Four Case Studies », Medieval Prosopography, pp.239-391, 1960.